Tentative de meurtre !

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Il devait être 19 heures, ce soir là, Vito lisait une lettre de la banque qu’il venait de recevoir, tout en sirotant un jus d'orange. Cette lettre parlait des finances de Vito, du montant de son compte, de ce genre de chose quoi. Il était habillé d'un débardeur et d' espadrilles. Une tenue, très décontracté, Vito aimait être à son aise chez lui. D’ailleurs, il n’attendait personne aujourd’hui, si ça avait été le cas, il serait vêtu autrement. La sonnette de sa porte retentie vers 19heures 05, étrange, Vito se rappelait n'avoir invité personne. Mais il se leva silencieusement de sa chaise et se dirigea vers la porte. Il regarda dans le « judas » (petit trou destiné à regarder qui sonne), pour voir à qui il avait à faire, et pu distinguer le bras gauche d’un homme portant un imperméable noir et des gants noirs. Et un autre homme, vêtu d’un chapeau et d’une veste en cuir. Pour Vito, tout parut évident à la seconde, Luigi, le boucher, avait parlé ! Ces hommes étaient ceux d’Em ‘Le Barjo’, et avait certainement pour but d’éliminer Vito, qui ne dit pas un mot et marcha silencieusement en direction de son salon. D’une geste rapide, il leva un petit fauteuil, sous lequel se trouvait deux Colts, dont Vito s’équipa, il alla ensuite éteindre la lumière.

Il se cacha ensuite derrière ce même fauteuil, il voulait prendre ces deux hommes par surprise, les tirés comme des lapins dès qu’ils franchiraient la porte.

Vito bénéficiait d’un angle de tir excellent, malheureusement, il était seul contre deux hommes. Il allait devoir, malgré lui, la jouer douce et avoir ces types par la ruse, une confrontation de force était trop risquée. Tout, dans l’appartement laissait croire que Vito était absent, sauf, la lettre et le verre à moitié plein qu’il avait laissé sur la table ! Il voulut se lever pour atteindre cette table et prendre le verre afin de le cacher,, mais il entendu sa porte s’ouvrir, elle venait d’être défoncée. Le combat s’annonçait rude !

*Dès qu'ils vont entrés, ils vont être en état d ''alerte'', la petite table où j'ai laissé mon verre est la première chose qu'ils verront, c'est un désaventage, mais ils vont sûrment s'imobilisés à la vue de la lettre, et cela est un avantage. Là, je me lève, je vide un chargeur sur un, et je tir l'autre... Il s'agit de pas foirer ! *

Ils défoncèrent la porte avec une belle douceur, et pénétrèrent dans l'appartement. Ils sortent chacun un desert eagle, et sont très discret par leur méthode de déplacement. Ils remarque le verre, un d'eux échappe "il est là" d'une voix que Vito ne peux entendre. Rapidement Vito peux les voir progresser dans l'appartement, et ce met à tirer. Un d'eux n'a pas le temps de réagir et tombe au sol, une main sur sa blessure et ce met à tirer. L'autre se cache derrière un mur tirant deux balle vers Vito. Il était mal barrer, il tira une nouvelle fois et envoya l'homme au sol dans le royaume des morts. Il devait trouver un moyen de plomber l'autre, ce qui était tout à fait faisable.

Après cette fusillade Vito devait se débarasser des corps et nettoyer le sang qui se répend à chaque seconde. Il était chronométré, car un voisins avaient appeler les flics. La bab devrait arriver d'ici moins de quinze minutes.

Comment il allait se démerder à éliminer cet homme, et comment il allait nettoyer toute preuve de fusillade ? Resterait-il dans l'appartement quand les flics allaient arriver ou est-ce qu'il partirait faire un tour ?

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Vito était toujours caché derrière son fauteuil, qui se transformait d’ailleurs en passoire ! Il fallait agir vite, Vito allait bientôt se prendre une balle si il ne réagissait pas. Il savait qu’un désert eagle ne contenait que 7 balles. L’adversaire de Vito venait de recharger, et il devinait la position de Vito grâce aux bruits, mais aussi à l’éclair des tirs. Si Vito cessait de tirer, et renversait un objet à proximité, son adversaire orienterait ses tirs dans la direction du bruit. Vito, était capable, de renverser une table avec son pied, l’obscurité masquerait son mouvement et la petite table attirerait l’attention de l’assassin. Les tirs venaient de se stoppés, Vito, d’un mouvement brusque mais discret mit un grand coups de pied dans la petite table juste à côté du fauteuil, son assassin surgit,en un bond,du mur et commença à trouer la petite table. Vito se leva et vida ces dernières balles. L’assassin, prit par surprise,cria une injure sous la douleur, et Vito pu entendre le bruit de son corps s’écroulant au sol.

Il ne savait pas si l’homme était mort. Mais il n’avait plus de balles, il prit donc le risque de marcher prudemment jusqu’à l’interrupteur. La lumière éblouit Vito, quand il regarda autour de lui, il vu deux corps gisant au sol. Et du sang un peu partout. Il fallait vite arranger la situation, les flics allaient pas tarder, Vito prit d’abord soin de ramasser toutes les douilles. Les tueurs étaient restés tout le temps dans la même position, les douilles étaient presque toutes au même endroit, ce qui facilita la tâche de Vito. Il mit ensuite ces douilles dans la toilette et tira la chasse. Afin de ne pas boucher les conduits, il mit d’abord une moitié des douilles, puis l’autre. Il revint ensuite sur les lieux du crime. Il ramassa ses deux flingues, qu’il prit soin de ranger dans un faux-plafond assez bien camouflé, juste au dessus de la baignoire. Il fallait maintenant se débarrasser des corps. Il savait que l’appartement voisin était libre, mais placer les corps dedans aurait prit trop de temps. Hors, Vito n’en avait pas beaucoup. Il prit donc soin de balancer un des deux hommes par une fenêtre, et il lança le desert eagle avec. Il laissa l’autre homme au sol, baignant dans son sang, il avait une balle dans la tête et deux dans le corps, et son flingue à côté de lui.

Vito courut dans sa cuisine, il vida une bouteille de vinaigre sur le sang qu’avait laissé l’homme qu’il avait lancé par la fenêtre. Il commença à essuyer son parquet. Il réussit à bien masquer le sang. Les murs, juste à côté de la porte d’entrée étaient couvers de sang, mais Vito avait son idée pour expliquer cela à la police. Il venait de finir son plan, et déjà, il entendait au loin les sirènes. Il fit mine d’attendre la police sur le pallier de la porte. Les membres de la BAB, armés de mitrailleuses le tenaient en respect, un commissaire de police vint l’aborder, alors que les membres BAB fouillaient son appartement.

« - Vous voilà enfin Mr le commissaire. Je voulais rentrer chez moi après une petite balade, et j’ai trouvé ceci, le corps d’un homme, et du sang partout !

Mr. Luchetto, il y a du sang sur ce mur, juste là, mais pas de corps… Comment expliqué cel… Le commissaire ne pu finir sa phrase, il fut coupé par un membre de la police qui vint faire son rapport.

-Il y a un corps dans la ruelle derrière l’immeuble, juste en dessous de cette fenêtre. Il est tombé de cette appartement, les contours de la fenêtres son plein de sang. Il y a également un Deagle accompagnant le corps. Dans l’appartement, il y a un homme, 3 balles, dont une dans la tête. Il baigne dans son sang. Il n’y a aucune douille dans l’appartement…

Le commissaire pénétra dans l’appartement, il examina le sang au mur, et ensuite le cadavre au sol. Il n’y avait effectivement aucune douille. Très étrange comme histoire.

Après quelques minutes de recherche dans l’appartement, le commissaire vint près de Vito et lui dit ça version des faits.

« - Voilà ce que je déduis, trois cambrioleurs entrent dans votre appartement. Ils recherchent quelques choses de valeur, ils fouillent, fouillent, le type près de la fenêtre trouve quelque chose, et tente de cacher sa découverte aux autres, qui malgré tout, s’en rendent compte. Ils se disputent, deux des trois types se battent, et l’un vole par la fenêtre qui était ouverte. Il se coupe malgré tout en tombant, ce qui explique les traces de sang sur le rebord de la fenêtre. Le troisième cambrioleur, qui observait senne sans intervenir, tente de buter le deuxième cambrioleur, car il veut l’objet tant convoité pour lui, mais celui-ci échappe à la mort, une fusillade commence. Pif paf. Le 3em cambrioleur est touché, son sang vol contre le mur, et au sol,(même si on dirait que les traces ont été effacées) mais réussi malgré ses blessures à buter son adversaire. Il quitte ensuite l’immeuble avec l’objet. Le truc étrange, c’est qu’il à prit soin de ramasser les douilles avant de partir… Quelle affaire ! »

*Ce flic est bête, mais tant mieux, mon plan s’est déroulé, à peu près comme je le voulais. Il n’y aura pas de suite à cette affaire, je ne vais pas porter plainte, pour que tout le monde oublie ce léger incident. Sauf Em, dont je réglerais son compte très bientôt.*

« - Ecoutez, je crois que je ne vais pas vous embêtez, le quartier est ‘chaud’. Il y a beaucoup d’incident. Je crois que vous pouvez fermer le dossier. Appelez vos amis et faites nettoyer mon appartement. C’est tout ce que je demande. Le voleur à emporté un vase ‘ming’ que je tenais de mon grand père. (mensonge bien sûr) Je ne l’aimais pas… »

Le flic fit signe de main à Vito, il avait l’air dépassé par les événements qui se passait dans Little Italy ses derniers temps. Il fit venir la morgue pour remorquer le corps. Et une entreprise de nettoyage pour tout nettoyer. Vito s’en sortait, et Em’ savait qu’il allait avoir des ennuis !

Invité

Action validée:

+ 15 de réputation (Les flics chez toi + double meurtres d'assassins envoyé par un trafiquant)
+ Em 'Le Barjo' furieux, mais il sait maintenant de quoi tu es capable et compte employer les grands moyens !
+ Les flics te surveillent, car certains trouvent cette affaire louche.... Ton nom circule au commisariat

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