| | | M.I.A.M.I, the Busine$$ City |  |
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Nikolaï Ianveski
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| Sujet: M.I.A.M.I, the Busine$$ City  Sam 1 Déc - 17:34 | |
| Parfait…c’était le bon mot pour ce qui allait venir. J’ai maintenant en ma possession 6 kg de cockaine que Bajuanez m’a donné hier, je dois les vendre et on se fait 50/50 du fric. Je compose le numéro de portable de Slim.J trafiquant de drogue notoire maintenant établie à Miami, il possède un club réputé, le Malibu Beach, il se trouve près de la plage et plusieurs gros poissons y passent de bonne soirées. Ce gars est un gars de confiance et il paraît qu’il se fait une montagne de fric. Seulement son principal fournisseur de came s’est fais descendre, je crois que c’était un Latino, un Colombien d’après ce que j’avais compris. Son Business est enterré autant que lui, et je suis sur que Slim’ sera d’accord pour que moi et Bajuanez lui fournissent de la came, et de la pure !
Une petite conversation et j’ai un rendez-vous avec lui, au Malibu Beach même ! Okay no problème mais je vais quand même prendre du matos, on ne sait jamais histoire qu’il ne m’entube pas ! J’appelle gars que je connais bien, il s’appelle Sticky. Je le connais depuis un bon bout de temps depuis mon arrivée à Karandras et je lui ai rendu un bon service. Il faisait partit des Marines de l’U.S Army et une fois qu’il fût renvoyé il travailla pendant quelques années en tant que tueur à gages et il s’est fait les couilles en or comme on dit. Il est maintenant à la retraite disons, il possède une grande villa dans le désert de Karandras. Jusqu’au jour ou un chef d’empire du pétrole engagea une bande de 5 tueurs pour l’éliminer. Et c’est là que je suis rentrer en jeu, j’ai faussé son identité, protéger sa femme et ses deux gosses et accessoirement fait abattre ce petit groupe dans la plus grande discrétion. Bref, il m’est redevable et il viendra avec moi à Miami sans soucis, je le paierai sûrement 1 500 $ quand même et lui m’invitera sûrement à boire un verre dans sa villa…
Nous sommes tout deux dans ma lowrider sur l’autoroute que nous parcourons depuis un bon nombre d’heures, Miami n’est pas très loin mais ce n’est pas la porte à côtée non plus. Nous parlons pendant que nous conduisons, puis nous arrivons enfin à Miami. C’est une ville de business, la drogue coule à flot et je comprends pourquoi Slim.J est venu s’installer ici. La coke est à la mode et les gosses de riches se pètent les narines tous les soirs avec les sous de papa et maman.
Nous croisons sur la route des Hummers, limousines, Ferrari ou Maserati de tous les côtés mais je n’ai pas honte de ma lowrider flambante noire qui attire l’œil de plus d’un mec dans la rue ! Plusieurs bâtiments flambants neufs, sa pue la coke à 4 km à la ronde ! Tous les gars de cette ville sont des trafiquants ou presque, il y a quelques gens plus ou moins honnêtes mais la plupart sont des gros poissons.
J’arrive sur le parking V.I.P du Malibu Club, et une fois garé nous sortons de la voiture. Autour de nous se trouve que des voitures de luxe, notamment une Ferrari et une Rolls Royce juste à côté, pas mal… Je suis bien habillé pour une fois, j’ai mis le paquet ! Costume rayé Armani, chemise et cravate D&G assortis au noir de mon costume à rayure. Chaussures Berluttis, et Ray-Ban sur le nez, je vais l’impressionner c’est sur ! Stick’ est habillé pareille, sauf que lui est vêtu d’un simple costume noir mais qui est aussi classe que le miens, portant des lunettes noires D&G quant à lui. Stick’ est noir lui aussi, et il est quand même plus petit que moi. Par contre c’est une montagne de muscle, il est vraiment impressionnant dans son régiment de Marines on l’appelait le Building. C’est un expert en tir avec toutes les armes, et il a un sang froid qui n’est égale à personne d’autre. Même dans les pires situations il est capable de garder son calme et de trouver la bonne solution, je ne crains vraiment rien avec lui, même si je peux largement me défendre tout seul, on est plus respecté et connu quand on est accompagné pour ce genre de gros deal, sa montre que l’on est respecté. Nous marchons d’un pas lourd mais classe vers l’entrée du club, et un portier nous ouvre la porte.
La musique et les lumières nous sautent aux yeux, comme les filles qui se trémoussent à moitié nue autour des riches qui danses tout heureux d’avoir de belles filles rien qu’a eux. Les gens boivent et s’éclatent les narines à la coke, tandis que d’autres sont assis surement à parler d’affaires plus que douteuses. Cet établissement est sous la botte d’un grand ripou de Miami que je connais un peu, ce gars là doit se faire payer des sommes astronomiques pour laisser Slim’ faire autant de business.
Stick’ porte la mallette contenant la coke de la mains droite, et nous sommes tous deux vêtu de gants en cuirs noirs, je crois que c’est la première fois que je suis habillé comme ça, bien que dès que je serai de retour à Karandras je remettrai un bon Baggy, casquette et t-shirt large, je ne suis pas très allaise avec ce genre de vêtements même si sa fait classe pour un deal ! Sa ne le fait pas trop d’être habillé à la mode us pour un deal d’une si grande envergure…
Nous avançons et une serveuse vint nous demander notre commande et je lui dis de nous trouver Slim.J qui arrive immédiatement. Il n’a pas changer, toujours sapé classe, costume blanc, bandeau noir sur son œil gauche et toujours aussi accueillant. Il me check moi et Stick’ puis nous invite à nous asseoir dans son bureau dominant tout le Club. Il a l’air impressionné par mon apparence, la dernière fois qu’il m’a vu je n’étais encore qu’un petit gangsta sans envergure. En passant il nous présente à plusieurs gros poissons de la ville de M.I.A.M.I, certains me parlent, d’autres me donnent même leurs numéros, puis nous nous asseyons enfin à son immense bureau, enfin au calme. Je commande un scotch de 12 ans d’âge et nous buvons tout en parlant affaire.
Je suis quand même armé, mon Colt 45 à l’arrière de mon pantalon, et mon Desert-Eagle .50 dans son holster d’épaule. Stick’ lui aussi est armé d’un Colt Python .357 et d’un Sig Sauer P226 à sa ceinture. La conversation de business s’engage, et je dis :
-Bien Slim’, écoute, j’ai des fournit ses 6 kg de Coke pure. C’est de la bonne tu peux goutter. Bref, parlons maintenant business. Il me faut quand même me faire un minimum de bénéfice sur cette coke et je te la vendrai donc à 60 000 $. C’est une affaire pour toi vu que tu peux la couper autant que tu veux, elle est tellement pure que le junkie qui s’en fout une dose crève instantanément je te le dis… Tes 60 000 $ tu les retrouvera bientôt tellement que tu vas la vendre, et tu le sais autant que moi que tu te fera le double rapidement et sans aucun problème. J’ai ensuite une autre affaire à te proposer. Moi et mon ami pouvons te fournir 3 kg de coke par mois, pareil le pris sera de 30 000 $ et c’est la même coke de même qualité. Pour l’acheminement tu m’avais parlé d’un Bateau Offshore pouvant faire rapidement une liaison Karandras-Miami en très peu de temps, on pourrait peut-être s’en servir pour le déplacement de la coke ou avec un autre moyen que tu as à me proposer, qu’en penses-tu ?
Slim.J me regarde droit dans les yeux, je ne bronche pas et ne laisse aucune émotion apparaître sur mon visage, question de business. Stick’ reste sur ses gardes en tant que bon garde du corps balayant la salle avec ses yeux expérimentés. Un silence, une gorgée de mon Scotch et il me répond…
J’espère qu’il sera d’accord, je pourrai baisser le prix à la limite à 56 ou 57 mille dollar$ mais pas en dessous, au pire des cas 55 mais il faut quand même que l’on se fasse du benef’ avec Bajuanez sinon sa ne sert à rien. Je reste calme face à Slim.J et je m’allume d’ailleurs un Cubain et j’en tend un à Slim’ qui se l’allume à son tour. J’ai bien réfléchit à mon coup et personne ne saura que la came viens de Karandras. Moi je viens de là, Slim le sait mais il ne sait pas qui est mon fournisseur, et il ne sait encore moins que c’est Bajuanez. Comme ça je suis discret tout en me faisant de la réputation au passage, faire du business à Miami ce n’est pas permis à tout le monde ! Tout en fumant j’attend la réponse de mon, peut-être, futur associé… | |
| | | | Stavro Stazi
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| | Sujet: Re: M.I.A.M.I, the Busine$$ City Sam 1 Déc - 18:40 | |
| MJ ON:
Slim. J est ok, mais il veut une baisse de 5000$, donc de 25 000$ les 3kg...
Allez savoir pourquoi, quand tu lui as parlé de recuperer ses 60 000$ ça lui a fait un peu peur, il a toujours été prudent, a 25 000 $ si ça marche, ça atténuera les dégats....
Soit ça, soit rien.
MJ Off
Tu gagnes 10 de réput'.... | |
| | | | Nikolaï Ianveski
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| | Sujet: Re: M.I.A.M.I, the Busine$$ City Dim 2 Déc - 11:32 | |
| J'écoute Slim.J tout en fumant, et entend qu'il est ok. C'est parfait, par contre il veut une baisse de 5 000 $ sur les 3 kg que nous allons lui livrer chaque mois. Je ne bronche pas, et aucune expression ne vient sur mon visage qui reste neutre face à cette demande, je tire une taffe de mon cigare pour mieux réfléchir. Ce n’est pas une grosse perte, sa nous fera donc à Bajuanez et moi 12 500 $ par moi sans bouger le moindre doigt, c’est plutôt une bonne affaire. De plus sa nous fais 30 000 $ à moi et à Bajuanez en une transaction, c’est parfait. J’ai aussi gagner quelques contacts au sein de Miami qui peuvent être intéressants, j’en appellerai peut-être un ou deux pour voir si on peut faire du business. Bref, pour l’instant je regarde Slim.J, croise mes mains et dis :
-Ok pour la baisse de 5 000 $. Sa fait donc 25 000 $ à verser chaque mois. Tu viendra tous les premiers lundis du mois, tu apportera le fric et j’apporterai la came, ou sûrement un de mes hommes l’apportera, on s’arrangera pour ça. Bref, la came est dans la mallette, et pour moi le marché est conclu…
Slim.J me check, et je le check à mon tour, puis je finis d’un trait mon verre de Whisky. Slim’ se lève de son fauteuil en cuir, et apporte une mallette similaire à la mienne qu’il pose sur la table. Il l’ouvre, et je peux voir les billets de dollar$ que je touche un peu pour voir si ce sont des vrais, c’est parfait. Stick’ ouvre ensuite sa mallette et Slim’ observe la came, il en goutte un petit peu avec son doigt et dit que c’est de la bonne, et il a raison.
Chacun prend la mallette qui lui revient, et Stick’ la met à côté de lui restant toujours méfiant à tout ce qui se passe dans le club. Nous parlons encore un peu Slim’ et moi, buvons un peu, et deux whisky plus tard, nous décidons d’y aller. Je me lève avec Sticky, et nous checkons tout deux Slim.J qui a l’air content de notre deal, c’est nickel.
Nous descendons des escaliers illuminés, puis je dis au revoir aux gros poissons que j’ai croisé il y a quelques heures, et je marche tranquillement avec classe, évitant les gens qui danses comme des tarés tout en sniffant leurs coke. Une serveuse me raccompagne au parking V.I.P et je la remercie. Je rentre dans la voiture, puis je met le contact en direction de Karandras, il est tard, sûrement vers les 3 heures du mat’…
Après quelques heures de route, j’arrive à Karandras, sa fait du bien de revenir chez soi quand même, même si c’est vrai que ma petite visite au club de Slim’ m’a fait connaître du monde et je me suis sûrement fait un peu connaître moi aussi, c’est toujours bon d’avoir des contacts partout, sa peut toujours servir.
Je tourne donc près du désert, et j’arrive sur un petit chemin de terre bien droit qui mène à un énorme portail noir, celui de Sticky. Je le remercie, et quand je lui tend les 1 500 $ il n’en veut pas et me dis que c’est normal entre potes de se rendre des petits services et que je viendrai bientôt boire un petit coup chez lui, vraiment simpa ce mec ! Bref je le check, et fait demi-tour direction mon appartement, où une fois avoir planquer mon fric, je me couche, fatigué de cette soirée plus que fructueuse… | |
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