Arnaque, 3eme et dernier Acte

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Une bonne nuit,


Tirmee venait de passer une des meilleurs nuits de sa vie. Comme bercé par le bruit de son argent qui allait bientôt couler à flot, Tirmee surfait sur une vague de bonheur dans ces songes les plus profonds. Il était à la tête d'une entreprise qui lui rapportait assez pour ne plus qu'il ai à se mouiller. Bref, un monde loin des cambriolages et des fusillades.


C'est sur ces pensées que Tirmee émergea ce matin là. La tête bien fourrée au fond de son cul, il savait que la nuit avait été courte et se souvint de suite qu'il avait barbé un Docteur de Little Italy et qu'il devait dorénavant aller vendre le fruit de son labeur. Malheureusement pour lui, il ne connaissait personne à Karandras pour récupérer les tableaux. Ils avaient été légerement froissé pendant le transport, mais ils étaient toujours aussi beau.


Pour les bijoux, c'était une autre affaire. Il connaissait un book-maker qui rachetait les marchandises de qualités en plus de son boulot habituel. La rumeur voulait qu'il fasse ça dans sa salle de boxe, dans le Cuba Sector. Tout en enfilant ces fringues neuves, Tirmee se sentit enfin propre.





Après avoir fait peau neuve dans son nouveau Pantacourt en Jean, ces nouvelles chausettes blanches et violettes, son nouveau débardeur et sa nouvelle chemise, Tirmee descendit de sa piole pour aller matter le journal que Diego avait surement acheté. Et il vit nul part son cambriolage, dans aucuns des feuillets de ce torche-cul de Karandras.





Le cubain savait qu'il faudrait une répression sur la famille du Docteur et ne savait pas encore ce qu'il allait faire. Il était sur que Ragnieri aurait fait renforcé la surveillance de sa demeure voir même qu'il aurait déménagé plus loin dans le quartier riche de Little Italy. La vengeance se ferait avec le temps, il n'en doutait pas. Il prit alors ces deux calibres et les plaça dans son futal, comme à son habitude, le Glock devant, le 45 à l'arrière.


Il prit un vieux sac à légumes en craft qui trainait dans la cuisine de Diego et y placa les bijoux avant de les fourrer dans sa poche arrière de pantacourt. Il passa alors par le Garage de Diego pour sortir. Au milieu des pièces détachés et de quelques moteurs en kits, Diego était fourré dans sa fosse. Il réparait une vieille Chevrolet qu'il avait acquis d'une façon plus ou moins légale. Tirmee frappa sur la carroserie de la Chevelle SS et lui fit signe qu'il sortait. Diego sortit et lui demanda.





Tirmee checka alors Diego et partit en direction du Book. Latino Sector et ces tueries de sons Latino. Dans les enceintes d'une maison de la rue du garage, on entendait du Pittbull. Un des chanteurs préféré de Tirmee. Un vrai Cubain, fier de ces racines. Marchant et veillant à ne pas se faire braquer par le premier Coño qui passerait par là, Tirmee savait que le Barrio était l'endroit révé pour vider les poches des gars pas assez méfiant.

Il n'aimait pas se balader seul dans le barrio, et préférait avoir de la compagnie la plupart du temps. Il n'était pas assez connu dans le quartier pour qu'on ose pas l'approcher. Et il fallait qu'il arrange ça le plus vite possible. Un peu de respect et un peu de crainte. Voilà ce qui lui manquait dans le quartier. Il lui fallait faire parler de lui et en imposer. Il eu alors une idée qu'il mettrait en place avec le Book, qui lui avait bonne réput' dans le secteur.





Tirmee arriva enfin à la salle de boxe. Comme à son habitude, elle était pleine à craquer de mec qui voulait devenir le poulain de Juliano Castro, le roi des nuits de boxe clandestines dans le Barrio. Rien à voir avec ceux organisés par les Skins, c'était de la vrai boxe et pas du free-fight. Mais de la boxe spectacle et tout le monde savait que c'était surtout un moyen de récupérer de la thune sur les paris.

Tirmee se faufilla alors entre les Dixaines de pélos qui voulaient entrer dans la salle et tomba nez-à-nez avec le vigile qui contrôlait les entrées du club de boxe. Le mec lui barra le passage et l'envoya chier direct.





Tirmee fit alors glisser un billet de 100$ au videur. Il savait que c'était son laisser-passer lorsque ce dernier le prit et changea de regard sur lui.





Le videur ouvrit alors la porte du "Temple" de la boxe et fit rentrer Tirmee à sa suite. Deux autres mecs gardaient l'entrée du Club de boxe, qui ressemblait plus à une boite de nuit au vu de ces Videurs qu'à un club de sport. Mais l'odeur elle était bien celle de la sueur et du sang. Suivant le videur, Tirmee passa entre deux ring ou s'affrontaient des poids lourds. De vrais machines à baffes ces gars là. Le videur mit la main sur le bide de Tirmee et lui demanda d'attendre içi.

Le cubain se posa alors sur un sac de frappe pour matter ce qui se passait sur le ring. Les deux gars semblaient vraiment en forme et se rendaient coups pour coups. L'un deux avait la gueule complétement ouverte mais continuait à combattre. Tirmee ne comprennait pas qu'on puisse endurer autant de douleur pour rien.

C'est alors qu'arriva un mec sappé vraiment classe derrière le grand Videur. Un putain de costume comme Tirmee n'en voyait que dans les films et dans Prosperity Avenue. Un vrai mec qui en jettait grave. Il prit la parole alors que Tirmee ne l'avait pas encore remarqué, trop concentré sur ce qui se passait sur le Ring.





Le jeune cubain se retourna et vit la classe à l'état pur. Il venait de cotoyer ce qu'il voulait être. Voilà l'exemple même du mec auxquels il voulait ressembler. Il avait marqué un point en passant voir le Book. A lui d'assurer pour chopper un taffe en vendant sa marchandise.





L'habitude des arcades qui pêtent ou des levres qui explosent dans les rixes contre les mexicains en fin de soirée les samedis. Tirmee avait oublié qu'il parlait au Book et qu'il n'avait pas le temps pour la conversation annodine à laquelle il se donnait. Il voulut s'excuser et demander à aller dans le bureau du book quand ce dernier prit la parole plus rapidement.





Il avait regardé le videur du genre si la réponse ne me plait pas, tu me le sors et tu le frappes assez fort pour éviter qu'il revienne içi. Tirmee allait devoir être très convainquant dans ces prochaines paroles s'il ne voulait pas se faire sortir du Club en moins de temps qu'il lui à fallu pour y entrer. La main sur son Glock, à travers le tee-shirt, le jeune cubain savait que ça daubait grave pour sa gueule à se moment.





Juliano Castro compris tout de suite l'allusion. Des bijoux féminins, voila ce qui amenait le Gamin du Barrio içi. Il prit alors une mine réjouit et le fit monter dans son bureau. Montant les escaliers métalliques du Club pour arriver au bureau sur la mézaninne, Tirmee n'avait pas laché son Glock. Il devenait de plus en plus méfiant au vu des changements de comportement du book. Un excellent acteur, voila pourquoi c'était surement le meilleur Book de Karandras. Devant le bureau, un autre garde, mais armé celui là, et il ne cachait pas son Ak-47. Une arme de guerre dans les mains d'un tueur expérimenté au vu de sa tronche patibulaire.





Lachant la prise de son glock, il savait que même s'il était en danger, il ne lui servirait à rien fasse à la puissance de feu de l'homme. Il était dans la gueule du loup. Il devait donc s'en sortir sans toucher les dents et atteindre son but. Plus questions de faire marche arrière.





Le garde de l'entrée vint pour fouiller Tirmee. Ce dernier souleva alors son Débardeur noir pour montrer le Glock au gars de l'entrée avant qu'il ne s'approche de trop.





C'est la seule excuse que Tirmee trouva pour justifié le fait d'avoir des flingues sur lui. Mais contrairement à ce qu'il pensait, le book apprécia la sincérité du Cubain. Il fit même un signe à son garde de laisser courir. Il venait pour affaire par pour le tuer. Et on connaissait la réputation de Juliano Castro, un ancien boxeur qui avait réussi dans les affaires en faisant parler ses feux.

Les deux pénétrèrent dans le bureau à la grande baie vitrée. Juliano dégraffa deux boutons de sa veste et s'assit dans son fauteuil de cuir. Tirmee attendit qu'il lui fasse signe de s'asseoir avant de s'installer sur la chaise, en retirant le sachet en craft de sa poche arrière. Il sortit alors la came et la déposa sur la table. Le mec fut directement attiré par le Solitaire sur la petite chainette en Or blanc. Il le prit et le matta comme un professionnel. Il n'avait donc pas usurper sa réputation, c'était un homme de gout.

Il reposa le solitaire et prit les perles et la parrure. Du travail d'orfèvre qui valait un beau petit paquet de fric. Et Tirmee se lança alors sur le sujet.





En rangeant ces bijoux dans le paquet en craft, Tirmee évitait ainsi les mauvaises surprises. Il savait qu'il ne fallait pas laisser une miette à l'homme, sinon il le dévorerait. Mais Tirmee avait encore un tour dans son sac avec les tableau pour accrocher le book en cas de refus. Les négociations allaient alors commencer.

Fidèle,


Fidèle à sa réputation, le bookie voulait négocier. Tirmee savait qu'il avait mis la barre haute pour la revente, mais il fallait impressioner dans le monde des affaires et ne pas se laisser démonter.





Et voila que Juliano jouait au chat et à la souris avec Tirmee. Il savait pertinement qu'il allait accepter à 5000$, mais il voulait voir jusqu'ou le Cubain pourrait aller. Il avait marcher dans la feinte de Tirmee et s'y était engoufré avec le plus grand doute à propos de ce qu'il désirait. Tirmee fit alors la moue, comme s'il n'était pas convaincu par la proposition du Book.





Juliano ne devait pas montrer d’avoir perdu la face, ce cubain l’intriguait. D’un coin de l’œil, il fixa son garde. Le videur savait que le book jouait avec le cubain.





Et voila, enfin le moment qu'il attendait. La pseudo-réflexion avec son garde du corps. Comme si un mec qui se servait de ces poings pour communiquer pouvait avoir une influence quelconque sur les réflexions de son patron qui avait gravit les échellons du pari sportif. Tirmee se redressa alors sur son siège et fit comme s'il pouvait lui faire une fleur. Il fallait appâter un mec comme Castro. Et Tirmee sortit alors ces cartouches de secours.





Arponage. Le jeune cubain frottait ces mains, comme pour réfléchir lui aussi.

Puis appatage. Tirmee prit l'air d'en vouloir toujours plus. Il s'affalat sur son siege et prit une mine réjouit. Il lui proposa alors ce qu'il attendait depuis le début de l'entretien. Un contact sur et permanent pour ces arnarques qui tournent "mal". Et pourquoi pas un vrai taffe et quelques relations dans le milieu Cubain.





Avait-il touché un point sensible? Il ne le savait pas encore. Mais il fallait avant tout ne pas laissé le poisson filé par peur de tirer sur le fil. Tirmee voulait vraiment travailler au coté de ce book. C'était une vraiment plus grande porte ouverte que les barmans du "Chivas". Un mec qui à le pied dans le milieu et qui pourrait lui apprendre quelques coups.





Tirmee sortit l'insigne du Flic qu'il avait déssoudé sur les docks. A la vue de la plaque, le book-maker eut un reflexe des plus humains, il prit peur de s'être fait piéger par un flic. Il avait même quasiment appelé le videur pour qu'il transperce Tirmee du maximum de balles possible. Mais Tirmee avant que la situation ne lui échappe rangea l'insigne et leva les mains en l'air en calmant le jeu.





Le videur était au courant. Un bon point pour le jeune cubain. Voila, Tirmee avait balancé toutes ces cartes dans la partie. Il voulait vendre sa camellote, trouvé un contact et un nouveau taffe. Il était en négociation pour tout ces points et savait que quoi qu'il arrive, on parlerait de lui dans le milieu. Le braquage et l'insigne, ca en jettait vraiment. Et le jeune cubain savait que travailler pour Juliano Castro en attendant son prochain coup ne pourrait que lui apporter de la caillasse et du matériel.


Bref il attendit la suite des évenements avec impatience. Et il se permit d'ajouter avant de laisser la parole au book.

Et voila le travail,


Tirmee fut satisfait de ce qui venait de se passer. Il venait de gagner 6000 $ et avait même trouver le moyen de refiler ces croutes dont il ne savait absolument pas quoi faire. Pour lui, l'art n'était pas vraiment une réference. Il savait reconnaitre les tableaux chers parce qu'il feuilletait les magasines d'art depuis tout petit, mais il ne savait pas apprécié l'art.

Une épine dans son pied que Juliano lui avait enlevé. Le jeune cubain se redressa de nouveau sur sa chaise et fit un oui de la tête à la proposition du book. Il prit le petit papier avec l'adresse dessus et le glissa dans sa poche avant gauche de Pantacourt. Puis il prit l'enveloppe que le book lui fit glisser et recompta rapidement les billets. Il y avait le compte, il n'en doutait pas, mais il avait toujours réver de faire ça. Il remit alors le sac sur la table et salua l'homme.





Le jeune Cubain se leva de sa chaise, ne trouna pas le dos à Juliano et se dirigea vers la sortie du bureau en faisant bien attention de ne pas se faire dépouiller par le videur. Maintenant qu'il avait acquis 6000, il n'allait pas se les faire voler. Il avait d'autres projets pour ces beaux billets. Une fois la main sur la poignée de la porte, il montra l'enveloppe à Juliano et lui lança avec respect.





Tirmee descendit alors les marches de la mézaninne et tomba dans la salle de boxe. Il ne s'attarda pas sur le ring mais vu que c'était déja deux nouveaux qui s'affrontait. Il passa alors devant les videurs et la foule qui s'était amassé devant la salle de boxe et partit en direction du "Siempra" le plus proche. Et ce coup-ci, pas de petit vetements. Tirmee profita de ces 6000 dollards durement acquis pour s'offrir le top du top.


Tirmee entra dans le magasin tel un grand prince. Il dépassa le rayon "Gangsta" pour retrouver celui plus classe des hommes d'affaires. Une jolie cubaine à qui il aurait bien fait la cour pour un 5 à 7 pénard s'approcha de lui et fit son office de vendeuse. Il demanda alors un costume taillé sur mesure.





Après avoir essayé un patron du modèle qu'il voulait et avoir vu les retouches à faire, Tirmee alla pour payer la jeune femme. C'était la première fois qu'il avait autant de fric et il comptait bien s'offrir ce qu'il y avait de plus classe pour un mec comme lui. Pas de Bling-Bling, juste une classe implicite. On devait savoir qu'il était important. Et le costume l'aiderait vraiment. On est plus pris au sérieux en costume dans le centre-ville qu'avec des fringues de Latinos.


Il sortit alors 600 $ de sa liasse et paya la vendeuse pour le costume et les retouches, plus une prime pour le délai qu'il savait exagéré. Tout au long de son habillage, il fit bien attention à ce que personne ne le suive. Il ne savait pas encore à quoi s'attendre avec Juliano Castro en matière d'affaire et préférait rester méfiant. Mais apparament l'homme était réglo. Un bon point pour Tirmee et ces futurs affaires.


Après avoir craqué de la thune comme un veau pour son costume, Tirmee s'offrit ce que tout bon latino se fait faire lorsqu'il en à les moyens, se faire tatouer son surnom pour qu'on le reconnaisse dans la rue encore plus facilement. Le quartier latino était plein de Tatoueurs, tous avaient appris le métier en prison et s'en était servi pour leur réhabilitation dans la société. Les prix n'était pas exagéré mais il ne fallait pas négocier avec eux. Tirmee entra alors dans le premier qu'il trouva et s'installa tranquillement devant un catalogue des réalisations du tatoueur.


Un latino tout droit sortit des clichés de films américains m'adressa alors la parole.





Et alors, qu'est ce que ca pouvait lui faire que le cubain devienne un accro des tatouage. Tirmee eu envie de sortir son flingue et lui placer une balle entre les deux yeux. Il n'aimait pas ces gens qui parlent pour ne rien dire. Mais sa raison l'emporta sur sa pulsion de meurtre et il repris sa lecture, sans même regarder de nouveau ce pauvre mec qui tentait désespérement de créer un contact avec lui.

C'est sur cette envie de meutre que le Tatoueur arriva et pris Tirmee en salle. Il lui explique alors clairement ce qu'il désirait, en enlevant sa chemise noire.





Sans dire un mot, le tatoueur sortit son matos. Tirmee se plaça sur la chaise et attendit que le mec est fini son taffe. Il matta l'environement du tatoueur et vit qu'il avait un putain de vieux pompe dérrière son comptoir. Ce quartier était vraiment invivable ces derniers temps. On y trouvait même des noirs qui venaient trainer. Des mecs de l'Africa Sector, pas de fils d'immigrés Latinos. Ils n'étaient pas en guerre, mais Tirmee n'aimait pas ces mecs.


Il réfléchit aussi au fait qu'il se soit fait faire ça sur son avant-bras gauche. Ca ne le genérai pas pour écrire, ni pour prendre son feu. Il était droitier, de quoi le soulager en pensant qu'il aurait pu faire une connerie en se faisant tatouer le mauvais bras. Il serait donc opérationel le lendemain sans aucun souci. Après une heure et demi de taffe, le tatoueur avait fini. Malgré les rougeurs de son bras, Tirmee remarqua le travail magnifique que le mec avait fait. Un vrai artiste. Il lui fit même un pansement avant qu'il ne remette sa chemise.

Il se déplaça alors à la caisse et lui fila 300 $ pour le tatouage et l'exclusivité de ce modèle. Il ne voulait pas d'un autre niño dans le quartier. On devait le respecter. Tirmee partit alors en direction du garage de Diego en passant au "Chicken Drive" avant., un sorte de Mac Do du pauvre. Il y prit deux menu Giant à 15 $ et se ramena au garage. Diego était toujours sous sa Chevy.





Tirmee montra son pansement et était bien fier de lui. Malgré le fait que ce soit un excellent cambrioleur, ilétait resté un gamin. Faut dire que ces 19 piges y était pour quelque chose. Même si içi on grandissait vraiment plus vite qu'ailleurs. Diego s'éssuya les mains dans un vieux chiffon et pris son casse-dalle. Lui aussi était fier du petit qui arrivait à s'en sortir seul. Le jeune Cubain, entre deux bouchées s'adressa à son "grand" frêre.





Il checka Diego et lui fit même l'accolade. Tirmee monta alors se pieuter, il devra être en forme pour le lendemain. Les affaires allaient être rude demain. Il plaça ses feux une nouvelle fois sous son oreiller, à coté de son cash. Il pria et se coucha direct en enlevant son futal et ces groles. Il s'endormit comme un bébé, content de sa journée passée. Mais demain sera un autre jour se dit-il, comme tous les soirs avant de dormir.

Gains:

+12 Réputation
+6.000$
-930$ de dépenses
=
+5070$


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