Stavro Stazi "Le Major Suicide"
Nombre de messages : 507 Gang : Mafia Russe Spécialitée : Assassinat, Explosifs, Corps à corps Votre arme favorite : Mes mains Date d'inscription : 18/11/2007
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| Sujet: La Médaille du mérite Sam 2 Aoû - 23:55 | |
| Marc Soreleaux. Un putain de frenchie de paparazzi de merde. Ce jour-là, il avait fait une exception et avait juste infesté de micros une table de restaurant. La table habituelle des pontes. Lorsqu'un ponte en avait trouvé sous la table, alors qu'il voulait rammasser sa fourchette, il explosa de rage et envoya les hommes de mains chercher dehors.
On peut dire qu'ils avaient eu chaud : Ils avaient repérés les mircos avant de balancer une quelconque info qui pouvait les inculper. Avec la description d'un serveur, et quelques recherches ici et là dans la ville, on eut finalement un nom. Soreleaux. Un petit français à la recherche du rêve américain.
Stazi et deux autres russes ne mirent pas longtemps à retrouver le petit français. L'un des deux russes éclata la serrure avec un marteau et un tournevis. Stazi mit un chassé dans la porte avant de pénetrer dans l'appartement. Déja déserté. Stazi cherchait du regard un quelconque indice de l'endroit ou il s'était caché.
Il trouva un post-it ou il était écrit, Kali Motel, 59ème, Los Tres Ninos. Un quartier latino. Stazi souria. Il rangea le post-it dans la veste de son costume avant de lancer :
-Le batard nous a filé entre les doigts. On rentre.
Stazi monta dans sa voiture en laissant sur le carreau les deux autres. Il se dirgea à l'adresse indiquée sur le post-it. Il se gara devant l'hotel et jeta un oeil à sa montre : 00:02.
Stazi contourna l'hotel, sauta la grille qui donnait sur l'arrière cour de l'hotel, oû on posait les poubelles, les chaises en trop, etc... Il se déplaca discrètement avant d'ouvrir l'issue de secours et pénétrer dans l'hotel. Il grimpa les seuls escaliers donnant sur le seul étage de l'hotel.
Il colla l'oreille contre chaque porte, essayant de discerner du bruit. Dans une des portes il entendit une voix et réussit à discerner quelques mots comme "Dans la merde", "retrouvé", fuir", "aide-moi". Stazi souria avant de toquer à la porte.
-Oui ?
-Service de chambre !
-Repasser dans quelques heures, je suis occupé !
Stazi jura, il ne voulait pas en arriver là mais il était obligé... Il sortit son arme, l'arma d'un silencieux et tira sur la serrure à trois reprises. Il pouca la porte du doigt, avant de retrouver le journaliste apeuré, armé d'un petit canif.
-Ne jouez pas à ça avec moi.
Le journaliste accourut vers Stazi avant d'essayer de le poignarder, les vestiges de la guerre réapparurent, il lui bloqua le bras avant de le jeter contre un mur. Il le braqua avec son silencieux avant de lancer :
-Je ne suis pas là pour vous tuer. Je suis envoyé pour vous tuer, mais je veux vous aider. j'en ai marre de cette vie tachée de sang. Je veux vous aider. J'ai de l'argent, assez pour vous payer un billet d'avion.
Il se dirigea vers la porte avant de lancer :
-Libre à vous de rester mais, dans quelques secondes trois hommes lourdement armés joueront avec vos tripes.
-Je... Très bien je viens.
Ils se dirgèrent tous deux vers la Mercedes. Stazi remarqua que le français était nerveux, n'arretait pas de taper du pied et regardait toujours derrière. Stazi emprunta le périphérique avant de se diriger vers le désert. Le journaliste lui ordonna de s'arrêter.
Stazi freina un coup sec, et son nez se fracassa contre le tableau de bord. Il avait fait une erreur qui lui a été fatale : Ne pas mettre sa ceinture. Il gémit avant de ranger son visage dans ses mains. Stazi le poussa du pied hors de la voiture avant de descendre à son tour et lancer :
-T'as vraiment cru que j'allais te laisser en vie ? Moi et l'organisation, c'est à la vie à la mort.
Il tira une balle dans le ventre avant d'en balancer une dernière dans la poitrine. Il remonta dans la voiture et essuya le sang étalée sur le tableau de bord avec un mouchoir. Il remonta dans la voiture avant de retourner dans la voiture. Il se dirigea vers l'entrepôt et y arriva pile à l'heure du rendez-vous, 1h30. Deux hommes l'attendaient, un grand ponte et un homme étrange muni d'une valise. Stazi s'assit sur une chaise et le ponte lança en russe :
-T'es un bon Stazi, trop peu le remarquent, faut dire qu'on a de sacrés bâtards dans l'organisation. Ce Serge là, j'aime pas son regard... Aujourd'hui c'est un encouragement, plus tard ce sera une promotion.
Il lui lança une petite tape sur la joue avant de claquer des doigts. Stazi se mit torse nu avant d’attendre patiemment que le tatoueur ait fini l’inscription : «Sans eux, je ne suis rien ». Il faisait désomrais parti indéfiniment de la mafia Rouge. Il mangeait Bratva, dormait Bratva, pensait Bratva. A la vie à la mort comme il le disait… | |
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Serge Helvitch Gangster Moyennement Important
Nombre de messages : 861 Age : 33 Gang : Mafia russe Spécialitée : Trafic et règlement de compte Votre arme favorite : MP-5 Date d'inscription : 09/07/2007
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| Sujet: Re: La Médaille du mérite Mar 5 Aoû - 13:26 | |
| Ce petit type ne manquera à personne, peut être seulement à son patron. Les grands hommes eux-mêmes ne savaient qui cela pouvait être. Le corps du français ne sera jamais retrouvé et jamais la police n’a eu de signalement concernant sa disparition.
La marque de noblesse sur son corps sera indélébile et la moindre trahison de Stavro sera durement punie, désormais, s’il trahi, il mourra, sa famille mourra, ses biens seront saisis, la totale. Le ponte délivre également une lettre manuscrite écrit en cyrillique à Stazi.
« Nous ne nous aimons nullement, mais ton courage mérite récompense et mon respect. »
Signé, Serge Helvitch. Le ponte ouvrit la valise avant de la donner à Stavro. 20.000 $ en liquide de la part des pontes.
Précaution : 15/50 Cible : 9/50 Moyens : 8/30 Qualité : 30/70 + 62 réputation | |
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