Rencontre en boite de nuit [PV]

Comme dit le proverbe, les murs ont des oreilles. C'est ce que c'était dit Danjô quand il avez reçut une lettre ce matin. Il était à Karandras depuis seulement quelques jours et n'avez commis qu'un seul meurtre que déjà quelqu'un l'avez contacté. Comme quoi tout ce sais rapidement dans cette ville. La personne en question avait elle entendut parler de l'assassinat de Calter ? Non, Tôda ne croyait pas vraiment qu'un futur employeur l'ai repéré grace à cela. Car la fameuse lettre venait d'un homme cherchant une "personne qualifié" pour effectuer un certain contrat. Ou alors, c'était le fait qu'un inconnue achéte un flingue à un dealer qui aver fait parler de lui. Enfin bref, le jeune yakuza ne trouverait jamais la réponse tout seul, c'est pour sa qu'il décidat d'aller au contact du mystérieux comanditaire, pour y voir plus clair. Le message qu'il avait reçut disait qu'il devait ce rendre ce soir au casa de cuba, une boite de nuit réputé pour sa vente de substances illicites. Peut être qu'un ancien traficant du Japon avait entendut parler de Danjô dans son pays d'origine. Et peut être que celui-ci lui proposerait d'évacuer ces stocks en échange d'un petit pourcentage. Une seul façon de savoir, allez au rendez-vous et faire bonne impression.

Le yakuza ce préparat donc et, vers 23h00, fut à l'entrée de la boite de nuit. Pour cette occasion il c'était habillé en conséquence, un ensemble veste chemise plus pantalon le tout de couleur blanc, des chaussures de ville blanches aussi avec les lacets de couleur doré qui s'armonisaient parfaitement avec les discret motif couleur or de la chemise. Arrivé devant le vigile, celui-ci regardat une minute le "nouveau" afin de vérifier si il était apte à rentrer et, décidat surement que oui car Danjô ce trouvait maintenant à l'intèrieur du club. L'intérieur était aménagé et décoré à la mode d'aujourd'hui et, la musique qui sortait des hauts parleurs était surtout des sons sur lesquels dancer. Des chansons qu'on aurait jamais eu l'idée d'écouter comme ça, en pleine après-midi. Ce n'était pas trop son registre musicale mais, cela était quand même surportable pour les oreilles du jeune yakuza. Il décidat donc de rejoindre le bar pour commander une boisson alcoolisée, un jet 27, et restat accoudé au comptoir en attendant que son mystérieux contact ce manifeste.

Tôda avait prit sur lui son colt-45 qu'il avait rangé dans sa veste même s'il ne pensait pas avoir besoin de s'en servir. Pour quoi donc quelqu'un le contacterait pour l'assassiner alors qu'il n'était encore qu'un inconnu au yeux de Karandras. A moins que sa soit pour faire pression sur la famille Tôda au Japon mais dans ce cas, le tueur c'était mal renseigné car justement, la séparation des le plus jeune age de tout les menbres de la famille avait pour but de rendre innofencif ce genre de chantage. Vous voulez tuer mon frêre que vous avez kidnappé, aucun problème je ne le connais pas, mais je me vengerai quand même pour laver l'honneur de la famille. Voilà ce que dirait un vrai yakuza de sa famille si on le prendrait en hotage. Mais Danjô fut tiré des ces pensées quand un homme s'avençat vers lui.

Bishop arriva, accompagné de Karl Foote, son garde du corps. Le grand blanc habillé en costard faisant un contraste assez grave avec le gangsta, habillé de baggies, d'une grande veste blanche ainsi qu'un casquette blanche des dodgers de Los Angeles. Son visage amical était sérieux, tout comme le visage dur de Karl qui, derrière regardait aux alentours pour ne pas trouver quelqu'un de mal venu. Néanmoins, Bishop s'assied à la table de Danjô, le seul asiatique dans le Casa de Cuba. Il s'assied poliment en saluant son hôte. Il dénoua sa veste blanche pour laisser paraître un polo assez large aux couleurs vertes et blanches dans des tons assez disparates qui donnait un look assez contemporain. Il commença la discution:

-Bonjour monsieur Tôda, je suis enchanté de vous rencontrer en cette belle journée, particulièrement dans le merveilleux Casa de Cuba. Vous vous demandez surement pourquoi je souhaite vous rencontrer, et bien, sachez que je suis présentement le président directeur-général de la No Remorse Entertainment, ce qui fait que je suis un homme d'affaire prospère à Karandras.

Cela rapella à Danjô qu'il avait entendu parler du producteur de Take It records qui allait en cours pour le meurtre de son patron. Même si jamais on aura pris Lincoln pour un tueur, un petit hint résonnaient dans l'esprit de Danjô. Le gangsta, visiblement titillé par quelque chose, observa un homme dans la foule, un afro-américain, mais rien d'intéressant finalement.

-En bref monsieur Danjô, je cherche des collègues dans la ville et, je sais que traditionellement, les afros ne fuckent pas avec les nippons dans ton style. Néanmoins, je suis prêt à te faire confiance et à te donner ta chance de te prouver et, à devenir quelqu'un de confiance pour plusieurs travaux à venir.

Évidemment, il aurait à discuter auparavant. Il ne pouvait pas jeter les bases d'un travail aussi rapidement. Il leva la main pour faire venir une serveuse. Bishop lui fit un clin d'oeil et la serveuse lui rendit un sourire. La petite latino s'approcha pour écouter la demande de Bishop; un hennessy on ice ainsi qu'un sex on the beach pour la serveuse. Celle-ci souria et regarda vers Danjô pour connaître ce qu'il voulait.

Après plusieurs secondes, elle revint avec le drink de Bishop et celui de Danjô. Il donna beaucoup de pourboire en plus de donner un drink à la serveuse. Soit il était un vrai bigshot ou soit il jouait une game, mais le fait qu'il ait un garde du corps rajoutait à la chose. On le connaissait de réputation depuis peu dans Karandras.

-Serieux vous prêt à faire un travail pour moi monsieur Tôda?

Le mystérieux expéditeur de la missive qu'avait reçut Danjô fit son apparition, il s'agissait du patron de No Remorse Entertainment, le nouveau nom de Take It records. Celui-ci n'était pas venut seul, il avait prit avec lui l'un de ces garde du corps, paranoia ou simple prudence. Le jeune yakuza penchait plus pour la deuxième option et pit, dans cette Etat, mieu vaut être prudent. En tout cas, le trio n'était pas vraiment discret. Un riche black accompagné d'une montagne de muscle blancs allant tout deux voir un asiatique dans une boite cubaine, sa passe difficilement inaperçut. Dans un premier temps Lincoln ce présentat comme étant un homme posssédant un certain pouvoir à Karandras. Cela n'impressionat point Danjô qui ne laissat paraitre aucune émotion sur son visage, il avait l'habitude des dialogues d'affaires ayant pour but d'impressioner l'autre. Il fit donc ce qu'il a toujours fait dans ces cas là, mémoriser les informations sans sous-estimer ni sur-estimer son interlocuteur. Il répondit alors par un simple "enchanté" et laissa continuer l'afro-américain.

La suite de la tirade de l'homme d'affaire fut beaucoup plus directe, il utilisat un language familier pour faire comprendre que même cela n'était pas dans les habitudes, il serait prés à proposer quelques travaux à Danjô. Vint ensuite une serveuse pour prendre les commandes des deux hommes, sachant trés bien qu'un garde du corps n'avait point le droit de boire pendant le service. A ce moment la, Lincoln sortit son grand numéro de riche dragueur cool pour impressioner toutes les personnes qui aurait pu le voir faire. Cela marchat surement sur la serveuse mais, pas sur le jeune yakuza. Il ne faut pas beaucoup d'argent pour faire ce numéro et Tôda en l'aver vut tellement de fois qu'il n'avait vraiment pu aucun effet sur lui. Il se contantat donc de comander un monaco, coktail français qu'il avait eu l'occasion de gouter l'hors d'un voyage à Paris et qu'il avait assez bien apprécié. Après quelques secondes, la serveuse revint et c'est sans surprise que Danjô vit son interlocuteur continuer son numéro qui le laissat de marbe. Une fois la serveuse partit, le biuisness man reprit un ton sérieux et demandat à son interlocuteur si il était prés à travailler pour lui.

"Cela dépend du travail à effectuer bien sur, mais sachez que si c'est dans mes aptitudes, j'accepterait surement."

Telle fut la réponse de l'asiatique à la question de l'homme de couleur. Et c'était vrai, il acceptrait ou non d'aprés le type de taches à effectuer et le prix qu'il serait payé pour le faire. Bien sur, il ce doutait que pour un début, il n'aurait pas le meilleur travail mais, même si il n'y avait pas de sous-métier, il avait encore un certain honneur. Il n'accepterait pas n'importe quel jobs ingrat que n'importe quel clochard pourrait faire. Mais, il en était casiment sur, Freeman avait surement un contrat intéressant pour lui. Restait plus que maintenant à lui faire cracher le morceau et employer l'asiatique.

Bishop fit mine de rien et observer les quelques cubaines sur le dance floor. Quelle vision intéressante que donnent les femmes des îles, faut-il l'avouer. Néanmoins, retournant son regard sur l'asiatique, il prit une pause de parole sans sourire en regardant un peu au tour; Karl, le garde du corps fit la même chose avant de quitter la table pour se diriger à une table à quelques mètres de là. L'afro-américain regarda Danjô au plus profond de ses yeux et lui dit:

-Depuis que cinq de mes anciens employés ont eu une cessession d'emploi chez moi, pour des raisons quelquonques d'ailleurs, ils me posent problème, qui plus est ils sont dans mes jambes et leurs compétences dans d'autres entreprises n'est pas mieux.

Le gangsta retira sa casquette qui jusque là jonchait sa tête dans une diagonale près du 30 degré. Il la posa délicatement sur la table ce qui découvra ses cornrows blondes et, pour la première fois l'ensemble de sa tête. Il s'avança sur la table, comme pour être assez secret pour ne pas que le voisin n'entende, et entama sa proposition. Il glissa un bout de papiers sur la table sur lequel était écrit à l'ordinateur dans une écriture des plus commune trois noms;

Gerard Him, Freddy Jay et Henry Stuff

Sur le papier étaient écris leurs adresses, qui, évidemment restaient dans les annalles de Take It et qui, donc, était un renseignement viable sur leur lieu d'habitation. Jay et Him habitaient dans un appartement dans le fin fond de l'Africa Sector tandis que Henry Stuff vivait non loin du centre-ville, toujours dans l'AS. Bishop reprit:

-J'ai l'habitude de faire le travail moi même, néanmoins, je suis prêt à te faire confiance, particulièrement si tu as l'honneur et la fidélité qui reviens aux gens de ton peuple. Néanmoins, je serai contraint de t'offrir que ma reconnaissance car, par les temps qui courent, mon compte en banque est surveillé par la police. Évidemment, plus tard je t'offrirai des travaux plus payants et, étant l'un des seuls avec ma confiance et étant le seul tueur embusqué avec lequel je suis en contact, tu auras beaucoup de travail de ma part.

Acceptes-tu l'ami?

Bishop ne l'aurais jamais dit, mais après avoir payé l'avocat Kane, il n'avait plus un sous en poche et, s'il n'avait pas d'aider, cela allait lui coûter très cher d'avocat. Il posa sa main sur sa casquette et attendit la réponse du nippon, souhaitons qu'il ait de l'honneur ce japonais...

De la reconaissance, Lincoln lui avait dit qu'il recevrait de la reconaissance en terme de récompense si il effectuait ses trois meurtres. Franchement, Danjô eu du mal à ce retenir d'écleter de rire en entendant cela. L'ancien dj essayait il de baiser l'asiatique ou, était il un abruti de nature ? Personne de censé dans cette ville n'aurait accepté un tels travail contre seulement la reconaissance d'un homme. Il fallait que le japonais mettent les choses au point, soit il aurait quelque chose de matériel à gagner, soit il devrait trouver un autre pigeon pour effectuer son contrat. Tôda affichat une expression grave et, alors que l'ambiance autour d'eux devenait tendu, prit la parole sur un ton neutre.

"Je suis peut être nouveau dans cette ville messieur Freeman, mais je ne le suis pas en affaire. La reconaissance est avec tout type de contrat et ne compte pas vraiment comme une paye. En gros, vous me demandez de travailler gratuitement pour vous ! Jamais personne dans ce monde n'accepterait un tels contrat, cela dit, je peu concevoir le fait d'un certain problème d'argent. C'est pour sa que soit vous me payez en matériel, soit je repart de cette boite et nous nous oublions."

En attendant la réponse de son interlocuteur, le jeune yakuza prit quand même le soin d'accepter le petit papier et d'y garder en tête toutes les informations qui étaient inscrites dessus. Si Lincoln avait de quoi le payer, il devrait effectuer trois assassinat pour son compte. La carrière d'assassint n'est pas l'une des meilleurs à faire, mais pas l'une des pires non plus. De plus Lincoln n'était pas obligé d'avoir l'argent ou le matériel sur lui, combien de fois avait on déjà vut par exemple quelqu'un tuer un petit traficant avec comme seul payement le droit de garder les armes de celui-ci. Le seul facteur d'important dans ce genre de métier était le fait d'avoir quelque chose de matériel en échange du service effectué. Maintenant, fallait il voir si le comanditaire de la lettre de ce matin a quelque chose à donner en échange. Si ce n'était pas le cas, il ne verrait pu l'asiatique avant d'être en meilleur situation financière que celle actuelle. Seul Freeman pourrait lui donner la réponse à cette question et, en l'attendant, Danjô sirota son monaco tout en regardant les gens danser sur la piste.

[HRP] Désolé mais dans ce cas là je n'avait pas trop d'inspiration pour une réponse de ce type.[HRP/]

Lincoln venait d'apprendre une leçon ne jamais réveler des infos de la sorte rapidement, attendre le okay et surtout, ne jamais miser sur l'honneur de personne, même sur celle d'un nippon. Lorsque le japonais répondit, Lincoln esquissa un sourire cynique tout en observant son garde du corps du coin de l'oeil. L'homme n'avait pas participé à la discussion et ne connaissait donc même pas les noms, du moins, il le semblait. Néanmoins, l'auteur de la lettre reprit parole poliment en parlant d'un ton enjoué comme à son habitude;

-Je suis contentq que vous ne soyez pas un jeune rêveur qui croit que dans la rue c'est avec l'estime des gens que l'on gagne. Plusieurs personnes en ont contre moi et, en réalité, je me cure les dents avec leurs ors la plupart du temps. Les gens qui m'ont en estime, je suis simplement sur que je n'aurai pas à me curer les dents avec leurs cadavres de si tôt.

Il cessa d'être cynique un instant et prit un visage très sérieux. Il ne voulait impressionner personne, surtout, il voulait juste s'assurer que le message passait bien et qu'on ne le prenne pas pour un idiot; si le yakuza avait accepté; il aurait reglé beaucoup de problèmes gratuitement. Il devra donc sortir de l'argent fictif sur la table, de l'argent qui n'éxiste pas pour le moment mais qui, rapidement existera.

-Monsieur Tôda, je suis prêt à vous laisser l'ensemble des armes que mes anciens employés possède, étant des hommes du main pour la plupart, ils en possède surement chacun au moins une. Qui plus est, je suis prêt à vous verser 1500$ si vous effectuez les trois meurtres, donc 500$ par personne, qui plus est, je vous verserai 500$ de plus si vous ne laissez pas de trace. De cette manière nous entrons en affaire ensemble. Étant donné que mes moyens monétaires sont concentrés sur le label pour l'instant, je ne peux vous offrir plus pour l'instant. 2000$ en tout, mais connaissant les gens en votre genre vous n'aurez pas de difficulté à ne laisser aucune trace.

Bishop était loin d'être un parrain de mafia et cela, tout le monde devait le savoir. Les moyens qu'il avait n'étaient pas encore grand, toutefois, selon ce qu'adviendra le premier cédé de SSS, il pourrait gagner en influence et surtout en moyens économiques. Il souria à Danjô une fois de plus avec son sourrire amical. L'afro n'avait absolument rien de confrontant et, surtout, pour l'instant était en très bons termes avec son homologue asiatique en face de lui, ce serait peut-être le début d'une très fructueuse relation...

Trois meurtres pour 2000 dollards, pour un début ce n'est pas si mal. Qui plus est, les trois personnes concernés ne sont que de banals banlieusard. Avec ce type d'accord, le marché était déjà un peu plus acceptable que tout à l'heure. Danjô aurait trés bien pu négocier un peu plus d'argent, mais comme il était nouveau en ville et donc inconnu, cela ne lui était pas permis. C'était maintenant à lui de faire un choix déterminant, accepter ou refuser et partir. Il décidat donc d'accepter l'offre et rendit le sourire amical que Lincoln lui avait fait. Ils étaient devenu d'accord sur les termes du contrat, il fallait maintenant regarder celui-ci un peu plus en détaille pour continuer la discussion. Tôda termina son verre et, reprit la parole pour mettre la situation à jour :

"Pour ma part, tout est bon et je propose donc que l'on passe tout de suite aux derniers détailles du contrat. Avez vous, par exemple, un ordre de préfèrence quand à la réalisation des trois futurs assassinats ? Une situation spécial à mettre en scène ? Ou bien encore un message à passer à la victime sur son lit de mort ? Je peu trés bien choisir tout cela moi même mais, vous payez alors vous avez aussi droit à la parole dans cette affaire."

D'après ce qu'il avait vu et entendu ce soir, le jeune yakuza savait déjà que son client aller lui donner carte blanche mais, il lui posait quand même ces questions par principe. D'ailleurs, le plus souvent, il est préfèrable d'avoir un client pas trop difficile. Plus il y avait de méthodes à suivre, plus le risque de tout faire rater grandissait. Certes, cela rapportait souvent plus d'argent et d'estime mais, Danjô préfèrait nettement perdre quelques dollards pour un grand luxe qui rendrait son job plus facile. Mais, quand il recevait une méthologie à accomplire, il le faisait car il avait l'honneur de son peuple. L'honneur asiatique. Honneur qui lui interdirait de mourrir pendant cette mission car, il devait en terminer une autre. Il n'avait pas oublié sa partie de chasse à l'homme avec Hernandi, il avait juste préfèrait calmer le jeu avant de s'attaquer à lui. Quand celui-ci avait vu le meutre de son médecin dans le journal, il avait dut ce mettre en garde en pensant qu'il receverait de la visite très bientôt. Après un bout de temps, ne voyant personne venir, il croirat surrement que son "ami" à enportait son secret dans la tombe. Et c'est à ce moment là qu' apparaitrat par surprise le yakuza, armé jusqu'aux dents et prés à le tuer. S'il y avait 10 000 dollards sur ça tête, c'est que se Mickael n'est surement pas à prendre à la légère. Mais Tôda fut sortit de ces pensées par la réponse de Freeman...

[HRP]Si tu le veu, tu peu conclure le sujet maintenant s'il n'y à rien à rajouter.[HRP/]

Enfin le jeune asiatique sourit à sa proposition. Bishop fit signe à Foote de s'approcher de la table ce qui fit tourner les regards dans la salle tout de même. Cette monagne de muscle d'origine caucasienne, un afro ainsi qu'un asiatique n'est pas un des groupes les plus générique dans le monde néanmoins, bishop reprit parole:

-Je suis content si tu termines la vie de ces trois enculés. Je ne tien pas à ce que tu fasse une danse avant d'y aller, tue les, laisse le moins de trace possible et, surtout, assure toi qu'il n'y ait pas de témoins. Si tout est bien, tu auras le 500$ supplémentaire.

Bishop regarda aux alentours dans ses gestes de paranoïa exagérée, et prit une dernière gorgée de son verre tout en reprenant posession de sa belle casquette encore pure de blancheur. Ses vêtements, tous de blanc, laisse transparaître la même pureté. Il tends la main à Danjô, mais pas la main d'un homme d'affaire, celle d'un gangsta, les deux hommes se cognent épaule à épaule, comme s'ils étaient de grands amis, pas pour l'instant, mais cela pourrait clairement le devenir.

Il le salua aussi poliment pour respecter plus le style de son allié et saluant les gens qu'il connaissait dans le casa, il partit, laissant les noms et les adresses à Danjô, à ton tour l'ami...

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