Interrogatoire de Lorenzo Balzano

[MJ ON]

6h du mat,

Alors qu'il dormait tranquillement chez lui après une bonne soirée avec Paulie et les autres, on frappa à la porte de chez lui. Se levant, la main dans le caleçon pour se gratter les poils, la gueule dans le cul, Lorenzo gueula comme un putois pour savoir qui c'était. Mais la réponse ne lui plu absolument pas.

- BAB, ouvrez de suite où on enfonce la porte.

Merde, les flics. C'était foutu pour une sortie furtive. Il allait se faire coffrer. Putain, surement l'autre enfoiré qui avait balancé. Il n'aurait jamais du le laissé en vie. C'est vraiment la grosse flaque. Lorenzo tenta de réfléchir vite, mais les coups de béliers dans sa porte l'en empêchait. Après avoir frappé deux fois, la porte tombe au sol et les gars de la BAB pénêtre ton appartement, Pare-balles et boucliers en avant. Tu te fais mettre au sol un peu violement et un des condés te lit tes droits pendant que tout les autres perquisitionnent.

Il ne trouve aucune arme, mais trouve plein de cash, 1650 $ pour être plus précis qu'ils mirent dans un sachet en tant que pièces à convictions. Il te harcèle de questions mais tu fais voeux de garder le silence. Paulie te sortira forcement de là tu pensais. Les flics te relevèrent alors et te conduire directement au commissariat, en prenant bien soin d'oublier de te baisser la tête en montant dans la caisse et en te faisant rencontrer tout les chambranles de portes du commissariat.

Bref, ce n'était pas des enfants de coeurs et semblaient assez sur les nerfs. Il te colle alors en GAV où l'interrogatoire commence. Tu es seul, face à trois flics qui te harcèlent de questions.

- Que faisait tu la nuit du 9 au 10?

- Tu connais un certain Dino Pazziano?

- Qui étais avec toi ce soir là pour le démonter?

- Pour qui tu bosses?

- On a tes empreintes et ton nom par un témoin. Ton pote à un peu de répit car on arrive pas à trouver son nom pour le moment, mais on le trouvera comme toi.

- T'es dans la merde, alors Craches le morceau, ca t'aidera à pas moisir à vie en tôle.

Le harcèlement des flics allait-il porter ces fruits? Ils te laissèrent seul dans la salle d'interrogatoire, une fois de plus. Te voila griller pour le moment. Dans 12 heures, tu auras le droit d'appeller ton avocat. Mais pour le moment, tu es seul face à ton destin. Il va falloir que tu réfléchisses assez vite pour te sortir de là.

Les flics te lancent avant de sortir de la salle:

- On te laisse là encore pendant 12h. Après tu auras ton avocat et on pourra continuer l'iinterrogatoire. A dans une demi-journée.

[Poste ce que tu as comme plan. Et le retour des flics 12h après]

Invité

6h du matin, l’heure ou j’entendus des personnes cogner dans ma porte, j’avais la gueule de bois après une soirée bien arroser avec Paulie, j’étais là en sous vêtements quand la porte se fut enfoncé. Des hommes armées jusqu’aux dents, les hommes me laissèrent le temps de m’habiller c’était le minimum. Entre temps je vus un homme fouiller dans mon portefeuille, j’étais assez frustrer mais je devais faire avec car c’état moi qui s’avait mit dans cette merde, les policiers firent bien attention quand ils me mirent dans la voiture pour m’amené au poste. Dans mon visage on pouvait voir un certain dégout et une haine en vers les flics, on prit mes empruntes génital puis on m’amena dans la salle d’interrogatoire. De couleur grisâtre, 4 chaises, une vieille table en bois, une caméra & une bande de son pour avoir des preuves solides pendant mon procès, dès mon entré on commença à me fusiller de questions tandis que moi j’étais en train de me réveiller j’avais un plan d’enfer accusé le russe qui m’avait embaucher car il détestait les italiens donc un bon motif de m’accuser surtout d’après ce que j’avais fait mais ils ne pouvaient pas remarqué la blessure ça fessait au moins 4 semaines que je ne l’avais pas vu cette homme donc c’était en mon avantage

Je travaille pour Boris Doubtchili un russe qui me donne du travaille, il me maltraite et engage des russes derrière la compagnie pour me mettre dans la merde car il est raciste envers les Italiens ... Quelle autre chef d’accusation je suis victime ?

Dis-je avec une sympathie & une tristesse qu’un des inspecteurs semblait convaincu de mon témoignage

Bien sur que je connais Dino c’est un super pote à moi on c’est connu quand on était jeune et vu qu’il était ici je lui est rendu visite … Bon d’accord j’attendrais mais j’ai besoin de faire un appel

Un gardien me prit sous son aile pour que j’ai faire un appel, le garde était un afro-américain qui ne semblait pas être allé loin dans ses études tout comme moi par contre j’ai une bonne expérience tout au long de ma vie. Je pris le téléphone

Jacky, Dino offra che non rifiuterà per il moi parte !

Ok !

Je retournai dans la salle d’attente je devais encore attendre un bon moment car 12h ce n’était pas rien mais après mon avocat pourrait m’expliqué à quoi répondre et m’acquitté de cette merde

Foutage de gueule,

Le grand numéro de Lorenzo avait commencé. Il avait chosit une ligne de défense, en remettant la faute sur Doubtchili. Il jouait à la balance avec les condés. Une vai piplette lorsque ces derniers lui avaient mis la pression.

Mais ils n'arrivaient pas à les convaincre avec ces histoires à la con. Les empreintes visibles de pas et de doigts laissé partout chez Dino prouvait qu'il y avait eu lutte. On trouverai bientôt à qui il avait téléphoner et on le ferai suivre pour être sur que cette homme ne cachait rien. Sachant que ce dernier était aussi le suspect numéro un dans un cambriolage dans le quartier Italien. Et l'agression sur Dino laissa des marques. Les flics avaient donc envoyé une patrouille chez jacky pour voir de quoi il retournait et rentrèrent ensemble, à trois, dans la salle d'interrogatoire.

- Bon alors ta version n'a pas changé? Dino, c'est ton pote et tu bosses pour un Russkov c'est ça?

Lorenzo acuiessa une nouvelle fois de la tête en répétant les mêmes phrases. Il était parfaitement cohérent dans ces déclarations et ne se démontait pas. On sentait qu'il avait de l'aplomb.

- Et les marques sur tes poings tu te les ai faites en frappant dans un mur c'est ça?

- Le sang qu'on a trouvé chez Dino, c'est le tien. On a trouvé tes empreintes partout chez lui. Il a la gueule d'un punching-ball vivant et toi t'as les poings couverts de marque de lutte. On a un témoin de ton action et tu viens me raconter que Dino, c'ets ton pote?

- T'as fini de nous prendre pour des cons ou tu continues jusqu'à ce que ton avaocat arrive?

- Au passage, on passe au crible tes empreintes, histoire de voir si c'est la première fois qu'on les as dans nos fichiers. Tu vas en chier des briques si on a un autre dossier sur toi.

L'étau se resserai petit à petit autour de Lorenzo. On allait bientot faire le lien avec ces affaires passées. Il falalit absolument qu'il fasse bien gaffe à ce qu'il allait dire dorénavant. Après cet fin d'interrogatoire, le Docteur vint examiner les blessures de Lorenzo et ne constata rien de grave occasioné par les forces de l'ordre.

IL fut ensuite emmené dans la salle de mise en Garde à vue. On le fit mettre à poil et on inspecta tout ce qui pouvait être en sa possession par un moyen ou un autre. Après cette fouille minutieuse, on lui retira ces lacets, sa ceinture, ces bijoux et tout autre objet que son slip, son futal et sa chemise. Et il fut mis en cellule ou son avocat l'avait rejoint.

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