Karandras-City
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 666, Satan.

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Stavro Stazi
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Stavro Stazi


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MessageSujet: 666, Satan.   666, Satan. Icon_minitimeMar 25 Déc - 22:40

666, le chiffre du Diable, nouveau virus informatique développé par Matt Bokovski, plus connu sous le nom de Oxmoz, un jeune surdoué en informatique, il a réussi a piraté un réseau du gouvernement avant de se faire arreter. Depuis il travaille pour la CIA avant de la quitter pour travaialler en indépendant : il gère maintenant l'économie de nombreux gangsters jusqu'a ce que Oxmoz suite a une faille dans ces calculs provoquent la faillite de nombreux capitaux. Tous les gangsters du monde entier veulent sa peau. Il s'est enfui au Congo, à Kinchasa, étant noir de peau, il s'est fondu dans la population.
Le nouveau virus qu'il a fabriqué permet de détruire un ordinateur et de copier ses données en moins de cinq secondes, un vrai bijoux de la technologie. Tout le service secret se l'arrache, alors la CIA veut l'assassiner afin qu'il emporte son secret dans sa tombe.
Et cette fois ce n'est plus, la Confrérie du Meurtre, ou un quelconque politicien, mais la CIA.

Si je l'assassine, j'aurais droit à une vie tranquille.
Je reprends les bonnes vieilles habitudes, je vais à la piste de décollage de Xemelro Forest. Deux hommes habillés en costard classent m'attendent devant un petit avion noir, ils me font un rapide briefing et me donnent un dossier contenant toutes les infos sur la mission, ils me donnent aussi une lourde mallette contenant du matos aussi bien destinés au meurtre qu'a la survie.

Je lance un bref regard et monte dans l'appareil. Le pilote, un petit blond nommé Jack (même si je doute que c soit son vrai nom) me dépose 7h plus tard à Kinshasa, sur une piste aride et poussiéreuse.

Je redescends la mallette à la main, et fonce dans l'hôtel signalé dans mon briefing "L'Europe", un hôtel modeste, bondée d'étrangers en cette période estivale.
Je ferme la porte a clé, et ouvre la mallette contenant :
-Un couteau de survie
-Un pistolet muni d'un silencieux
-Un pad
-Un microphone avec une cassette
-Un fusil sniper démonté.
-Une boite de Valium....

J'appuie sur le bouton play du microphone, la cassete se lance :


".....Ici le Colonel Kent, première étape de l'opération 666. Maintenant que vous êtes arrivés à l'hotel l'Europe, prenez place dans l'hotel et rejoignez Youssouf, dans le café "Patanga" a 14h précises, il sera seul sur la terrasse. Il aura des marques de brulures sur les mains et le visage. Il vous dira tout sur ce que vous devez savoir... Nous avons remarqué que vous présentiez certains troubles de la schizophrènie, ces pillules de Valium vous aideront a surmonter le coup. Vous vous demandez surement que ça ne sert a rien, mais qui vous a dit que c'était vraiment des pilules de valium? La cassette se consumera automotiquement à la fin de la bande...."

La cassette se stoppe, la bande de la pellicule fond, et la cassette a cause de la chaleur enfle comme une bulle de savon. Je jette la cassette encore brulante dans la poubelle, laisasnt une vieille odeure de plastiue flotter dans l'air....

Je prends une pillule et m'endort.
Le lendemain je me réveille avec une petite douleur a la nuque. Je prends une douche qui me raffraichit a cause de la moiteur du pays et descend en bas manger des toasts. J'ai encore trois heures devant moi.
Plus tard je monte dans un taxi, et arrive a 50m du café, vieille habitude....

Je grimpe sur le toit d'un immeuble en grimpant par les facades. J'observe du sniper les alentours, celui-ci ne tire que des flèches tranquilisantes, et il est aussi muni d'un silencieux. Je vois l'homme brulé arrivé plus tot que prévu, un groupe d'hommes le rejoignent, surement armé. Je ne sais pas c'est quoi cette mascarade mais on va vite fait tirer ça au clair....

Les cinq hommes se mettent rapidement en mouvement, chacun grimpe sur un toit, et malheureusement un des cinq est venu sur le mien, je lui mets un coup de crosse, avant de l'égoger. Son sang brille à la chaleur du soleil, il meurt les yeux ouverts...Dérangeant....

J'ai dans mon colimateur les quatre lascars, je les élimine un a un, une seringue enfoncé entre les deux yeux, dans la tempe ou dans la joue.
J'observe le brulé, il crie au talkie-walkie mais rien en retour. je prends le talkie-walkie


Tous vos copains sont éliminés, je vois que vous avez essayé de me fumer... pourquoi? On doit cooperer!


Un accent congolais était très present dans son discours

Je m'appelle Youssouf Bwana, vous vous souvenez surement pas de moi, mais moi oui, il ya cinq ans, suite au meurtre de mon chef, Tazi Koliwini, on m'a brulé le visage pour manque de courage! Vous pouvez pas savoir combien savoir ça été douloureux de....


Une seringue vola dans son visage, j'ai pas le temps pour les martyrs. On fera sans lui. La foule crie autour de lui, merde, j'ai tapé dans l'oeil, un liquide jaune commence a sortir de son oeil, il a des tremblements... On peut dire que j'ai fait une belle boulette....
10mn plus tard mon pad sonne :


Qu'est-ce que c'est que ce carnaval Christie!

Il m'attendait avec cinq hommes, je pouvais rien faire.

Vous devez quand même exécuter la mission! Allez dans le camp de Bawala situé a 50m des chutes de Kinshasa, au nord-ouest, un maître de guerre, Sofi, a entre ses mains Oxmoz, et il veut le libérer à un certain russe travaillant pour le KGB. Seulement faites y très attention, on a aucunes informations concernant le camp! Terminé.


Mon pad vibre, il reçoit plusieurs images, une carte ou est situé le camp, une photo de Oxmoz et une photo de Sofi, un grand black musclé comme un acteur de X et de grands bijoux brillants une kalachnikov a la main. Il a quelque chose de dérangeant, le regard du diable peut-être, le regard du 666....

Je retourne dans la chambre d'hôtel et prend avec moi la mallette entière. Quand je vais rendre mes clés, un homme a l'accent russe parle avec l'hotellière.


Tenez Mr.Krutchev.

Krutchev, Krutchev... Je rentre comme dans une transe et me souviens de Krutchev, un des nombreux noms de Andrezy Gurlukovich, un espion au service du KGB. Il avait croupi dans les prisons du KGB pendant deux ans, étant torturés chaque jour. Je vois qu'il a pas flanché...

Une fois que je me rends mes clés je pars et le suit a bord d'un taxi, son taxi et le mien nous déposent a l'entrée d'une jungle. Il marche tranquillement et s'arrête, il m'a vu, il se retourne brusquement et me mitraille avec son Uzi, je saute au même moment derrière un arbre gigantesque, je tire quelques balles avec mon pistolet silencieux juste pour le cacher, du coté gauche je ne l'aurais pas, j'use d'une ruse vieille mais qui marche toujours, j'enlève ma chemise et la balance du coté gauche et sort du coté droit. Ma chemise est mitraillée et lui est baisé, je canarde ses cotes avant de taper en plein dans le visage.

Il tombe raide mort. Je prends son attaché-case et me cache derrière un arbre, explorant son contenu : Il contient un traité comme quoi Sofi reçoit 1.5M de dollars et que sa peine de mort en Russie est abdiquée... Je range ça dans le dossier et trouve un petit carré de Pentaflex, le nouvel explosif à la mode, bien plus sensible et puissant que le C4. Je le fouille et
trouve un téléphone portable, j'enlève son cache et bourre de PENTAFLEX la partie ou on met la batterie et la puce. C'est juste au cas ou...
Je range le téléphone dans ma poche et part en direction du camp, deux soldats viennent et me parlent avec un anglais indéchiffrable :


Je suis Kroutchev…

Ils baissent leurs armes de contrebandes et m’amènent à leurs chefs. Sofi.


Il me regarde avec un air suspicieux, et m’amène dans sa pièce personnelle, c’est luxueux. Il me passe un cigare, puis me dit :


Vous avez ce que je veux ?

Ouais, tout est dans la mallette

Avec un accent russe…

Il regarde et éclate de rire :


C’est magnifique, venez dans mes bras, cher collaborateur.

Une petite étreinte, et il crie en congolais : Ameneez le

Un jeune fatigué, des bleus sur le visage vient. Je sors en compagnie des soldats, et laisse mon téléphone dans la pièce, près des bidons d’essence, véritable convoitise au Congo.
Dès qu’on arrive au milieu de la jungle, je lui met un coup de crosse et l’abat en tirant une dizaine de balles, personne ne saura rien, le silencieux a tout couvert. L’alarme est déclenchée, ils se sont rendus compte du leur, ils courent en ma direction un dizaine de soldats, je compose le numéro du russe et appelle, les ondes de la sonnerie déclenchent le Pantaflex qui éclatent et provoquent l’explosion de tout le complexe…

Les soldats arrivent et commencent à me canarder, je grimpe dans un de ces arbres, et avec mon sniper attend patiemment, un touché, puis deux, et encore un autre, il en reste maintenant 6, un des soldats me voient et s’apprête a lancer la grenade, il dégoupille, une fléchette frappe entre ses deux yeux, il tombe endormi la grenade a la main. Quatre de ses compagnons meurt mort brisés ou brûlés…

Il en reste maintenant deux, je descends de l’arbre, et me les fait au couteau, le premier me shoote, j’évite en zizaguant entre les arbres, et balance ma lame lors ce que je suis a bout portant, le dernier soldat sort une gigantesque machette, et commence battre de l’air, j’évite, j’évite, une détonation retentit, le soldat meurt éclaté, Sofi n’est pas mort, mais a la moitié du visage brûlé.

Il sprint en ma direction en criant des jurons en congolais, des barbelés entre ses mains, je cours vers mon fusil mais trébuche, il serre les barbelés autour de ma gorge. Il va me couper la gorge comme du beurre avec son fil. Je cherche quelque chose, et trouve un gros caillou que j’abats sur sa tête a deux reprises, il tombe par terre sonné, j’aspire l’air a grandes bouffées et monte sur lui pour finir le travail, en rogne je transforme son visage a l’état de bouillie.

Je détourne des yeux et cours dans la jungle tropicale, un attroupement d’hommes armés aperçoivent la scène et se mettent tous sur leurs gardes, à ma recherche. Non loin de là, un bus bondé de monde s’apprête a partir, je cours et me glisse sous le bus, disposé entre deux barres métalliques brûlantes. Mon pad vibre, un message : RDV a 15h au point d’atterrissage.

Il me reste une heure. Le voyage a été rude et j’ai manqué de tomber plusieurs fois. Lorsqu’il s’arrête je me retrouve en plein centre-ville.

Je cours, fatigué et essoufflé, ma mallette brûlante dans les bras…
Un avion m’attend, je grimpe dedans et m’affale sur le siège, me persuadant que tout ça n’est qu’un mauvais rêve…
L’avion décolle, le paysage se rétrécit, cette mission rude me garantit ma liberté….
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Serguei Barthelemy
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MessageSujet: Re: 666, Satan.   666, Satan. Icon_minitimeJeu 27 Déc - 21:37

(HJ: Quand Marshall parlait de ça, je croyais qu'il exagérait ! Mais non. Plusieurs règles à respecter : 1 : Pas de cow boy ! Tu n'es pas dans James Bond, réalisme avant tout ! 2 : PAS D'EMPRUNT D'ARMES ! Ton équipement tu l'achète et puis Basta, donc si tu veux continuer d'utiliser des couteaux, achètes en ! Idem pour les fusils snipers super-technologiques à fléchettes, silencieux et tête chercheuse intégrés ! Que je ne t'y reprenne plus petit polisson ! Pour la peine Smile

MJ SADIQUE ON :

Seul problème pour Frank, le gouvernement congolais est loin d'être intraitable sur les meurtres commis sur son territoire, et le manque total de discrétion du tueur avait facilement permis à l'armée de retrouver sa trace. Il suffisait presque de suivre les cadavres !

Dix minutes après le décollage du jet de Smiles, deux avions de chasse lui demande d'atterir. Le visage de Smiles blanchit, il jette un oeil inquiet sur le pilote de son avion, membre de la CIA. Ce dernier lui jette un regard désolé avant d'avaler une pilule de cyanure. Hors de question de laisser l'imprudence d'un tueur à gage créer une guerre entre l'Amérique et le congo !
Privé de pilote, l'avion commence à piquer du nez. Privés de réponse, les avions de chasse ouvrent le feu. L'un des moteurs du jet explose, Frank n'a pas le temps de réagir.

Il est mort.


Voilà ce qu'il pensa quand un débris lui heurta le crâne et qu'il tomba dans les vappes. Quand il se réveilla, le décor avait changé. Il se retrouvait dans le lit d'un hopital de fortune, loin d'être aussi équipé que les hopitaux américains. Plusieurs militaires guettaient son réveil.

Le corps du tueur était recouvert d'hématomes et de cicatrices, il souffrait atrocément. C'était un miracle qu'il ait survécu au crash. L'avion s'était crashé près d'un village de bergers qui avaient sauvé l'homme d'une fin certaine en l'enlevant des restes en flammes de son avion.

Le médecin, en voyant les militaires s'approcher de leur patient, leur ordonna de partir :


"Vous êtes fou ! Ne commencez pas d'interrogatoire, ne lui parlez pas ! Vuus avez vu son état ? C'est un miracle qu'il soit encore en vie, ne le tuez pas bêtement."

Les militaires quittèrent la chambre, bientôt suivi du médecin, parti chercher de quoi calmer la douleur de son patient. Frank avait repris tout ses esprits, et malgrè la douleur, il parvint à s'asseoir sur son lit. Il n'était pas attaché. Ce répit était son seul espoir, il devait vaincre la douleur et quitter cet endroit avant de tomber entre les mains des militaires congolais.
Deux voies de sortie s'offraient à lui : la porte, ou les militaires attendaient sans doute, et la fenêtre, ce qui serait plus simple, le tueur se trouvant au rez-de-chaussée. Il devrait alors entamer une cavale jusqu'à une grande ville, sans se faire attraper par la police ni par l'armée, et trouver un aviateur qui accepterait de l'emmener jusqu'en amérique, le tout en souffrant le martyr.
Inutile de le dire : cela serait très difficile, Frank étant habillé d'une simple tenue de patient bleue très fine, et ses affaires ne se trouvant pas dans la pièce.


(HJ : en toute honneteté, j'ai jamais été aussi sadique ^^ Mais je serai gentil pour la suite, bon courage, et n'oublie pas : REALISME)
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Stavro Stazi
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MessageSujet: Re: 666, Satan.   666, Satan. Icon_minitimeMar 1 Jan - 18:42

J'ai la tête lourde comme une enclume, qu'est-ce qui m'est arrivé? Tout me revient sous forme de flash, la mort du pilote, la tombée en piquée, puis plus rien.

En tenue de malade, je m'observe dans la glaçe : j'ai sale mine, le visage amoché un énorme bandage me recouvre la moitié de la tête....

J'ai la tête qui tourne, et j'ai du mal à marcher, il me faut un truc pour calmer ça!
Je fouille dans la chambre : Rien!
J'entends du bruit dehors, un groupe de soldats armés veulent enterr mais un médecin les en empèche, il ne les retiendra pas longtemps, qu'est-ce qu'il faut que je fasse?

Je réussis a faire basculer un meuble contre la porte, lorsque la porte s'éclate sur le sol, les soldats commencent d'ores et déja à la forcer, je boite en direction de la fenêtre et réussit à passer dans la micne ouverture, avant de glisser sur l'herbe brulante.
Je commence a trottiner, je ne peux faire plus, j'entends un homme crier, ils sont arrivés dans la chambre....

Je pénetre dans le centre-ville, ou les pcheurs et autres poissoniers vendent leurs marchandises...

Que faire que faire ? Je suis baisé jusqu'a l'os...
Je trotinne pieds nus sur le sol rugueux de Kinchasa, je erconnais l'Eglise réputée pour être la première construite en Afrique... Les soldats arrivent, dans a peu près 5mn je serais immobilisé, torturé, puis assassiné.

Il faut que je trouve un échappatoire, avec un peu de chance, si je réussis a arriver au pont, je serais peut être pas sain mais sauf, enfin j'éspère...

Un soldat armé bouscule maintenant la foule en chaleur, le plus rapide de tous, je rammasse un galet gros comme un poing et le jette en sa direction, il l'évite sans problême mais cela a ralenti sa course.

Je cours maintenant, malgré que j'ai mal à la jambe, je réussis a arriver au pont, je me jette a travers pour tomber dans un fleuve...

15m de hauteur sépare le pont et le fleuve, je tombe la tête la première, le choc a été rude, je me laisse entrainé par le courant, mon corps manipulé par la mer comme un pantin. J'essaye de me hisser à la surface mais je n'y arrive pas, je suis aimanté par le fond verdatre et noir du fleuve.

Je ne vais plus tenir longtemps... Mon pied s'accroche finalement a quelque chose, je me fais tirer à la surface, avant que ma tête puisse aspirer une bouffée d'air frais, je tombe dans les pommes...

Je me réveille dans une cale moite, sous une guenille... Un pécheur congolais, me parle dans sa langue natale, lorsque je lui fais signe que je ne comprends pas, il me parle dans un anglais approximatif, il dit qu'il m'a repéché, et qu'il m'a recousu les plaies qui s'étaient réouvertes. J'aperçois plusieurs points de sutures à la cuisse, aux bras, et dans mon épaule. Il a autrefois été mèdecin, il décide de m'amener à l'hopital, je refuse, il me donne un short, une paire de tongs, et un débardeur, je le remercie, et part en direction de la ville....

Sans pognon, sans papiers, sans affaires, on peut dire que je vais rester coincé dans ce bled pendant un bon bout de temps...
Je trouve refuge dans une vieille cabane au bord de la mer, elle afflue de provisions, boites de conserves, bananes, alcools. Je me nourris et m'endort aussitot sur le tas de paille posé dans le coin.

Un homme me réveille avec des coups de cannes, il crie et me tire par le bras, m'ordonnant de sortir, je sors docilement, et m'assoit contre un palmier, il faut que je trouve une solution, et vite...
Depuis ma petite escapade, les militaires font de nombreuses rondes dans le coin, ils ne me trouvent jamais, même si le vieux n'accepte pas que je tape dans ses provisions et que je dorme dans sa cabane, il s'y est fait. Chaque matin, je pars avec lui et l'aide a pécher du poisson, sur la mer, le travail est difficile et c'est souvent exténué que je rentre dans la cabane.

Avec des batons de bambous rammassés dans la jungle, je me suis rapidement fait des pettis couteaux au cas ou il y aurait un problême...
Un soir, le vieil homme commence a suffoquer puis rend son dernier souffle. Il est mort.....
Le lendemain, j'attache avec une solide corde deux rochers a ses pieds, et l'envoi dormir avec les poissons....

La au moins il est dans son élément, repose en paix vieillard...
je retourne dans la cabane après avoir vendu les dix seuls poissons que j'ai péché...

Un blanc dans ce village, ça passe pas inaperçu, les militaires vont bientot me retrouver si ce n'est déja fait, je retourne dans ma cabane et me fabrique un baluchon, avec de la nourriture, et mes petites lames de bambous.
Je prends la route, a trvares la ville, il faut trouver un gagne-pain.....
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MessageSujet: Re: 666, Satan.   666, Satan. Icon_minitimeMar 1 Jan - 19:04

Le petit séjour de Frank chez le pêcheur, qui dura un peu plus d'une semaine, lui aura permis de se reposer un peu, même s'il effectua un travail épuisant. Seulement les soins faits par le vieillard étaient loin d'être bien faits.
Alors que Frank marchait depuis plusieurs jours, dormant où il pouvait, parfois à même le sol, d'autres dans la maison d'un congolais compatissant, il se rendit compte que ses plaies s'ouvraient, et qu'elles commençaient à saigner de nouveau, de plus, certaines s'infectaient. Mieux valait les soigner au plus vite. L'armée congolaise avait fait cesser ses patrouilles, pensant Frank mort lors de sa chute, mais la police de l'Etat avait reçu une description précise de l'homme, juste au-cas-où. Blessé comme il l'était, Frank était loin de passer inaperçu.

Il finit par parvenir dans la commune de Nsele, à l'Est de Kinshasa. La région était assez peu urbanisée, mais Frank parviendrait sans doute à trouver un médecin de campagne capable de soigner ses plaies discrètement, mais il faudrait qu'il trouve de quoi payer ce dernier. Avec les poissons qu'il avait vendu, Frank avait reçu quelques milliers de Francs CFA, ce qui ne représentait quasiment rien.
Frank avait également entendu d'un paysan que l'aéroport international de Ndjili n'était pas loin de la commune. Il pourrait très bien corrompre un pilote pour qu'il l'emmène loin du Congo.


(HJ : N'hésite pas à faire ton RP sur plusieurs semaines si tu veux expliquer comment tu gagnes un peu d'argent, sauf si tu trouves une meilleure idée. Tu as libre choix de tes PNJ donc pourquoi pas un ressortissant américain qui t'aiderait...)
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MessageSujet: Re: 666, Satan.   666, Satan. Icon_minitimeMar 1 Jan - 20:26

J'arrive en pleine nuit au milieu d'un village enfoncé au beau milieu de la jungle, mes plaies se sont réouvertes, et je ne vais plus continuer longtemps, je m'effondre entre deux huttes, je me réveille deux heures plus tard, il est 7h du matin, le village est déja en activité, un homme m'observe puis examine mon corps, mes blessures, et il court et revient avec un homme portant une sacoche en cuir, dedans il sort du matériel médical et m'examine, je sors mon pognon, et le tend vers lui mais il refuse, deux hommes m'emmènent dans une de ces huttes, et il me soigne, il est vrai que les moyens restent moyen-ageux, surtout quand il me guérit avec une lame chauffée a blanc.

Il me fait fumer de la Marijuana pour que je ne ressente pas la douleur, du moins que je plane et ne me rende compte de rien, et ça marche : Je vois des hallucinations, cet enfoiré de Tom Himmingway apparait avec deux putes dans les bras, il tire une bouffée sur un long cigare et me fait un doigt d'honneur avant de disparaitre...

Ca faisait longtemps que je n'avais pas eu ce types d'hallucinations, peu après je reste dans le brouillard, des souvenirs s'enchainent et je me lève en pièce détachées, mes plaies sont bien refermées, mais il me faut un peu de repos...
6 jours plus tard, je suis d'appoint, je me suis lié d'amitié avec le mèdecin, on arrive a se comprendre même si on parle pas la même langue, je chasse, pèche, et travaille la terre avec les hommes du village, le mèdecin me loge, et je suis accepté par la tribu....

J'excelle dans la chasse, habitué a traquer des proies, je n'ai pas eu du mal a attraper des petits animaux... Lorsque les animaux sont attrapés, soit on prend leur fourrures et on la revdn, ou alors on vend l'animal vivant a des animaleries, a des zoos ou a des particuliers.

Depuis un certain temps, beaucoup de chasseurs ne reviennent plus de la jungle, déchiquetés par les griffes de "King", le surnom donné a un tigre encore invaincu jusque là, pourquoi pas le chasser? Avec sa fourrure je pourrais me payer ce que je veux....

Beaucoup d'hommes me déconseillent d'aller le chasser, mais j'y vais avec l'intime conviction que je vais l'avoir, je ne fais qu'un avec mes lames, je suis le meilleur lanceur du monde entier, je vais réussir à le tuer.

Tout en me persuadant que j'étais invincible, je savais que la moindre gaffe m'emmènerais six pieds sous terre.....
Un des hommes me montra du doigt sa tanière, je pris un long baton de bois et me dirigeait vers la tanière.... Un endroit regorgeant de cadavres de cerfs et autres bêtes me faisait face, ou il était?

Un rugissement rauque se fit entednre dans mon fos, je basulais sur le coté, manquant de me faire déchiqueter par le tigre, je tombais à la renverse, et observait le démon en personne, une bête de 300kg de muscle me faisait face, je jetais une de mes lames qui s'enfonça entre ses deux yeux, sans l'assassiner pour autant et fuyait a toute vitesse en direction du village, les villageois rigolaient en m'apercevant essouflé, puis retournaient à leurs occupations...

Je m'entrainais pendant plusieurs semaines à manier la lance comme un dieu, j'avais un plan assez simple, il ne me restait que quelques trucs a paufiner...

Trois semaines plus tard.....

Je me lève suant et chaud comme la braise, des coups de feux éclatent dans la nuit sombre, j'entends une femme gueuler comme uen dingue, la même voix que celle de la femme du medecin, j'ouvre la porte doucement, deux cadavres me font face, celui du docteur, mort, et de sa femme qui a le ventre criblé de balles...

Je cours en sa dierction, elle chuchotte comme des prières puis s'éteint. Je sors, mes lames à la main, j'ai une envie de tuer!
Le convoi part, seul quatre soldats armés jusqu'au dents finissent le travail, achevant les derniers survivants ou brulant les rescapés, le village est a feu et à sang....

Je bondis sur un des quatre soldats, et enfonce ma lame de bambous au plus profond desa gorge, il meurt les yeux écarquillés, un des quatre soldats se rend compte qu'il ya quelque chose de bizarre et court vers son pote allongé, il l'examine, il en faut pas plus pour attirer un homme dans ma toile, d'un geste rapide j'enfonce mes deux lames dans sa gorge, son sang gicle sur sur le sol poussièreux, il en reste maintenant deux....

Je grimpe sur un arbre, et les observe, deux soldats progressent dans le village, un se dirige vers l'Ouest ,et l'autre vers le Sud, la jungle...

Je progresse sur les toits des baraques et me fond sur un des deux hommes, mon genou tape l'arrière de sa tête, il s'écroule sur le sol, je tombe avec lui, il commence a battre de l'air avec sa machette, je l'immobilise et le désarme grace à mon enseignement au CQC, je dégoupille une des grenades attachés a sa veste, et le lui donne un coup de pied frontal, il tombe à la renverse, je bondis dans la poussière, il se débat comme si il avait le diable au corps, et il vole en éclats, devenant un tas de chair brulant...

Il est vrai qu'une machette a la main, des traces de sang et de poussière sur le visage, et un sourire d'assassin me transforme en monstre, l'homme un simple couteau à la main, fuya lorsqu'il vit ce qu'était devenu ses compagnons, ma lame frappa en plein dans son front, comme le tigre, il tomba, paralysé, s'écroulant comme une statue de cire..

Il me reste une dernière chose a régler...
Je me dirige vers la cabane du sage du village, contenant plusieures lances, j'en prends qu'une seule, il ne me reste qu'une seule chance.. je prends un des cadavres des soldats et le dépose près de la tanière, planqué derrière les hautes herbes, le Tigre avance prudemment et arrache le corps de la vioctime avec ses longues canines, je vise prudemment, il ressent une présence, trop tard, la lame lui traverse l'estomac, il essaye de marcher, mais il tombe, il pousse maintenant des couinements avant de mourir...

Je dépece la lourde carcasse avec la machette du soldat, et fuit avec sa peau....

Je quitte ce qui reste du village a bord de la Jeep des soldats, et revend ma peau quelques millions de francs CFA....
J'erre maintenant dans la ville, devenant une lègende parmi les autochtones...

Plus tard, une vague d'avions atterrissent à Kinchasa, le président actuel est mort d'une crise cardiaque...
J'arrive et propose mon pognon a un des aviateurs, un congolais accepte et me fait une place dans la cale de l'avion...
Il ne reste plus que quelques secondes avant que l'avion décolle....
La mort me suit comme la peste, la CIA m'a enculé, et ma vengance sera terrible....
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Serguei Barthelemy
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MessageSujet: Re: 666, Satan.   666, Satan. Icon_minitimeJeu 3 Jan - 1:41

(j'aurai jamais cru voir une chasse au tigre sur Karandras, rien que pour ça bien joué ! Wink )

MJ :

L'avion de Frank aterrit en France, à Paris. Il reste dans la capitale une semaine, semaine où il rencontre un vrai médecin, qui le soigne pour les quelques dollars donnés à Frank par le pilote congolais. Puis, le tueur professionel prend un vol vers les U.S.A. que le congolais lui avait reservé, avec tout ce que ce dernier avait touché de Christie, il lui devait bien tout cela.

Le temps du vol, Frank se repose. Son visage est couvert de pansements, et son corps de bandages -il est clair qu'il en a pas mal pris durant cette mission ! Il a également le temps de se poser des questions. Que va-t-il faire à présent ? Toutes ses semaines perdues, pour rien, à cause de ces salopards de la CIA. Durant cette mission, il avait au moins eu le temps de voir une nouvelle fois la violence du monde.
Il finit vite, devant toutes ces préocupations, par s'endormir.

Quand il arriva à New York, il fut surpris de croiser plusieurs hommes venus là pour l'acceuillir. Costards, lunettes de soleil, ils auraient tout aussi bien pu porter un manteau flu inscrit "CIA" que cela n'aurait pas été trop clair.
Frank n'a pas le choix, il les suit, se demandant ce qu'il lui arriverait. A quoi bon avoir traversé le monde pour se retrouver refroidi par une agence gouvernementale ? Il est "escorté" jusqu'à une Jeep noire, où un homme s'entretient avec lui.


"Ainsi, c'est vous Christie ? Je m'attendais à quelqu'un de... plus grand ! Mes agents ont eu du mal à retrouver votre trace, mais ils ont finalement pu vous localiser à Paris. Impressionant tout ce que vous avez fait au Congo. Comme vous vous en doutez, il serait assez dérangeant que notre agence soit mêlé à cet abominable crime."

Le type en costume chercha alors quelque chose à l'intérieur de sa veste. Frank s'attend à recevoir une balle. La Jeep étant entourée par des agents, inutile d'essayer de s'en sortir au fond... Frank était épuisé. Mais alors qu'il s'attendait à faire face au canon d'une arme, il reçoit une épaisse enveloppe.

"Voilà pourquoi nous esperons que ce salaire vous dissuadera de parler. Autre dissuation : nous avons votre nom et votre prénom Frank Christie, nous savons que vous exercez sur Karandras où vous avez déjà tué plusieurs hommes. Si nous ne vous dénonçons pas, c'est uniquement car nous auront sans doute de nouveau besoin de vos services. Dès notre appel, inutile de vous dire que vous n'aurez pas le choix. Nous sommes, en quelques sortes, votre "client privilégié". Sur ce, si vous voulez bien m'excuser."

Frank fut alors invité à quitter le véhicule qui s'en alla en dérapant, en quelques minutes, tout les agents avaient disparu. Frank soupira de soulagement, s'accrochant farouchement à son envellope. Elle contenait des liasses de billets.

Le tueur prit un bus qui l'emmena à karandras en quelques heures. Là, il s'accorda un repos bien mérité. Il devrait prendre soin de ses blessures pendant encore un mois au moins, mais son "salaire valait le coup".



Mission validée !
Ta "ressurection" inattendue, après des semaines de disparition, a fait de toi une quasi-légende dans le milieu, et ton nom commence doucement à se propager dans la rue.

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