Carpe Diem III

Maintenant que Sally n'était plus qu'un fantôme au dessus de la tête de Thomas, il ne restait plus qu'une chose à faire, travailler pour son compte. Son but, à court terme, était de venger son mentor, un des meilleurs amis de son père et le premier caïd à avoir voulu de ses services. Évidemment, il ne fallait pas perdre l'initiative; ils étaient surs que Sally mort les attaques cesseraient. Mais maintenant, Tommy, comme on l'apellait maintenant, se devait de démonter cet alliance de petites frappes. Il devrait questionner le proprio du bar en question, en lui soutirant le plus d'info possible, il aura une idée de comment se base cette organisation.

Pour l'instant, Latoya Warren, la putte des russes réside à l'appartement de Thomas. Il reste très peu sur que cette jeune dame soit fidèle, mais, pour l'instant il la traite surement cent fois mieux que les russes le faisaient. Il lui avait surement sauvé une bonne râclée, c'est pourquoi elle l'appréciait.

"Alors, Latoya, pour l'instant je dois aller m'occuper de certaines affaires, si tu le souhaites, tu seras une personne importante dans mes affaires. Je te promets beaucoup plus d'argent qu'avec tes anciens patrons, ces tas de merde de russes."

La jeune femme acquiesça avec un sourire déformé de la raclée subie par Boris, feu son ancien patron. Thomas, armé de son Sig Sauer trivial, silencieux, ganté, se dirigea vers le restaurant du "Clan Malone". Cette saleté d'irlandais avait posé beaucoup plus de problèmes qu'il était sensé en faire. Cette organisation avait réussi à démolir une aile d'une famille Italienne, ils devraient payer. Sans avertissement, Thomas Cicero, un petit gangster italien entra dans le restaurant bar, dans lequel il avait déjà éliminé deux proprios ainsi qu'un barman. Il ne regarda que très peu derrière lui, montant au deuxième étage, dans la mezzanine des propriétaires. Évidemment, si le barman était juste à côté du téléphone qui servait de seul lien entre l'étage et le bureau du patron, il aurait le temps de l'avertir, mais Cicero ne laissa aucune seconde avant d'entrer dans le bureau.

Un homme, sur son desktop, naviguait sur internet, clairement un petit irlandais. Les cheveux courts, noirs, un visage sec et assez carré venait agrémenter un corps court mais solide, un homme qui n'avait pas gagné sa vie en poussant un crayon dans un bureau du gouvernement. La balle lui traversa pourtant l'épaule, ce qui le fit reculer. Le silencieux avait clairement étouffé le bruit, Thomas prit parole;

"Alors petit enculé d'Irlandais, tu va me renseigner sur tes amis, les amis de Malone?"

Le patron du bar, surpris de la visite tenta de tirer à son tour un desert eagle, mais, Thomas, complètement alerte, lui fit don d'une seconde balle dans la même épaule, ce qui devait être terriblement douloureux puisqu'avec une précision assez grandiose les deux balles semblaient voisines de pallier. Thomas, ne disant encore aucun mot s'approcha de son opposant, aggripant son desert eagle, le poussant au sol. Il frappa à trois reprises avec la crosse du Sig Sauer sur les balles, ce qui fit pousser un cri à l'Irlandais. Il aggripa la souris de l'ordinateur et l'enroula autour de la gorge de l'homme avant de lui dire;

"J'ai beaucoup de temps devant moi, nous pourrions faire longuement connaissance, mais, aussi, je pourrais t'épargner la vie si tu me disais, premièrement ton nom ainsi que les noms de tes plus chers alliés."

Il serra la souris autour de la gorge de l'Irlandais qui balbutia s'apeller Ken Harvey. L'italien déserra un peu la souris, menaçant toujours le petit homme de le frapper sur les balles. Il reprit;

"Alors, tas de merde, raconte moi l'organisation de Malone avant que je t'arrache l'épaule avec tout ton bras et que je te batte à mort avec."

Thomas regarda si, en deux jours, on avait installé des caméras de surveillance, ce qui est sommes toutes très peu probable. Évidemment, il regarda, et, le serveur ne l'avait pas vu, la chance était clairement avec lui.

Malgré que la prise était peu serrée, il avait un mal fou a parler, chaque mot était durement sorti :

"Malone... est le patron... avec comme bras droit... son frère... Wayne... Malone a laissé... les rennes a son frère.... pendant qu'il est en vacances....en Irlande.... Le Trèfle Noir... c'est son bar... On est beaucoup... et t'es dans la merde...

Une petite lumière sous le bureau commençait à clignoter. Une alarme. Une vieille citroen freina brusquement en face du bar avant que trois irlandais y pénetrent, deux armés de canons-sciés et un armé d'un calibre .38... Ils grimpent et s'approchent de plus en plus.... Harvey te regarde avec le sourire aux lèvres...

L'Italien était en pleine colère, il liquida rapidement Harvey avant de se diriger vers la fenêtre du patron. Évidemment, quelques balles sifflèrent non loin de lui, pourtant, aucune ne l'atteignit. Thomas ne laissa aucunement l'initiative à ses assaillants. Le Sig Sauer sursauta à trois reprises par la fenêtre du patron. Le verre vola en éclat trois balles assaillirent le premier des deux porteurs de canons sciés. Il enleva le chargeur a moitié plein de son pistolet avant d'en mettre un nouveau. Il garda le demi plein sur lui en cas de besoin. Le sergent de l'escouade, qui portait un .38, se plaça sur le coin de la mezzanine à couvert, tandis que le porteur du shotgun, lui, fit face rapidement. Thomas, lui, accollé au mur à côté de la porte n'eut qu'à entrer en combat avec le soldat du clan Malone. Il fit don au porteur du calibre 12 tronçonné d'un coup de Sig Sauer au visage. Un coup de tronçonné éclata, quelques éclats éraflant la jambe de l'Italien dans son costard totalement chic, mais aussi totalement gâché.

Il s'empara du calibre 12, pendant que l'assaillant perdit pied grâce à un bon coup de genou de l'Italien. Le lançant plus loin, il usa d'une bonne balle afin de trouer la gorge de l'Irlandais devant lui. Ils croyaient venir à bout des Italiens en envoyant trois preux hommes de main et en tuant un caïd, et bien ce n'est pas comme ça qu'on se débarasse de la plus grande race de mafieux du monde entier. Il attrapa d'une main le calibre .12, tira un coup sur la mezzanine, ne sachant pas s'il avait atteint le sergent. Il fit une roulade sur le côté, comme on lui avait appris dans les cours de port d'arme et tira trois balles, restait à voir si l'Irlandais devant lui n'avait pas été atteint par le calibre .12 et s'il avait pensé à viser vers le bas...

Le dernier irlandais fut touché par les trois balles, qui transformèrent son ventre en bouillie de chaire humaine.

Il s'allongea sur le sol avant de murmurer quelques prières dans sa langue natale. T'avais foutu un sacré bordel dans le bar, Malone piqua une crise de nerfs sur son frère lorsqu'il apprit la nouvelle.

Brisant ses vacances avec sa femme en deux, il revint aux Etats-Unis le lendemain et reprimanda son frère avant de lui demander de te retrouver.

Personne ne sait qui t'es et beaucoup pensent qu'il y a eu plusieurs personnes. Wayne est déterminé à te retrouver. Il est brulé par la haine...

+25 de reput'

25 de réputation en une action pour un gangster inconnu, ce n'est pas possible, le maximum est de treize.
J'ai recalculé, ça donne +5 de réputation..

Humm, je ne comprends pas comment t'as recalculé... j'imagine que ça devrait donner 13 dans ce cas, non?

Demmey

Non, pour moi ce rp ne vaut pas treize, mais six. Je l'ai tout lu, et j'ai calculé avec le barème, voici les détails :

- Précaution 1/3, des balles de canons sciès ça ne passe pas innaperçu.
- La cible et entourage : 1/3 aussi, ce sont des petites frappes.
- Les moyens : 2/2, canons sciès et essai d'étranglement, c'est bon
Qualité : 2/5, la fusillade n'est pas détaillée et comment explique tu qu'un gangsters comme lui n'est pas de garde posté devant sa porte ?

Donc pas cinq, mais six, désolé de mon erreur.

Ah mince, je pensais vraiment qu'il était moyennement important...Je suis perdu avec le nouveau barème... Je crois que je vais arrêter de MJ...

Pas de problème Stavro, les erreurs ça arrive a tout le monde Smile

Et ça serait dommage que tu arrete de MJ, mais c'est ton choix.

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