Nathan Krows McLaughlin Gangster Inconnu
Nombre de messages : 37 Gang : Aucun Date d'inscription : 24/10/2007
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| Sujet: Le début d’une nouvelle vie [Terminé] Ven 2 Nov - 22:17 | |
| L’alarme signalant l’ouverture des portes tira précipitamment Nathan des ses rêveries. Il avait veillé toute la nuit, l’anxiété avait maintenu ses yeux ouverts jusque tard dans la matinée. Il allait être libéré, après une année, douze longs mois qui paressaient duré éternellement enfermé entre quatre murs. A la longue il avait perdu toutes notions de temps, ses seuls repères étaient les repas qu’il ne finissait qu’à moitié. Le bruit des bottes qui martelait le sol a chaque enjambé du gardien et le trousseau de clefs qui s’entrechoquait à sa ceinture, se rapprochait de lui, cela sonnait a ses oreilles comme une douce mélodie, hymne à la liberté." La vingt-quatre ! "C’était la voix du maton, qui hurlait à son collègue quelle cellule déverrouiller. Nathan, n’avait pas bien entendu, les échos déformaient les sons qui arrivaient jusqu'à lui, il espérait de toute ses force que se soit son tour. Le bruit strident des gâchettes électrique qui sellaient la lourde porte de métal, vint rapidement confirmer ses espérances. La porte s’ouvrait, enfin." Bouge-toi Krows ! J’n’ai pas que ca à faire… "On pouvait presque palper l’impatience de l’homme en uniforme. Mais, Nathan avait entendu si longtemps, il s’avouerait cet instant. Non pas qu’être enfermé avec pour seul compagnons son ombre lui posait le moindre problème, il aurait put supporter cela encore bien longtemps, en réalité même les autres ne lui manquait pas. Les gardiens, c’est ce qui l’avait le plus éprouvé durant son séjour, à la moindre occasion ils ne se privaient pas pour le rabaisser, l’humilier, lui faire perdre toute dignité, sans lui laisser la change de se riposter. Pourtant il avait essayé, envoyant même deux gardiens à l’hôpital, mais les représailles qui en suivirent le dissuadèrent définitivement. Lentement, il sortait de l’obscurité de ca cage, le visage grave, le regard vide graissé par l’éclairage trop vif du couloir.Quelque instant plus tard, il se retrouvait devant le bâtiment qui avait encadré sa vie durant 367 jours et plusieurs heures. Personne le l’attendait, pas de famille, pas d’ami, personne. La rue était dessert, pas étonnant, l’endroit n’était pas se qu’il y avait de plus accueillant, mal gré tout il était content d’être là, dehors. Un taxi, qui roulait au pas, s’arrêta a sa hauteur, il était la pour lui, on pourrait que quelqu’un l’avait appelé, et c’était exact, McLaughlin avait déjà tout prévu, chacune de ses pensés était rivé sur son objectif. Il prit place dans l’auto, jetant un dernier regard à la prison, la lampe des exécutions scintillait d’une lueur rougeâtre, un autre n’avait pas eu la même chance que lui…
Le premier pas vers la fin (Suite) | |
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