Première misson [MJ]

Le soleil s'était déjà couché, quand Hell reçut un appel étrange. Il y eut d'abords un long moment de silence, puis, au moment où elle allait raccrocher, l'homme, car c'était bien un homme à l'appareil, prit la parole. Cette voix n'était pas tout à fait inconnue à la jeune fille, elle se rappelait l'avoir déjà entendue, mais où ? Elle retint sa respiration. L'homme parlait de mission, de mort, d'un homme, puissant... Un meurtre ? Déjà ? Hell n'y croyait pas. Qui était cet homme, et comment cela se faisait-il qu'il connaissait ses occupations. Elle l'écouta, nota rapidement ses indications. Puis tentant de répondre, elle vint à lui demander son nom.. L'homme s'interrompit. Puis il ajouta :

« Fais tout ce que je viens de t'indiquer et tu seras payer en temps et en heure. Mon identité, tu l'as connaît. Le reste, tu le découvriras bien vite... »

Il se mit à rire, puis raccrocha.
Hell avait jusqu'à minuit pour tuer cet homme, qu'elle n'avait jamais vu, qu'elle ne connaissait pas d'ailleurs. Mais la paye était plutôt intéressante. Et elle savait très bien qu'elle aurait des problèmes si elle ne suivait pas les indications. Elle se dirige vers son placard, et se mit à la recherche de ses aiguilles. Puis elle prit les dernières fioles de poisons qu'elle avait conçues. Elle mit tout dans son sac à main et le déposa à l'entrée de l'appartement. Là, elle fit changea rapidement, enfila une robe noire assez moulante, en dessus de laquelle elle revêtit un short et une brassière. Elle prit le sac et se dirigea vers « Avenue Of Prosperity », selon les indications de l'homme.
Elle ne prit pas de taxi, elle s'y dirigea à pieds, sachant qu'elle avait besoin de se remettre les idées en place? Ca faisait très longtemps qu'elle n'avait pas tué. Enfin depuis son arrivée à Karandras. Ce serait donc son premier meurtre dans cette ville.
Elle arriva bien devant la Casa de Cuba. Un sourire étrange vint se dessiner sur ses lèvres. L'adrénaline peut-être. Elle entra.
Elle jeta un coup d'oeil à droite, à gauche, et finit par repérer un homme qui correspondait à la description de l'homme qui l'avait contactée. Au même moment, elle reçu un message sur son portable. La photo de l'homme. Elle était sûre, c'était l'homme qu'elle devait abattre ce soir. Elle se rapprocha tout doucement de l'homme et de sa bande. C'était un noir Américain, dans la trentaine. Elle ne connaissait pas son nom. Elle devait le tuer, c'était tout ce qu'elle savait. Peut-être devenait-il trop envahissant... Au fond, elle s'en fichait pas mal, tant qu'elle était payée, le reste n'avait plus la moindre importance. Le volume de la musique semblait augmenter au fur à mesure qu'elle avançait. Il fallait qu'elle se fasse remarquer. Elle soupira. Elle agrafa chacune des aiguilles à son short, faisant en sorte que ces dernières de puissent la blesser.
Hell monta sur un podium. La foule commençait à avoir l'habitude de ses prestation. S'efforçant de sourire, elle fixait l'homme, tentant d'attirer son attention. Ce ne fut pas très long. L'homme ne la quittait plus du regard. Plus la danse avançait dans le temps, plus elle devenait provoquante. L'afro-américain fit un commentaire à un de ses gars, et finit par faire signe à Hell de venir. Elle sourit. Première partie de la mission accomplie. Elle se pointa devant l'homme et attendit.
L'homme, le sourire aux lèvres, vint à lui dire :

« C'est combien ? »

Hell fit une moue étrange. Cette remarque la refroidie, mais au fond, cela lui permettrait de le buter au plus vite. Elle essaya de ravaler sa fierté et, calmant l'irrésistible envie de coller son poing dans la figure de ce gars, elle vint à lui répondre :

« On peut toujours s'arranger... »

Les hommes se mirent à rire. Elle, elle no voyait pas ce qu'il y avait de drôle, mais elle se tut, restant fidèle à elle-même, et à toutes ses années. Elle soupira. L'homme se leva. Puis, la saisissant par la taille, vint à lui dire :

« Eh bien, allons voir de quoi tu es capable, ma belle... »

Hell était à doigts de lui voler dans les plumes, mais elle se laissa faire, elle était bien obligée. Elle ne connaissait pas les lieux, c'était un désavantage, mais cet homme ne se doutait de rien, donc elle était toujours maîtresse de la situation. Le suivant, elle monta à l'étage. L'homme savait où aller, elle se contenta donc de le suivre. Elle entra dans une pièce assez sombre. Elle passa la première. L'homme ferma la porte, et mit la clé on ne sait où. Hell se sentit soudainement mal. Une lueur s'alluma au bout de la pièce. Il faisait toujours très sombre. L'homme s'installa, l'invitant. Elle déglutit difficilement. Elle monta sur le lit, et s'approcha de l'homme qui la saisit. Elle voyait rouge. Son coeur se mit à battre fort, très fort, mais encore plus, quand l'homme vint à l'embrasser. Elle faillit lui vomir dessus pourtant ce n'était pas la première fois...
L'homme semblait s'amuser, il lança :

« Déshabille-toi ! »

Elle s'exécuta.
Elle se retrouva alors juste avec son short. Elle allait se retourner pour aller chercher le poison, mais elle se souvint avoir laissé son sac en bas. La porte était fermé, et le gars avait toujours sa bande en bas. Elle ne pouvait pas descendre, et quand bien même elle y arriverai, les gars pourraient trouver ça louche. Elle se serait collé des baffes portant, il lui rester toujours cinq aiguilles. C'était suffisant. En décrochant une de son short, elle la planta dans l'oeil du gars, qui était alors allongé. L'homme hurla à la mort, et commença à gesticuler dans tous les sens. Il frappa alors Hell qui tomba sur le sol. Sa tête heurta ce dernier. L'homme criait toujours, et le sang giclait en abondance. Il saisit Hell par la gorge et commença à l'étrangler. Elle tenta de se défaire de son étreinte, mais il était bien fort. Elle se saisit d'une autre aiguille, et lui la planta dans l'autre oeil.
L'homme tomba au sol. Sa tête heurta la moquette, et les aiguilles s'enfoncèrent un peu plus dans les orbites. Le sang n'en finissait plus de couler. Mais l'homme bougeait toujours. Il cognait Hell de son poing.

« Espèce de p'tite salope ! »

La lèvre d'Hell venait de s'ouvrir. Le sans se mit alors à couler le long de son menton. L'homme était trop vigoureux, elle ne parviendrait pas à le tuer tant qu'il serait encore conscient. Et avec tout se bruit elle se doutait très bien, que les autres avait du être alertés. A moins que...
Elle se releva avec difficultés, remit sa brassière, et alla chercher un lampe de chevet, pendant que l'afro-américain se tortillait de douleur sur le moquette de la chambre qui avait soudainement pris une coloration vermeille. Munie de la lampe, elle fracassa la tête du Black, qui cessa de bouger, inerte. Là, elle l'étouffa. Il mourut. C'était fini. Néanmoins, il fallait toujours qu'il sorte de la boîte, sans se faire repérer. Elle était couverte de sang, et elle n'avait pas la clé.
Elle la chercha donc dans les affaires du gars, la prit, et partit de débarbouiller dans la salle de bain adjacente. Là, laissant le cadavre, elle sortit.
Elle descendit les escaliers, et partit à la recherche de son sac. Par chance, l'équipe du gros méchant s'était démantelée dans la salle, à courir après les putes. Hell prit son sac et allait sortir, quand un homme de la troupe du Black, vint l'accoster :

« Hey ! Mais qu'est-ce tu fais ici ? T'es pas avec le Boss ? »

Elle se mit à rire, faussement, puis lança :

« J'crois bien que j'l'ai achevé si tu vois c'que j'veux dire... »

L'homme se mit à rire, lui fit un clin d'oeil, puis partit. Elle sortit de la boîte. Là, elle reçut un appel : c'était l'homme. Il lança alors :

« Bon travail. Tu recevras ton dû en temps et en heure. Je referais sûrement appel à toi.. »

Hell ne dit rien. Elle avait réussi. Elle allait rentrer quand soudain, elle entendit du bruit et la porte s'ouvrir derrière elle. C'était la troupe de l'afro-américain, que voulaient-ils ?

(HJ : J'risque d'être sadique ^^ Très beau RP mais un peu rapide, la prochaine fois, laisse le MJ répliquer une fois avant de tuer le gars Wink

)

MJ ON:

Ils étaient cinq, en blousons de cuir et sûrement armés. Leurs fringues de luxe trahissaient leur fortune. Hell venait de descendre un maquereau assez important dans la ville. L'un des mecs s'approcha de la tueuse et lui saisit le bras, lui assénant un violent coup de genoux dans le ventre avant de l'emporter de force vers une ruelle sombre adjacente à la Casa de Cuba.
Un flic qui passait par là en voiture observa la scène, l'un des hommes du macabé lui fit un clin d'oeil et le flic passa sans un mot dire. Apparement, la tueuse ne devait pas compter sur l'appui de la police...

Le mec qui venait de la frapper la colla contre le mur :

"Alors pt'ite salope ! T'as cru que tu pouvais te barrer sans problème ? La prochaine fois, vérifie mieux tes arrières pétasse ! On a su que tu avais tué le Boss au moment où tu quittais la chambre !"

Il gifla Hell si violemment qu'elle tomba au sol, les autres observaient la scène en souriant. Deux d'entre eux sortirent un couteau, ils s'appretaient à venger leur Boss, et peut-être même en profiteraient-il pour assouvir leurs pulsions sexuelles...
Hell observa rapidement la ruelle dans laquelle ils l'avaient emmené. Une dizaine de mètres plus loi, au fond de l'impasse, deux sorties s'offraient à elle : une porte de secours de la Casa de Cuba, qui l'emmenerait dans les arrières-salles de la boite, ou une échelle de secours, qui devait mener sur le toit du batiment, avec sans doute la possibilité de rejoindre d'autres toits.

Le type qui menaçait Hell était à deux pas d'elle, les autres un peu plus loin. Si elle réussissait à neutraliser le premier, peut-être aurait-elle assez de temps pour rejoindre l'une ou l'autre des voies qui s'offrait à elle...

Hell avait été trop rapide sur ce coup là, et n'avait pas fait gaffe. La situation se révérait être plus compliquée que prévue. D'accord, elle avait tué le gars, et elle allait être payée, mais à quoi bon si elle était morte !? Elle n'avait aucune idée de qui était le gars qu'elle avait tué. Elle avait juste obéi aux indications de l'homme. Maintenant elle était dans la merde, et jusqu'au cou. Un homme sortit, puis quatre autres. C'était la bande du Black. Elle se sentit soudainement mal. Elle n'avait pas l'habitude de ce genre de situation. D'ordinaire, elle butait le gars, puis basta, elle se tirait sans aucun problème. Là, les choses seraient différentes. Et même si elle avait souvent tendance à être sûre d'elle en un moment pareil, là elle n'aurait pas misé sur l'issu finale de cette altercation. L'un des gars s'approcha d'elle, et la saisit par le bras. Elle allait le gifler, quand il lui asséna un violent coup de genou dans le ventre. Comme si elle ne s'en était déjà pas assez pris dans la gueule pour la soirée. Elle fit une moue étrange, mais resta tétanisée. La douleur se révéla violente, puis lancinante. Elle se laissa traîner dans la ruelle adjacente à la Casa de Cuba. Elle vit une voiture de flics, mais ils ne bougèrent pas, regardèrent un instant, pour se tirer 5secondes plus tard. Elle était mal, et la police ne lui serait d'aucun secours à présent. L'un des hommes vint à lui parler, ou plutôt à l'insulter. Les choses allaient de mal en pire. Puis il la gifla, elle tomba au sol. Elle se sentait faible, et à deux doigts de tout lâcher. Cette soirée était vraiment merdique, à y réfléchir...
Son coeur battait à tout rompre, et elle sentait la nausée lui monter. Face contre terre, elle n'osait pas les regarder. Qu'allait-il lui faire ? Elle n'avait même pas envie de le savoir.
Les secondes passaient au ralenti. Et elle vint à se dire qu'une année plus tôt, elle n'aurait pas agi avec autant de résiliation. Aussi vint-elle à se dire, qu'elle devait être plus forte que jamais, ayant un but. Elle avait son sac. Oui, elle l'avait récupéré. Il était là, pas loin. Elle espérait juste que la fiole ne soit pas brisée après le choc. Sans trop bouger, elle se saisit de son sac. Attrapa la fiole, elle sentit qu'elle était légèrement fendue. Elle se releva doucement, et décrocha la troisième aiguille, qui était fixée sur son short, la elle la plongea dans le socle de la fiole. Le poison glissa sur le métal... La vipère s'apprêtait à dispenser son venin. Glissant, le dos au mur, elle arriva à la hauteur de son agresseur, les autres étant légèrement en retrait. Elle jeta un coup d'oeil sur sa gauche et vit une échelle, elle pourrait monter sur les toits. Elle savait quoi faire à présent.
Elle planta l'aiguille dans le bras de l'homme, tenta de l'immobiliser deux secondes, puis le regarda tomba. Le poison était immédiat. Elle s'enfuit alors, la fiole dans la main. Courant, le plus vite qu'elle pouvait, elle prit l'échelle de secours...

MJ :

Un motard déboule dans la ruelle en ta direction, il dérape sur le coté te laisse passer, et canarde le groupe de criminels avec son pistolet, tu n'entends que des bruits etouffés, c'est un silencieux. Pendant un instant il se demande ce qui se passe quand il voie l'homme se crisper par terre, crachant du sang... Ton poison a fait effet. Il se retourne vers toi, tu n'arrives pas à discerner a quoi il ressemble : il a un masque de motard avec une visière teintée.
Il te somme de grimper, tu le suis et il t'emmène un peu loin de la ville, evitant les policiers.
Il retire son casque et tu fais face a un beau brun, une petite entaille près de la lèvre. Ton sauveur.
Il te sert un truc chaud, et te met de la glace sur la joue, on dirait qu'il a fait ça toute sa vie, et soudain tu sens une piqure intense dans la nuque, ta vue se floute, tu tombes dans un précipice psychique, tu reveilles attachée a un lit. Tu ne sais pas ce qui se passe, et tu ne sais pas ce que l'homme va te faire, pendant un court instant il change de visage et parle tout seul puis redevient normal, il presente des serieux problemes de schizophrenie (double personnalité, paranoia).

Il s'assoit près de toi et te souffle ces mots :

Je sais très bien pourquoi tu es là, et plus besoin de chercher très loin, c'est moi qui a assassiné ton père, je sais que tu réclames vengance. Alors quand tu seras une gande fille, je viendrais te chercher, et on reglera ça... Finalement tu n'es pas si différente de moi, t'élimines pour de l'argent sans te soucier de ce que ressentent les proches des autres, t'as ressenti il y a longtemps ce qu'a ressenti la petite fille du maquereau que t'as buté. Dans ce cas là, est-ce que je mérite de mourir? Oui. Comme toi qui le mérite. C'est un cercle vicieux... Pour ne pas que tu m'oublies, on va inaugurer ça.

Il parta dans la cuisine et revenais avec une lame de survie, il faisais une petite croie sur ta main droite qui devint ensanglantée.

Ne t'éloignes jamais de ton but!

Il posa la lame près de ta main et se leva...

J'ai oublié de te dire, dans trois minutes cette maison va exploser, beaucoup de gaz s'est propagé, et j'ai mis un journal dans le grille-pain ,le tout va prendre feu et faire eclater tout ce qui s'y trouve. Adios.

Il sort tranquillement et part en moto...

Tout se passa très vite. Hell, qui se croyait tirée d'affaires, s'était mis le doigt dans l'oeil. Alors qu'elle allait monter à l'échelle, un motard apparut, sortit de nulle part. Hell s'arrêta, et regarda. L'homme dérapa non loin d'elle, puis tira dans la joyeux petite bande. Elle aurait voulu partir fuir, mais elle sentait qu'elle devait rester. Pourquoi ? Elle n'en avait pas la moindre idée ! Mais elle resta debout, jusqu'à ce que le gars revienne. Là, il lui somme de monter derrière lui, toujours inconsciente, elle monte et se laisse emporter. Il évite les policiers, puis l'emmène en un lieu qu'elle ne connaissait pas. Le quartier lui était inconnu, elle était perdu. Et elle n'était pas prête à faire confiance à cet homme, même s'il lui avait peut-être sauvé la vie. Il avait quelque chose de louche de le regard. Elle se méfiait, elle le sentait pas ce gars là.
Néanmoins, il vint à lui servir une boisson chaude. Le regardant, elle le remercia d'un sourire, ne sachant que dire d'autre. Un merci était encore trop... Soudain, tout vint à se flouter. Une piqûre dans la nuque, comment avait-elle pu se faire avoir à son propre jeu. Ses yeux se fermèrent sur le visage de l'homme, un homme bien trop beau.
Elle perdit alors tout contrôle, et s'endormit. Revenant du monde de Morphée, elle réalisa qu'elle était attachée à un lit. Elle poussa un grognement sourd. Elle aurait dû se méfier dès le départ et refuser de montée sur la moto, tant qu'elle était saine et sauve. Elle passait d'une galère à l'autre, et avait plus que marre. Cette soirée semblait être un teste pour voir si elle était capable de survire dans cette ville.
Soudain, l'homme revint, sortant de nulle part, et s'assit à côté d'elle. Il semblait à Hell que cet homme n'était pas net. Des images les revinrent alors de son coma psychique. Schizophrène ?
Il vint alors à lui adresser la parole. Hell était au bord de l'arrêt cardiaque. Son coeur s'emballa. Elle n'arriva pas à croire que c'était cet homme, le meurtrier de son père. Une haine étrange l'envahit. Elle se sentait mal. Elle voulait le tuer, quitte à mourir pour réaliser ce but. Néanmoins, l'homme avait d'autre projet pour elle. Elle se releva, et partit chercher quelque chose. Quand il revint, il avait une lame en main. Il lui fit alors une petite croix dans la main droite, laquelle gagna une couleur vermeille que Hell ne connaissait que trop. Elle sentit la douleur, puis la chaleur du sang. Elle voulait donner la mort plus que jamais.
Il lui dit alors de ne jamais s'éloigner de son but. Elle grimaça. Non, jamais elle ne renoncerait à le tuer. Jamais, elle se l'était promis. Ce serait elle ou lui... Mais en aucun cas, les deux resteraient en vie dans cette ville.
Il posa alors la lame à côté d'elle, et partit. Ses confessions de dernière minute eurent pour conséquences de paniquer plus ou moins elle. C'était bien sa veine. L'homme s'enfuit...
Elle était verte, et rouge de colère. Elle se ressaisit. Il ne fallait surtout pas qu'elle panique. Non, surtout. Elle saisit la lame, et trancha doucement ses liens. Elle libéra sa main droite, puis passa à la gauche. L'odeur ne gaz devenait dérangeant, il fallait qu'elle parte au plus vite. Elle se releva prestement. Elle se dirigea vers la porte, et sortit. Elle se mit alors à courir. L'odeur du journal brûlé se fit alors sentir, elle courut encore plus vite. Quand elle fut dehors la bâtisse explosa. Elle fut projetée un peu plus loin. Elle se réceptionna sur sa main gauche. Elle sentit alors deux de ses doigts se briser. Elle grimaça et, les prenant en main, les remit difficilement en place. Elle poussa un cri étouffé puis se releva. Elle s'en souviendrait de cette soirée.

MJ

La police présume que c'est toi qui les assassinés, les hommes qui t'ont fait du mal...
T'es maintenant recherchée, ta description est placardée dans tous les commisariats.
Quand tu rentres chez toi, tu trouves sur ton lit un paquet marron contenant 8000$ dollars en petites coupures.
Tu gagnes 7 de reput' Wink

» Première entrevue [P.K Strickland]
» Première apparition au bureau [MJ]