Ami ou Ennemi ? [PV Kol]

Latino sector, 20h47.

Une volvo noire arrive au bout de la rue, lancée a environ 50km/h. Kol fut ejecté par la portière arrière droite dans une ruelle du quartier. Un cocard orne son oeil droit, ses lèvres sont exploséées et du sang coule de son cuir chevelu. Le contact entre Kol et l'asphalte en rajoute une couche. Il reste la cinq minutes, sans bouger, sans pouvoir faire quoi que ce soit, essyant de récupérer un peu de forces à chaque seconde qui passe. Quelques hommes se méfiant de moi, et avaient dégainés leurs armes, par méfiance plus que par peur. Kol meva les mains pour leur montré qu'il était pacifique, et aussi pour qu'ils sachent qu'il n'y avait rien a voler sur lui. Ca ne les empechent pas de le garder dans leurs lignes de mire. Il est vrai qu'on ne sait jamais vraiment fait confiance entre lainos et afro américains.
La veste ecko blanche est maintenant tachée de rouge. Tout en reprenant peu apeu ses esprits, Kol ramasse sa casquette blanche/verte rebook. Il relève la tete, mais ne se lève toujours pas. Le soleil n'est pas encore couché. Ses rayons orangés éclairent peu la ruelle, mais suffisament pour voir les ordurent entreposées au fond. Kol dirige a nouveau son regard vers les latinos. Il n'en reste plus qu'un, les trois autres sont partis, ne voyant pas d'intéret a rester ici. Celui qui était resté attira l'attention de Kol. Sa couleur de peau tirait sur le marron, ce qui était plutot rare chez les latinos. Il ne dégaina pas d'armes, peut etre qu'il n'en avait pas. Si c'était le cas, ce n'était pas très "malin" de sa part, surtout dans ce quartier réputé comme le plus "chaud" de Karandras. Après quelques minutes d'obstervations, Kol se leva et le mec lui demanda qui l'avait mit dans cet état. Kol commençait a partir en direction du quartier africain. Il incita le mec qui lui avait posé la question a le suivre d'un petit geste de la main. Une fois qu'ils furent a l'abri des orielles indiscrètes, Kol prit la parole :

Moi c'est Kol Twin.

L'autre se présenta a son tour, il disait s'appeller Davis, alors que le sang de Kol continuait de couler. Il l'essuya comme il pu.

Merci de te soucier de moi, c'est plutot rare dans cette ville. C'qui m'est arrivé ? J'ai perdu une occasion dme la fermer. C'est c'connard de Diawil T, il s'prend pour un grand. D'ailleurs, il est le seul a le penser, tout le monde dit que c'est une merde dans son dos. Par contre, y'a que moi qui lui est dit quand il a commencé a pousser tout le monde pour passer. J'ai voulu le frapper, mais ses deux gorilles m'ont sauté dessus avant que j'ai pu lui faire quoi que ce soit. Après, ils m'ont emmenés dans leur bagnole de merde, et m'ont jeté ici avec quelques coups en plus...
Mais il va payer ce batard, j'passe chez moi prendre des armes, et j'vais l'buter, dès ce soir !

Davis avait apparemment bien écouté son discours. Une idée germa dans l'esprit de Kol.

Et toi ? Tu fait quoi dans cte ville ?

Kol attendit sa réponse, et se frottant les lèvres pour essayer d'ecouler le plus possible de sang..

HJ :

Tu peux(entre autres), dire que t'accepte de venir le défoncé avec moi, et que m'accompagne jusqu'a mon appart. Si tu veux, va plus loin dans le rp, en disant qu'on débarque chez lui ect

Post pas génial, mais pas grand chose a dire :s

La porte de l'immeuble fut passée sans aucune difficulté par les deux gangsters, le code n'étant pas nécessaire, comme dans presque tout les immeubles de l'africa sector. Une forte odeur atteint les narines de Kol, un espèce de mélange de vomis et de pisse, qui résumait très bien l'état des lieux. Murs délabrés et tagués, portes a moitié défoncées et lampes qui éclairent que dalle. Davis murmura a Kol qu'il était ok pour son plan, et qu'il montait au troisième. Il pressa le bouton d'appel de l'ascenseur, qui vint au bout de quelques minutes. Kol en profita pour visser le silencieux a son colt 45. Sans aucun bruit, Davis entra dans l'ascenseur, tandis que Kol montait lentement les escaliers jusqu'au premier, le plus silencieusement possible. L'étage était la copie conforme du rez de chaussé. Deux portes de bois ouvraient surement sur des apparts, le neon au plafond n'éclairait pas beaucoup, et la peintures préférait tomber plutot que de rester sur les murs. Une fois arrivé sur le palier, il attendit d'entendre le garde du corps monter les marches pour aller jusqu'au troisième, attiré par Davis, avant de le prendre par derrière, et de l'envoyer en enfer. Normalement, seulement une ou deux minutes devaient suffire a Davis pour exécuter son action. Oreille tendue, Kol ne bougeait pas. Un petit bruit venant du haut, et il montrait les marches menant au second quatre a quatre. Au bout de ce qui paru être une minute a Kol, des sifflements se firent entendre au dessus. Sans demander son reste, l'afro américain, colt 45 en main, monta l'escalier, le plus rapidement possible. Le deuxième étage différait un peu des autres, une des deux portes paraissait plus luxueuse, l'éclairage était correct, et il ne sentait pas la pisse. Devant une des deux portes, un paillasson ainsi qu'une pancarte "essuyez vos pieds" accueillait les visiteurs. Kol pensa au fait que Diawil était juste derrière cette porte,ce qui le déstabilisa un instant, a cause de la colère. Il reprit vite ses esprits, pensant a Davis et au premier garde du corps. Une fois arriver au second, Kol vit un mec, ou plutôt une armoire a glace, en haut des escaliers menant au troisième. Evidemment il tournait le dos a Kol. Apparemment, il était en position de tir, vu son bras tendu devant lui. Il faisait des petits pas sur le côté, on aurait dit qu'il essayait de débusquer sa cible. Il ne se doutait pas le moins du monde qu'il avait quelqu'un derrière lui. Kol s'avança silencieusement au bas des escaliers, prit le temps de viser la tête, et tira trois fois. Les balles ne firent pratiquement aucun bruit. L'arme du garde tomba de sa main. Kol monta alors les escaliers, et vérifia que sa cible soit bien morte, tout en restant a une distance résonnable, et en laissant sa cible dans sa ligne de mire, au cas ou. Il jeta au regard au fond du couloir, et aperçut Davis sortir de derrière son abri improvisé. Ils se firent un signe de la tête, chacun disant a l'autre que tout allait bien. Apparemment, personne n'avait entendu les balles, car les portes des étages deux et trois restèrent fermées.

On demandera un MJ une fois que Davis aura fini son autre topic d'action.
Pour le Mj, il faudrait nous dire si notre opération a réussi, et s'il pouvait faire une description de l'appart, ce serait cool Après, evidemment, libre a lui de nous mettre d'autres batons dans les roues ^^.

Le meurtre froid et bien préparé avait parfaitement fonctionné. Davis pouvait ainsi rejoindre son acolyte d’un soir. Seulement le bruit que fit le corps dans un couloir silencieux et normalement calme attira l’attention d’un habitant qui ouvrit sa porte découvrant le corps étendu du type à quelques pas de chez lui pissant du sang par l’arrière de sa tête. Sa femme, à côté de lui, en apercevant ce spectacle se mit à hurler au meurtre. Le voisin lança des regards furtifs vers la gauche et la droite, apercevant les deux hommes armés.

« Ok ! Ok ! j’ai rien vu. »

Il verrouilla sa porte et partit prier dans son salon. Mais derrière la porte de Diawil, ce dernier, intrigué par le bruit et les cris, ouvrit la porte en trombe, muni d’une arme gros calibre, un fusil calibre 12. Il était vêtu d’un peignoir et son regard se porta sur Davis qui grimpait les escaliers. Voyant l’arme qu’il tenait dans ses mains, il paniqua et tira, manquant sa cible. Il aperçut juste alors Kol et se réfugia dans son appartement. Son appartement était de taille moyenne, un petit T2, un couloir en entrant qui débouche sur un salon, sur la gauche la cuisine et coin douche et sur la droite la chambre. Diawil se précipita dans son salon d’où il avait la porte d’entrée en vue. Il attendait son heure en tremblant mais sur de son coup.

[Davis, au passé simple, la première personne du singulier c’est pas « je marcha » mais « je marchais », merci.]

[HJ : Oupss désolé c'est vrai ]

Je regardais l'homme s'écroulé sous les balles extrêmement préçise de Kol. Le cadavre fît un bruit relativement fort sous son lourd poid de gorille. Un homme et sa femme ouvrit la porte, les deux regardèrent le cadavre, l'homme restant sans mot et ça femme criait comme une cinglée. Quel merde, je devrais alors me débarassé d'eux même si l'homme m'avait l'air sincerre en refermant la porte, me disant qu'il n'avait rien vu, je me devais de les liquidé, ils avaient vu nos visages. Biensûr ils auraient pû parler de nous dans la ville, mais le meurtre de Diawil fera asser de bruit comme ca donc pas besoin de courire le risque de me faire chopper par deux paumées.

Je tappa donc le bout du canon de mon arme à feu sur ma poitrine en regardant Kol et je lui fîs un signe d'entré dans cette pièce. Ces messages codés voulait dire que j'allais rentré dans leur chambre et éliminé les témoins pendant que lui commencerait seul contre Diawil et son Gorille, il devrait donc être très prudent, deux contre un ce n'est pas très très avantageur pour lui. J'ouvris donc la porte rapidement, après avoir faire un signe de tête à Kol, l'avertissant que je passais à l'acte. J'entre donc, la femme est au téléphone et l'homme est à genoux à côté du lit, priant pour ne pas que je les tues. Mon coeur battait la chamagne, pour la première fois de ma vie, je devrai tuer un homme. Et une femme en plus, bien que je ne leur voulais pas de mal en particulier, ils avaient été témoin d'une scène qu'ils auraient dû évité. Le téléphone était contre une grande fenêtre, ouverte pour laisser entré la fraîcheur, l'air climatisé pas comprit dans cet immeuble merdique.

L'homme était à quelques mètres devant moi. Je courrais donc vers la femme, au passage, j'assimila un énorme coup de crosse de mon flingue sur la tempe du mec effrayé par ma présence. Le visage de l'homme n'avait plus aucun soutient de muscle dans le cou, il était mort sur le coup, son visage tombait donc sur le lit. La femme venait pour crié, mais je la poussa de l'autre coté de la fenêtre, faisant une chute du 2ème étages, elle attérissa sur le tête. Je ne la vis pas ce relevé, ou même gémir, elle me semblait morte. J'aurais pû utilisé mes fligues, mais ça l'aurait alerté tout l'immeuble, déja que son crit n'a pas aidé. Je me retourna, un jeune garçon était assis en petite boule dans le fond d'un garde-robe. Il ce tenait les genous proche de son corps, il tremblait tel une feuille d'arbre à l'automne.

Je m'approchais de lui, je m'accroupis puis je lui fît signe qu'il n'avait pas de dangé, lui tendant les bras. Le jeune garçon, déboussolé d'avoir vu ces parents périres sous ces yeux, s'approchait et entrait mes bras. Je sentais un petit corps tremblant, contre le mien. Je fîs semblant de le réconforté, je me devais d'achever son supplice, pour ne pas qu'il termine comme moi, qui ais vu mes parents mourrirent sous mes yeux, tout comme lui. Je me reculais donc, je mîs mes mains contre son petit visage, je le regardais dans les yeux, des yeux qui refletait la peur, des yeux terrorisé. Je me devais de faire vite, avant que je ne flanche et le laisse en vie. Je ferma les yeux et lui cassa le coup, d'un mouvement sec et brutal. Son petit corps s'affesa sur moi, sans vie. Je le repoussa dans le garde-robe, je n'étais pas très fièr de mon geste, mais je me devais de lui faire ceci, le jeune garçon n'avait à peine 10 ou 11 ans.

Bon, c'était bien beau le petit moment sentimental et d'émotion, mais je me devais d'aller secourire Kol de l'autre côté, j'entendais déja des balles s'écrasé contre les murs. Je courrais donc jusqu'à la porte, je vîs Kol accroupis derrière un "sofa". Plus loin, je voyais devant moi, caché derrière une immense horloge, le dernier garde du corps de Diawil, et plus loin, sur ma gauche, Diawil armé d'une arme lourde, je dirais peut-être un calibre 12. Des balles fleurèrent mon corps, je fîs une roulade sur ma gauche, me cachant derrière les comptoires de la cuisine, devant moi, un grand mur coupé à moitié me cachait, j'étais accroupis derrière celui-ci et les armoires, j'aggrippa mon Uzi et mon Colt 45, je me dis au diable le bruit, ma vie était en jeu et celle de Kol aussi. Je tira donc une raffale de balle en direction du garde du corps de Diawil, cherchant à laisser ce dernier pour Kol, pour qu'il règle ces comptes ..

Suite DIRECTE de mon précédent post :

Citation :

...car les portes des étages deux et trois restèrent fermées...

Du moins pendent trente secondes. Les balles n'avaient fait aucun bruit, le contraire de ce qu'avait fait le corps de l'armoire a glace en tombant lourdement. La porte la plus près de l'escalier au troisième s'ouvrit sur un mec apparemment fraichement réveillé. Il vit le corps, puis les deux gangstas armés. Il paniqua, alors que sa femme, qui venait de voir le corps dans une marre de sang sur son palier, criait au meurtre le plus fort possible. A peine la porte refermée sur une phrase du genre "ne me tuer pas !!" de la part du mari, Davis me fit signe qu'il allait s'occuper d'eux. Pas le temps de lui dire que ce n'était pas la peine, qu'ils ne nous feraient pas chier, et Davis défonça la porte de l'appart. Je n'entendis pas de coup de feu, le latino avait compris que ce n'était pas nécessaire, qu'il y avait bien d'autre manières de tuer que les armes a feu. Avant qu'il ne revienne, Diawil sortit de son appart, vétu d'un peignoir, calibre 12 a la main. L'afro américain paniqua en voyant Kol, et tira. C'était sur, il n'avait pas suivi de cours de tir ! Kol ferma les yeux croyant vraiment a sa fin. Il n'était qu'a deux métres de lui, mais il trouva le moyen de le louper, fusil a pompe en main. Après ce tir, qui a du réveillé tout l'immeuble si ce n'est pas plus, Diawil rentra dans son appart, et ferma la porte. Kol mit quelques seconde a se remettre de ses émotions. Il n'attendit pas son allié d'un soir, descendit ce qui lui restait a descendre de marches, se mit a couvert contre le mur du côté droit de la porte, et, d'un coup sec, appuya sur la poignée, ne montrant a aucun moment une partie de son corps. Aucun coup de feu ne retentit, ce qui prouva a Kol que Diawil ou son garde du corps restant ne l'attendait pas a l'entrée. Il passa quand meme la tete dans l'entrée de la porte, discrètement, vérifiant si sa théorie se révélait juste. Apparemment oui. Il se jeta dans l'appartement, et vit une ouverture dans le mur sur sa gauche. Il fit a nouveau un bond pour entrer dedans. ll atterit dans la cuisine. Une autre ouverture ouvrait sur ce qui devait etre le salon. Kol apperçut que le garde du corps,caché derrière une énorme pendule, le visait. Il eut a peine le temps de retourner dans le couloir, que la détonation retentit. Pas loin cette fois, le garde du corps était meilleur tireur que son employeur. Mais il n'avait pas vu sur le couloir. Dans le coin a côté de l'ouverture du salon, une lampe allogène éclairait le couloir.Deux portes étaient présentes sur le mur de droite, et au bout, l'ouverture donnant sur le séjour. Un sofa tournait le dos a Kol. Avant d'aller se cacher derrière, Kol dévissa le silencieux de son colt 45, et le fixa a son uzil, qu'il prit en main.Le colt finit dans la poche arrière du pantalon. Accroupi, Kol traversa silencieusement le couloir jusque derrière le canapé. Il voyait l'horloge ou était de garde du corps. Ce dernier ne pouvait le toucher, mais Kol non plus, tout deux ayant une bonne cachette. Kol leva rapidement la tête pour essayer d'apercevoir Diawil. Il ne pouvait etre que derrière la télé, qui se situait logiquement en face du sofa, ou que derrière la grande armoire au fond de la pièce. Kol ne voyait pas d'autre cachette, et dans ces deux cas, il était a l'abri des balles. A moins qu'il soit dans une des deux autres pièces..Si c'était le cas, et vu sa position, Kol pourrait le tuer avant qu'il ne soit complètement sorti de la pièce. En effet, une fois le dos contre le sofa, il avait une vue plongeante sur le couloir. Kol resta donc vigilant, jetant toujours un regard vers les deux portes.

A peine quelques secondes après, il vit Davis arriver par la porte d'entrée. Il me fit un signe de tête disant qu'il avait tuer tout les témoins. Il s'engouffra dans la cuisine. Un instant plus tard j'entendis d'abord le bruit de quelques balles, puis celui de l'uzil. La fusillade avait commencé, et ne finirait qu'une fois qu'au moins deux hommes seraient morts. Kol passa le bras au dessus du sofa, et visa du mieux qu'il put la télé, et l'écran plasma. Il envoya une rafale d'une dizaine de balles, avant de recharger son arme. Il entendit des grésillement et un bruit de verre cassé, qui prouvait qu'il avait eu la télévision, mais pas de gémissement. Il ne restait donc qu'une solution, l'armoire. Mais les balles ne passeraient surement pas a travers, il fallait jouer avec la ruse, tout d'abord pour vérifier s'il était bien la, et ensuite pour le tuer. Il se dit qu'il n'avait tout de meme pas pu se tirer sans son garde du corps, ce qui pouvait prouver qu'il était bel et bien la. Il se déplaça le long du sofa, histoire d'etre le plus pret possible de l'armoire. Les coups de feu de la fusillade Davis/garde du corps résonnait toujours. A tout hasard, Kol tira une rafale dans le mur juste a côté de l'armoire. Rien. Il recommença de l'autre côté du meuble. Diawil sortit juste son flingue et tira n'importe ou, les main tremblantes.

A peu près un metre cinquante séparait le sofa et l'armoire. Kol se demanda s'il pouvait prendre le risque de traverser cette distance a découvert. Même si le garde ne pourrait pas l'atteindre de sa position, il y avait tout de même le risque de Diawil, et de son fusil a pompe. Une des solutions aurait pu etre de déplacer le sofa avec lui, mais il entreait dans la ligne de mire du garde s'il se levait. Kol chercha une idée. Il avait beau chercher et rechercher, elle ne venait pas. Il ne voyait pas comment débusquer Diawil de sa cachette. Il fallait pourtant se dépécher, les flics ne tarderaient pas d'arriver.. Il regretta de ne pas avoir pris une ou deux grenades., s'aurait été facile de le faire dégager de derrière l'armoire si elle serait en feu..Le feu..Maintenant, Kol avait bel et bien son idée en tete. Il envoya encore un rafale en direction de l'armoire, puis il retourna dans le couloir, toujours en étant accroupi. Il ouvrit la première porte qu'il n'avait pas encore exploré. Il tomba sur une chambre, exactement ce qu'il cherchait. Maintenant sur qu'il n'y avait personne dans la pièce, il alluma la lumière, se dirigea vers le lit, et arracha le drap. Il retourna ensuite dans le couloir, puis dans la cuisine. Il vit Davis, toujours en train de tirer sur le garde du coprs. Il se demanda pourquoi Kol était ici, mais en le voyant ouvrir tout les tiroirs et placards, il comprit. Kol trouva ce qu'il cherchait au bout du troisième placard ouvert. Une bouteille d'alcool fort. De la vodka. Il retourna dans le couloir, et aspergea une petite partie du drap d'alcool, qu'il mit en boule. En fesant bien attention a lui,Kol s'aprocha de la lampe hallogène, qui est une des lampes qui dégage le plus de chaleur. Il approcha le drap imbibé de l'ampoule. Il prit feu quelques secondes après. A partir de ce moment la, Kol courut jusqu'a derrière son sofa, et lança la boule de feu sur l'armoire de bois. Il espérait qu'elle prendrait feu. Si ça ne marcherait pas, il fera un coktail molotov avec le reste de drap et de vodka. Avant de voir si le feu prenait, Kol retourna dans le couloir, ou il avait laissé la vodka et le drap, et fit a nouveau une boule imbibé en flammes. Cette fois ci, il la lança en direction de l'horloge et du garde du corps.
Kol jeta un coup d'œil du côté de l'armoire. Un des pieds avait pris feu, et de la fumée commençait a apparaître. Normalement, Diawil sortirait de sa cachette une fois que la chaleur se ferait trop forte. A ce moment la, il serait a découvert, et Kol n'aurait qu'a le tiré comme un lapin. Avant ceci, Kol cria en direction de Diawil :

C'est Kol Twin qui t'envoie en enfer connard !!

A partir de ce moment la, Kol ne quitta pas des yeux l'armoire, et les endroits par lesquels Diawil pourrait sortir de sa cachette. Les flammes avaient maintenant attaquées l'armoire elle meme, et la fumée se fesait de plus en plus présente. Kol fut obligé de mettre son T shirt sur sa bouche et son nez. Il ne pourraient pas voler grand chose, mais ce n'était pas important. La mort de Diawil suffisait a Kol..
L'armoire était maintenant entièrement dans les flammes. Diawil de tarderait surement pas. Kol était dans une sorte de transe, ne voyant rien d'autre que l'armoire. Il attendait le moment ou Diawil sortirait, et l'arroserait. Kol ne regardait meme pas comment Davis s'en sortait avec son ennemi. Seul Diawil comptait. Celui ci supplia Kol de le laisser en vie :

Laisse moi sortir et je te jure que tu auras tout ce que tu voudras !!

Kol ne répondit meme pas. Seule sa mort pourrait le satisfaire. Une minute passe avant que Diawil ne sortit de sa planque. Kol resta derrière le sofa. Il tira trois fois au fusil a pompe, loupant sa cible, la fumée obstruant sa vue. Une fois les balles tirées, Kol se leva, et vida son chargeur d'uzi sur Diawil, qui tomba au sol. Kol rechargea, sortit de la pièce enfumée, puis de l'appart. Davis le rejoint quelques instant plus tard. C'était fini, ils avaient réussi..Maintenant, il fallait surement échapper aux flics..

Cette fusillade, par son ampleur et le bruit, ne pouvait rester incognito. Bientôt, plusieurs voisins et plusieurs piétons dans la rue, signalèrent la situation à la police, qui dépêcha plusieurs unités sur les lieux ainsi que les pompiers. Ils grimpaient par l’escalier jusqu’à l’appartement. Les pompiers, à l’extérieur, tentaient d’éteindre les flammes. Les flics de chocs entrèrent dans l’appartement enfumé, leur protection sur leur visage et ne découvrirent personne.

Kol et Davis eurent largement le temps de s’échapper.

La situation se calma vers 17 heures et les premiers inspecteurs de police commencèrent à enquêter, découvrant le corps de Diawill.

« Tiens, tiens … Diawill … »

« Vous le connaissez inspecteur ? »

« Une petite frappe sans importance. Mais sa mort est surprenante, cherche-moi la liste des gens qui auraient pu lui en vouloir. »

Ils découvrirent le corps du gorille et commencèrent à l’examiner quand un flic apparut en courant, essoufflé.

« Chef, trois autres corps ici. »

Les policiers tombèrent sur les cadavres du voisin et de sa femme et jetant un œil par la fenêtre sur le corps de l’enfant.

« Met moi tes meilleurs agents sur cette affaire. On va coffrer ces fils de pute. »



Davis
Précaution : 2/5
Cible : 1/5
Moyens : 1/3
Qualité : 4/7
+ 8 Réputation
+ Contact : Kol Twin


Kol Twin
Précaution : 20/50
Cible : 20/50
Moyens : 10/30
Qualité : 40/70
+ 90 réputation
+ Contact : Davis Domminguez



Les flics enquêtent sérieusement sur votre compte !

Kol attendit quelques instants Davis a l'extérieur de l'appart. Une fois celui-ci arrivé, ils descendirent les marches quatre a quatre. L'incendie commençait a attaquer l'immeuble, la fumée se propageait rapidement dans les escaliers. Une fois sorti de l'immeuble, les deux gangstas commencèrent a se tcheker, le tension redescendait un peu maintenant qu'ils avaient réussi leur opérations. Mais les sirènes de polices ne leur laissèrent pas le temps de rester sur le palier bien longtemps. Ils commencèrent a courir, Davis courrait bien plus vite que Kol, surtout que celui ci était affaibli a cause de ses blessures. Il prirent bien soin de passer par les mêmes rues qu'il avaient pris a l'aller. Apparemment, les flics ne les avaient pas remarqués. Une fois a l'appart de Kol, ils s'assirent sur les fauteuils, en posant les armes sur la table basse. Kol alla chercher de la boisson ainsi que des joins, qu'il avait eu en dévalisant un appartement de l'africa sector. Il en donna un a Davis, puis il alluma le sien a l'aide de son briquet. Il mit un peu d'alcool de peche dans chacun des verres, et dilua avec du vin blanc. Ce petit remontant n'était pas de trop..Ils restèrent silencieux quelques minutes, dégustant leur boisson et leur join. Davis se leva, pret a partir. Il allait dire aurevoir a Kol, mais ce dernier lui tendit le colt 45 qu'il avait utilisé :

Garde le, tu le mérite bien..Sans toi, je ne pense pas que j'aurai réussi a buter ce connard. Merci.

Les deux bandits se dirent au revoir. Alors que Davis était devant la porte, Kol lui dit un dernier truc.

On se rapelle..

Davis répondit a l'affirmatif, puis il partit. Kol ne lui proposa meme pas de le raccompagner, ce n'était pas très poli, mais il n'était pas en état de conduire. Et Davis savait de défendre seul, surtout avec ce colt 45. C'est sur ces pensées que Kol s'endormit dans le fauteuil..

Le lendemain :

Citation :

Encore un incendie meurtrier dans la "jungle" de Karandras !

Tel était le titre écrit en gras sur la première page du site internet du Gangsters news de Karandras. Le reste de l'article était bien "populaire"; les "extraordinaires", "incroyable" et compagnie étaient présents a toutes les lignes. Kol prit a peine le temps de le lire, mais il était content qu'on parle de son action. Son nom ainsi que celui de Davis n'était pas mentionnés. Kol quita la fentre, éteint son ordi et le ferma.

*Une bonne chose de faite..*