Meurtre pour bien commencer [MJ]

Invité

Je venais de prendre l'avion de Washington vers Karandras, le trajet a été long et épprouvant. J'ai longuement regarder au travers de ma fenêtre sur ma gauche pour apperçevoir les nuages et les oiseaux qui se laissaient planés sur le vent, tendant bien droit leur ailes pour se laissé glissé sous le vent. Je regardais le ciel, il était d'un noir intensément sombre et lugubre, j'adorais ce temps, si je n'auais pas été en avion, j'aurais été mon promener. Puis sur ces pensées, les lumières de l'avions s'éteingna, c'était le temps de dormir. Je n'avais pas vraiment envis de dormir, j'écoute donc un peu mon Ipod qui joue plusieurs groupe Death Metal. Mais comme il n'y avait rien n'à faire, au bout de quinzes petites minutes, je referma mon Ipod et ferma mes yeux, pensant déja à mon arrivé dans la ville et à ce que je ferai là-bas.

12 heures plus tard ...

Une hôtesse de l'air me reveilla doucement et me murmura que nous sommes arrivés à destination. Je m'étires un môment puis je me détache avant de me lever et de prendre mes bagages. Je n'ai que quelques vêtements dans un sac de camping vert, avec 3 000 dollards dans mon compte de banque. J'empoigne solidement mon sac avant de suivre la foule qui y allait d'un mouvement vers l'avant, vers la sortie. Je sors enfin de l'avion et prend une longue et profonde bouffée d'air. Je sens la polution à plein nez à des miles à la ronde. Plus loin devant moi, je vois des bâtiments et des bâtiments, tous plus grand les uns que les autres. Je désirais prendre un taxi, mais comme je n'avais pas d'argent sur moi, je me résigne à marcher.

Traversant plusieurs "building" et croisant maintes et maintes personnes, je regarde d'un regard attentif d'une vue globale la ville. Elle avait l'air de Compton, des black's un peu partout ce baladait, torse nu et pantalon en bas des fessiers, récitant quelque phrase de chanson Rap qu'ils aiment bien. Je hausses les épaules et continue de marcher tout en pensant à la guerre qui était enfin terminé. Nous avions enfin triomphés suite à six longues années de bataille pour déffendre notre pays. J'étais fièr d'être Américain, mais je n'approuvais pas toujours les décisions de notre suppérieur, George Bush. Je me dis que la vie sera probablement plus différente suite à ces six longues années de ma vie que j'ai passé à tuer, massacrer et torturer. Je retrouvais enfin une vie normale.

4 heures plus tard ...

Il est maintenant 6 : 03, ça fait exactement quatre heures que je suis arrivé ici et je n'ai toujours pas de travail, ce dernier avait l'air asser difficile à trouver ici. Mais au moin, je me suis trouvé un endroit où dormir, une petite maison de banlieu, pas trop chèr et juste asser grand pour me convenir. Je continus de regarder pour un travail, faisant bar, club et compagnie, rien n'était disponible. Découragé, je décide donc de rentrer chez moi pour relaxer un peu, le voyage à été rude. Je traverse donc quelque ruelle, en premier je suis légèrement confus et perdu dans cette grande ville, je ne retrouve plus mon chemain. Je vois soudain un grafiti sur un mur que j'ai apperçu tout taleur, c'est un bon signe, car il était très près de ma maison, comme de fait, j'apperçois non lui, ma petite maison. Je rentre la clée dans la serrure et débarre la porte et l'ouvre. Elle grince légèrement et fait place à des supers appartement, tout ce dont j'avais de besoin. Je rentre dans ma chambre, tout est déja aménagé. Je m'étends sur mon lit, il est 7: 12, une heure et quart trouvé ma foutu maison. Je suis creuvé, le voyage m'a complètement épuisé. Mes muscles et décontracte quand je m'étends sur mon lit, je ferme mes yeux et je m'endors lentement.

2 heures et demi plus tard ...

Que ce passe t-il ? ai-je rêver ? tout ca n'était qu'un simple et merveilleux rêve ? je suis encore au Golf du Mexique avec ma carabine en main. Je sens mon coeur débattre rapidement dans mon torax, on dirait qu'il veut sortir de mon corps. Je croyais enfin en avoir finit avec cette guerre, je ne veux pas ête ici, j'étais bien dans cette grande ville qui commencait tranquillement à m'être famillière. J'avais ma maison et j'étais sur le point d'avoir un bon travail pour gagné ma vie honnêtement et enfin laissé de côté tout les mauvais souvenir qui me hante dans cette guerre, et si je n'en revenais jamais ? et bien, je serai mort pour mon pays, rien de moin. J'empoigne plus fermement ma Carabine et ordonne à mes hommes de charger, normalement, si je me fîs à mon dernier souvenir de cette guerre, nous avions l'avantage, ils n'étaient plus que quelque dizaines.

Tout mes hommes ce lèves en même temps, tout ces loyaux et braves hommes fonce sous mon commandement. Je me lève aussi pour aller les appuyers. Je lâche un cris de guerre, tentant de motiver mes troupes. Mais aussitôt que nous sommes tous debout, des millions de balles voles dans tout les sens, puis, d'un seul coup, toute les balles nous font faces et nous fonce droit dessus, nous ne pouvons rien faire, je vois mes hommes s'écrouler sous la multitudes de balles. Je cris, je pleure, je paranoïe, je fais toute les émotions possibles, comment était-ce possible ? ils n'était que quarante au maximum. Je regarde à ma droite et à ma gauche, tout mes hommes sont mort, je suis le seul survivant. Puis j'ai soudainement une poussière dans l'oeil. Je ferme mes yeux et me gratte les yeux pour enlevé la poussière, une fois cette dernière enlevé, j'ouvre de nouveau mes yeux et regarde alentour de moi, je suis encerclé par des milliers et des milliers de Mexicains, tous avancent vers moi d'un pas rythmé et synchronisé.

Je commence à crier au désespoire, je vais mourire. Mais pourquoi ce rêve n'était t-il pas réalité ? j'étais très bien sur mon lit, les muscles complètement relâcher. Je fais des 360 en tirant sur le plus de Mexicains possibles, mais plus que j'en tire, plus qui en reviens. Puis soudain, un Mexicain maquillé au visage s'approche et laisse échappé un rire qui laissait sous entendre la folie, il me tire dessus et puis BANG ! je me réveil en sueur et en panique. Je suis coucher sur mon lit, je suis bel et bien à Karandras, ce n'était qu'un vilain rêve. Je respire plusieurs fois très profondément pour retrouvé mon souffle, mon coeur débat à la folie. Suite à quelque minutes, mon coeur ce calme et moi aussi. L'envis de tuer en moi était trop grande, je n'avais pas fais ce rêve pour rien, le meurtre me hanterait jusqu'à la fin de mes jours, autant faire avec et de continué. J'ai soudains une idée, surment qu'il y a des gens rîche et moin aimer dans la ville, probablement que des gens paieraient pour ce procuré les services d'un excellent tireur comme moi. Oui ! je serai un Tueur à Gage. Très bonne idée, je me rendors tranquillement pensant à ce que je pourrai faire demain.

Le lendemain matin ...

Je me réveil, j'ai encore fais le même rêve, mais moin intense cette fois. Il est 10 heures du matin, je suis habillé pareil comme hier, car je me suis endormis habillé. Je vais mangé une "toast" puis je me brosse les dents et je pars. Je marches dans la rue, pensant à comment je pourrais assasiné mes victimes, c'est à ce môment préçis que le déclique se fait dans ma tête, je ne pense qu'à tuer, tuer et tuer. J'en ai envis plus qu'autre chose. Je marche dans la rue et je traverse une ruelle. Il n'y a personne, je tourne un coin et je vois un homme qui assome la tête d'une femme contre un mur et la tue. Il prend son sac à main et commence à fouiller, il prend le porte-feuille, "Bingo" je me dis dans ma tête, je marche délicatement jusqu'à derrière lui sans faire un seul bruit, je regard alentour, personne n'est là, nous sommes bien cacher derrière les immenses murs. Je tire les manches de mon chandail à manche longue par dessus mes mains et dans un geste des plus rapides, je place une main sur le menton et l'homme et l'autre sur le dessus de sa tête et je fais un rapidement mouvement d'un seul et même coté, le cou craque et je laisse l'homme s'effondré. Un sourire rempli de malice et des pulsions sexuelles m'habite, tuer me donne des pulsions sexuelles ? Putain je suis rendu fou. Rapidement je prend le porte-feuille et prend l'argent, je fouille l'homme, je trouve deux autre porte-feuille, elle n'était pas sa première victime de la journée. Je met l'argent dans mes poches et je viens pour partir, mais j'apperçois des bijoux sur la vielle femme. Je les prends et les examines, ils ont l'air pur, je les mets soigneusement dans ma poche avant d'apperçevoir un container juste à ma gauche, rapidement, je prend les deux corps avec plaisir et les jettes dans le conteneur à déchêt et repars, personne ne m'a vu, une affaire de pro.

[HJ : Si les MJ's pouvaient seulement me validé cela s'il vous plaits Smile

]

[12 heures de Washington au Texas. Un peu trop quand même^^ Fais quand même un RP pour louer un appart' Wink

Ton RP n'est pas super réaliste, malgré qu'assez bien écrit, un peu trop facile de trouver un mec qui rackette une vieille femme aussi riche si facilement.]

+600$. Après vérification, les bijoux n'étaient que le fruit d'un petit travail artisanal, sûrement de la contrefaçon chinoise.
On retrouve tes empruntes sur les vêtements des deux victimes. La police n'a aucun suspect, mais les dossiers sont conservés, il ne leur reste plus qu'à identifier les empruntes.
3 points de réputation (je suis sympa, normalement personne ne sait rien de toi).

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