Fin tragique suite [PV Marshall et tous les autres qui vien]

L’aprèm était super dehors le soleil y était par contre le temps y était froid il fessait à peut près 2 degrés Celsius. Dans les journaux ont pouvaient y lire que Marshall Nillers était dans le comma, on retrouva une bière sur les lieux à ma première idée je croyais qu’il était victime d’un empoisonnement mais avec les analyses aucune substance n’y avait été ajouté. J’avais une certaine inquiétude car c’était un homme important dans ma vie c’était quand même lui qui avait été voir l’autre Latino qui m’avait mit dans son sous-sol avec le flingue, il avait fait plusieurs choses pour moi c’était quand même quelque chose de grave à mon égard.

Personne ne savait où était situé la planque de Marshall, j’ai parcourue la moitié de la ville à la recherche d’information pertinente sur le cas de Marshall Nillers, j’arriva enfin à l’hôpital où on me dit où était la chambre de Marshall Nillers c’était le 415 c’est-à-dire au quatrième étage. Quelle foutaise il n’avait même pas d’ascendeur dans cet hôpital voilà la qualité Karandras, j’arriva enfin au quatrième étage à bout de souffle car je courus comme une poule sans tête pour voir mon cher ami Marshall.

On m’arrêta à la porte, un garde de sécurité me fouilla j’étais insulter mais c’était la routine du garde voir si je ne dissimulais aucune arme, il me laissa rentré, un docteur postiché au lit de M.Nillers l’homme me regarda d’un œil suspect je regardas le pauvre Marshall qui était entubé il fessait pitié et c’était horrible à voir. Je pris une chaise à et je me mis à côté de lui, le médecin savait bien que je voulais adresser quelques mots à Marshall donc il quitta la salle toujours en me regardant à travers de la vitre

Salut, Marshall je ne sais pas si tu m’entends mec bref, je ne sais pas ce qui est arrivé ces derniers temps avec toi on ne te voyait plus et te voilà dans un lit d’hosto. Tu as beaucoup fait pour moi t’es un mec bien je veux seulement que tu te remets de cette dur épreuve

Je le regardas avec un air attristé, j’allais lui tenir compagnie jusqu’à temps qu’il se réveille je n’allais jamais le lâché je ne voulais pas le laissé partir après tout ce qu’il avait fait. Je me mit à genoux devant lit, pour une fois, c’était presque la seul fois je me mis à genoux et commença à prier

*Dieu laisse le vivre son temps n’est pas venu il ne mérite pas de mourir surtout pas à son âge.*

Je me releva et me rassit sur la chaise espèrent que le mieux allait venir

Liz était dans sa cuisine en train de se préparer son repas de midi tranquillement, se demandant ce qu'elle allait bien pouvoir faire aujourdhui Promenade habituel avec Silver, ou glandouille perpétuelle devant la télé une bouteille de vodka à la main. Cela dit, elle prit la bouteille d'Eritoff black qu'elle avait à côté d'elle et en pris une lichette. Tournant ses pattes, elle entendit son téléphone vibrait. Elle pensait que c'était Stavro qui venait s'excuser de son départ inopiné, ce qui l'avait un peu, voir beaucoup chagriner. Non ce n'était pas lui, c'était un numéro qu'elle ne connaissait pas.

Allo? Oui, c'est bien moi... qu... quoi? Dans le... j'arrive...

Liz venait de tomber de son piédestal. Voilà pourquoi Marshall Nillers n'avait plus donner signe de vie... Pourquoi ne l'avait-elle pas appelé? Pourquoi s'était-elle dit qu'il se moquait d'elle, qu'il ne l'appelait plus parce que tout ce qu'il voulait c'était coucher avec elle et rien de plus, pourquoi n'avait-elle pas confiance en lui et les autres? S'asseyant sur une chaise, effarouchée, elle prit la bouteille de vodka et ne lassa pas de boire.

"ça sert à rien bordel! Vas le voir! merde! Liz!"

Se tapant la tête, elle se leva, prit sa veste et son écharpe et sortit de son appart. Il fallait qu'elle trouve un taxi, regardant dans toute les directions, une vieille femme allait monter, dans un taxi. Poussant un cri, les mains en l'air son téléphone en main, elle s'approcha de la vieille femme...

Vous allez à l'hôpital? hein?

Non...

Si, si vous y aller, c'est une urgence madame ... mon mari est mort!

Elle se mit à pleurer, c'était plus des larmes de comédies, pour remplir de compassion cette dame agée, c'était aussi de peine, voir un homme tomber dans le coma à cause de l'alcool, un homme qui lui avait prouvé son amour, un homme qui lui avait montré qu'elle était importante... c'était étouffant, de se rendre compte de cela maintenant, et l'italienne était choquée de tout ce qui s'était passé depuis qu'elle était revenue de son pays natal. Le taxi démarra et l'amena directement à l'hôpital, la vieille femme lui disant qu'elle paierait à sa place, une main sur l'épaule, un sourire compatissant murmurant un ''toutes mes condoléances", tandis que la jeune femme lui racontait la vie qu'elle imaginait au fur et à mesure.

Sortant en courant , elle arriva à l'accueil.

Marshall...

Chambre 415, madame, dit la secrétaire sans lever son regard, comme si elle connaissait déjà la rengaine.

Prenant l'ascenseur qui mit du temps à arriver, elle chercha la chambre de tout les cotés. La porte était fermée, son coeur était serré, elle avait du mal à respirer, se retenant de pleurer, elle poussa la porte, et vit sans surprise deux hommes de peau noir dans la pièce tout deux assis, et un troisième dans un lit, les yeux fermés, des perfusions dans les bras, des fils qui étaient un peu partout. Mettant sa main devant sa bouche, elle entra murmurant un petit

Marsh...

C'était bien trop dur de parler, le voir dans cette état. Retenant de pleurer par la honte, par la peur et par la peine, elle s'approcha du comateux, posant une main, refroidit par la fraîcheur de l'extérieur, sur son visage, se mordant les lèvres, fronçant les sourcils, ne sachant plus comment réagir, ce qu'elle devait faire... Se taper la tête contre les murs, disant que c'était sa faute, ou sauter par la fenêtre pour la même raison ... Baissant la tête, les yeux fermés, son écharpe tomba sur le sol, mais qu'est-ce qu'elle s'en foutait...

C'est ma faute... j'aurais pas du... marsh... je suis désolée, murmura-t-elle puis à haute voix sans regarder les deux autres personnes dans la pièce, elle demanda.Depuis combien de temps il est comme... y a-t-il eu amélioration depuis que vous êtes là?

Il y a maintenant trente heures que l'homme est dans le comma, sans réaction. Sa vie n'était plus en danger, mais personne le savait... Le médecin devait passer d'ici quelques minutes pour prendre notes de la situation. Quand Liz tomba dans la tristesse, le médecin était à quelques mètres de la porte. Quand elle prononça quelques mots, la porte s'ouvrit.

"S'il vous plait sortez, nous allons passer quelques examens... Nous vous tiendront au courant, attendez dehors merci."

Le personnel arrivait à fur et à mesure dans la chambre, le travail commençait. C'était un comma loin d'être grave, mais cet incident ne devait plus se reproduire sinon le foie ne suivrait sans doute point... La porte finit par s'ouvrir, le personnel sortait avec un petit sourire au coin des lèvres. Le médecin allait directement s'adresser vers les trois inquiets..

"Il est réveiller, vous devrez attendre un moment avant de s'adresser à lui... Mais je vais faire une exeption, je vous laisse 5 minute pas une de plus. Et dernière chose, évitez les sujets fâchant pour le moment, pas beaucoup de temps pour peu de mots.. Il vaux mieux attendre, à vous de voir, bonne fin de soirée."

(Je ferais un gros poste plus tard ^^ Je vous montrerais le nouveau joueur que je suis ^^)

Noir, que de l'obscurité à l'horizon, où étais-je? Je ne sais rien de ce qui m'arrive, je ne ressens rien. Je ne vois rien, mon corps où est-il? Non, suis-je devenu fou? Ai-je trop bu une fois de plus? Je ne ressens aucun état d'ivresse pourtant, je ne vois ni mes doigts, ni une seule chose pouvant me situer dans l'espace dans lequel je me trouve. Je suis comme devant un écran de télévision, pas d'antenne aucune image, tout est vide. Le son est inexistant également, malgré ces petit bruits qui résonne dans ma tête. Oui je les entends, des voix, des sons aigus, sa résonne comme dans un gouffre. Je ne sais ce qu'il se passe, mais c'est plus qu' incompréhensible. Je me souviens de rien, je n'arrive pas à penser....Mais, qu'est-ce que... Je revois Liz dans mes bras, sur son fauteuil il y a des mois de cela, puis maintenant Calvin. Un défiler d'image flou, les voix sont lointaine provenant de très loin. Mais qu'est-ce que ce délire, Dieu me mettrait-il à l'épreuve? JE revois une fusillade, puis un meurtre, la police, l'agence de renseignement me tendant mon contrat. Ma famille menacer, ma mère en larme me tenant dans ces bras dans ma profonde jeunesse. Je suis tout petit je cours, oui plus vite qu'un jaguars, la police à mes trousses, j'ai une sandwich à la main. La première que j'ai voler, j'ai six ans. Je revois que des flash de ma vie, un après un, toute la douleur que j'ai sur le coeur. Puis se vide reviens, plus rien, plus de voix, plus de vision, plus rien. Je suis une âme perdu dans un néant sans fin, impossible de réagir, de parler, de voir, de sentir, aucun repère à l'environ.
Une voix, non, un son aigus encore un, il est lent se répete tout les secondes. Comme ces signalement dans les hôpitaux quand quelqu'un est dans le comma, mais.... Est-ce que ?.... Non pas possible...

« Il reviens à lui, on peux le sauver!! Allez-y massage cardiaque, si on doit le ranimer c'est tout de suite!! »

Je sens un choc loin de moi, pourtant je le sens, ce son se rapproche, j'entends à nouveaux des voix lointaine. Ahh! Cette lumière, blanche, serais-ce le paradis ? Mes yeux sont éblouit, mais.. Mes yeux?

« Il a ouvert les yeux!! Nous avons réussis!! Bravo Doc!! »

Cette lumière, les voix se rapproche, puis quelque chose de bizarre. Je me sens, oui je sens mon corps, j'ai l'impression de souffrir sur la totalité mes systèmes, je me sens lourd comme une pierre. J'arrive à distinguer un plafond blanc, je ne peu tourner ma tête mais qu'est-ce que je me sens mal. Un rond blanc apparaît devant moi, avec des marques... Non c'est un visage, mes yeux se balade lentement je peu distinguer une étiquette... Mais serais, ce que je pense? Un médecin? Suis-je à l'hôpital? Mais, mais restez prêt de moi je veux savoir!! Je suis seul, je stresse énormément, une main saisit une des miennes une main de femme. Je vois de mieux en mieux, c'est une infirmière je distingue ce qu'elle veux me dire. Me calmer!! Mais comment pourrais je? Je ne sais pas ce que je fais i........... J'étais là dans ce fauteuil, une bouteille de whisky, j'avais descendu la vodka, je n'avais pas manger d'une journée. Je suis tomber profondément avant de me réveiller avec ces lumière étincelante. Que c'est-il passer? Je me souviens de rien, j'ai une lourde impression d'avoir vécu ce comma comme dans un film mais j'en suis pas sur et je ne peux y penser afin de ne pas brouiller mes pensées enfouit dans un brouillard épais.

L'infirmière s'en va, je tourne enfin la tête. Un homme approche longuement, oui il est long à venir, un pas hésitant. Ce visage ne m'est point inconnu, et sa voix vibre trop pour l'entendre. Faire un effort, oui, mais j'ai l'impression qu'il accroît mon mal être mais ce n'est pas grave. C'est Calvin j'en suis sur, ces paroles réconfortantes ne peuvent que venir de lui. Ha que je suis content de le voir, j'aimerais tant le prendre dans mes bras, mais je me sens comme sans vie, juste de quoi regarder et entendre, suis-je infirme? Calvin n'a guère changer depuis tout ces mois passés sans le voir, il est toujours cet homme fait d'or que ce soit en matériel superficiel ou que ce soit son coeur. Il est pierre ce coeur, une pierre bien froide renfermant un profond sentiment tendre. Calvin est un homme bien, il le découvrira sûrement quand il sera trop tard enfin je ne peux penser plus longtemps à lui je suis trop en mauvais état pour apporter grande concentration. Surtout qu'une demoiselle s'approche avec hésitation, une hésitation plus grande que celle de Calvin. Cette femme je la connaît sans me rappeler d'elle, même si ce caractère ce dégage à cent mille kilomètre à la ronde. Elle parle timidement, ne dit rien de plus, elle semble triste, moi confus et faible sans être capable de mettre un nom. Les voilà qui s'en vont, mais non rester avec moi j'ai besoin de vous.

Deux jours plus tard, beaucoup veulent la mort de Marshall, mais sa sera pas si facile vu qu'il pourra sortir demain. Oui pas mal de temps dans un lit, enfin pas trop, mais il n'a pas eu d'accident c'est juste que son coeur a faillit le lâcher. Avec du repos tout devrait aller mieux, mais replongera-t-il?

Voilà deux jours que je me suis réveiller, je n'ose plus penser au passé qui me rend honteux. Je me tourne vers le présent, presser de sortir pour avoir une vie normal. La jeune fille, je me souviens enfin qui est-elle, Liz Parker. Voilà un soucis de plus, que vais-je lui dire? On c'est abandonner mutuellement, et la voilà qui arrive me voir dans un lit d'hôpital à cause de l'alcool. Je suis dans ma chambre, mangeant un petit déjeuner bien chaud. De bon oeuf, la nourriture de l'hôpital n'est pas si mauvaise que l'on le prétend. Puis à peine rétablit que l'on m'annonce que ces Wolves veulent ma mort, j'en avais entendu parler tout en buvant mon alcool. Mon garde du corps, James Nainos, je lui fait confiance. Il bossait plus pour moi, mais depuis que je suis ici, il parait qu'il est là à surveiller. Les gens m'aiment, j'en suis tout étonner, et sa m'aide à regarder le futur d'un côté positif. Le pire de tout cela c'est qu'on veux que je vois un un médecin spécialiser, un psychiatre, mais ils sont fou! Je me démerderais bien, les erreurs sont faites pour apprendre à ne plus les faire alors mother fucker le psy.

L'heure de partir, je ne sais qui attends à la sortie de l'hôpital, est-ce que quelqu'un a pris sur lui de venir me chercher? Avec ma voiture qui sait? J'espère fortement un accueil... Mais une fois dehors, ma veste sur le dos, je ne vois pas grand monde, en bref personne. Je m'assois sur un muret longeant les escaliers de l'hôpital. Je respire l'air frais, attendant sans savoir quoi...

Elle s'était avancer de quelques pas, mais c'était trop dur à le voir ainsi, ne pouvant pas bouger, ses yeux clignant, inexpressif, Liz était sur le choc et ne pouvait pas garder cette image de lui encore une seconde dans sa tête. Partant rapidement sans le moindre regard pour Marshall ni Calvin, elle poussa la porte et prit la direction du premier ascenseur. Heureusement pour elle, il était vide. S'appuyant contre un mur, elle mit son visage entre ses mains.

C'était pas possible, comment avait-il fait pour se retrouver dans un aussi sale état ? Elle connaissait les effets des mélanges mais à ce point. Il ressemblait à une loque alcoolique et droguée. Appuyant sur le bouton pour descendre, elle dut se détendre parce que la jeune femme savait qu'elle ne serait pas seule . Sortant de l'hôpital, elle rentra chez elle, prenant un taxi, retrouvant Silver et enfin à ce moment précis, elle put enfin lâcher tout ce qu'elle avait sur le coeur. Combien de temps avait-elle pleurer? Sylver lui même ne comprenait pas sa maîtresse, couinant la voyant ainsi. Ce chien avait un don, vraiment!

Liz culpabilisait, enfoncée dans son fauteuil n'ayant pas bouger d'un pouce, enfin juste assez pour se prendre une bouteille de vodka, regardant sur une étagère les quelques bouteilles de vodka qui servaient de décoration. S'endormant, par des rêves confus, l'italienne n'avait pas pu se reposer, tout était trop mouvementé, elle rêvait de Stavro et d'elle dormant dans un lit, et Marshall rentra dans la chambre une arme à la main, ses yeux montrant sa folie et tirant dans tous les sens jusqu'à ce que l'arme se pointe sur elle.

Il fallait qu'elle le voit, peut être pas pour lui dire, mais pour s'occuper de lui, comme cela, pour elle même, elle se fera pardonner. Il s'était passé deux jours avant cette réflexion, prenant ses affaires, elle retourna à l'hôpital, entra rapidement dans l'hôpital sans faire attention et monta les quatre étages, ne voulant pas prendre l'ascenseur. Ouvrant la porte de la chambre de Marshall, elle fut surprise, voyant le lit vide. Redescendant les escaliers pour aller voir l'accueil pour demander où est-ce qu'il avait installé son ami.

Et bien il est sorti... à l'instant...

La remerciant, Liz sortit rapidement. Si elle l'avait manqué, elle s'en voudrait encore plus. Regardant dans de tout les cotés, elle vit un homme de peau noir, assis sur le muret qui longé l'hôpital. C'était bien lui. Souriant, rassurée, elle s'approcha lentement...

Comment tu vas Marsh? dit-elle en mettant ses mains derrière son dos, moi qui pensait te retrouver encore dans ton lit ...

Elle essayait de rester très neutre, même si une soudaine envie de pleurer lui venait, elle sourit, et essaya de ravaler de tout...

Pourquoi ne l'avait-elle pas embrassé? Liz en avait la réponse, mais lui, ce pauvre homme sortie de son coma, ne savait pas, et il ne devrait pas savoir, en aucun cas. Déjà qu'elle n'avait aucune idée de ce qu'il pensait d'elle, elle ne voulait pas non plus qu'il pense du mal... Était-ce assez clair? En aucun cas, il ne devait être au courant. Même si la question était : est-ce qu'il y avait encore un couple, aucun des deux n'avaient fait un pas vers l'autre pour l'embrasser, aucun regard tendre, doux et amoureux. La jeune femme n'avait eux qu'un simple sourire timide. C'était cela les retrouvailles...

Malgré le temps qui s'était passé depuis la dernière fois qu'il s'était vu, Liz se souvenait encore de comment il était partis, et elle ne le cacherait pas, et lui dirait un jour, peut être pas tout de suite, c'était vrai quoi! Il venait à peine de sortir et lui lancer des pierres n'étaient pas le meilleur moyen de lui souhaiter un retour chez les vivants. Marshall s'avança vers elle mais rien ne se passa, et Liz n'était pas étonnée. Elle aimait Marshall, enfin elle croit sans en être réellement sûr...

Si t'as besoin Marsh, tu sais que ma porte est ouverte, n'hésite pas...

Souriant toujours avec ce sourire gênée, elle regarda un instant ailleurs. Ce qu'elle disait était sincère, elle voulait que cette relation se recommence, ou continue la où elle s'était arrêtée. La scène restée en suspens, ce qui créait une sorte de malaise. Comment avait-il pu passé des baisers torrides sur un canapé à des mains dans des poches, un pied enlevant une feuille sur le sol, des regards qui se croisaient.

oh, souffla-t-elle souriant, passant un rapide coup de main dans ses cheveux qui cachait son visage à cause du vent. Marsh, pas la peine de me remercier ... c'est rien vraiment rien...

"S'il savait... s'il savait ! Par pitié non! ni pense plus!"

Restant presque figée à ce qu'il venait de dire. Comment pouvait-il croire cela? Enfin Marshall ne faisait que dire qu'il n'avait pas d'argent sur lui et la jeune italienne déforma légèrement, mais alors légèrement son sens. Elle avait attendu qu'il lui propose de bouger pour parler, fronçant ses sourcils.

Attend Marsh, tu crois que c'est ça qui m'intéresse? Un restaurant de luxe comme celui ou on était allée, où il faut avoir des manières, ses gens qui sont coincés... non non non, Marsh...

Elle s'avança un peu vers la direction que le beau black proposé. Regardant son chemin sans regarder l'homme qui marchait à côté d'elle.

tu te trompes... murmura-t-elle.

Se calmant sur le chemin, elle ne voulait rien entendre, tout ce qu'il l'intéressait pour le moment c'était de savoir ce qui s'était passé, mettre les choses aux clairs. Sur un point, ils étaient d'accord... c'était déjà bien! Au bout d'un petit quart d'heure de silence entre les deux personnes, ils arrivèrent dans le parc, passant à coté de cet arbre si cher à ses yeux, jetant un bref coup d'oeil vers Marshall. Ils arrivèrent aux même endroit où ils s'étaient embrassés, Liz rigola doucement, tournant le vers vers le bel homme, regardant le lac, soupirant. C'était le moment...

Alors... qu'est-ce qui s'est passé? Comment t'as fait pour te mettre dans un état pareil? dit-elle en se retournant, ses mains dans son jean, se mordant les lèvres par peur de La réponse.




[alors chiante! Heiiin! ^^]

Voir répons edans geant parc, je verrouille.