Divine nuit pour une vendetta

Stavro soupira. Seul sur le balcon d'une chambre d'hotel, il fumait tranquillement une cigarette avant de regarder les aiguilles de sa Rolex afficher minuit deux. La nuit était calme. Il était bien. Loin de toute la crasse de la ville, des pourritures qu'il cotoyait jour et nuit, des mains tachées de sang, et de l'ambiance pesante et morose qui l'accompagnait chaque jour.

-Encore une journée de merde...

Ce qui se passa lui revint rapidement en mémoire : Deux cadavres a emballer, puis déballer, ensuite leurs couper chaque doigt, un par un puis leurs arracher chaque dent une par une, puis les remballer avant de les jeter dans un fleuve. Le ton qu'avait pris Serge avec lui l'avait rendu fou. Il a cru qu'il allait lui éclater le crane avec son 9mm, mais il se retint, encore une fois. Stavro cracha dans le vide obscur et sombre.

-Enfoiré de Serge, quand je t'écraserais la gueule dans un caniveau, tu me supplieras de te sauver. J't'ai sauvé une bonne dizaine de fois, et rien en retour, petit enfoiré... Barhouka !

Il balança une tripotée de jurons en russe avant d'allummer une nouvelle clope. *Cet enfoiré est à eviter si il ne veut pas que je lui encastre le crane dans le mur, saloperie de baroukha...*

Son téléphone sonna. ce fut Gladyss qui lui apporta, une femme rencontrée il y a maintenant 45mn dans un bar. Elle déboula nue sur le balcon, Stavro la remercia avant de lui mettre une petite tape sur ses fesses. Celle-ci partit se recoucher.

-Allo ?

-Stavro, c'est Paul... Tu m'avais demandé de faire gaffe, si l'italien ne repasserait pas dans le coin. Et ben figure toi qu'il est là, dans une chambre, seul, et qu'a l'heure qu'il est, il doit plus tenir sur ses jambes avec tous les verres qu'il s'est envoyé...

-J'arrive tout de suite.

"Parfait" murmura Stavro. Il enfila sa chemise, son jean et disparut dans une Mercedes noire après avoir embrassé Gladyss. Il démarra sur les chapeaux de roues et partit à fière allure. Paul, un ami de Stavro, et serveur dans un hôtel de luxe avait reçu l'ordre d'appeler Stavro si l'italien repointait le bout de son nez... Ce macaroni avait eu la mauvaise idée de manquer de respect à Stavro, alors que celui-ci, en faisant un effort incroyable, s'était excusé auprès de lui après l'avoir bousculé. Le russe reçu en échange un pare-brise brisé, des insultes, et la plus grande des injure, la plus déshonorante, un crachat au visage. Ce jour là Stavro explosa tout ce qu'il touchait. Juste parce-qu'il assurait la protection d'un grand ponte il se contint. Mais ce jour-là, il se jura de retrouver l'italien, et laver son honneur.

Il demanda a Paul quel était sa voiture, et celui-ci lui montra du doigt une petite Lamborghini noire, discrète et magnifique. Stavro sortit de son coffre une clé de 12 et se défoula dessus. Pare-brioses, phares, retro, tout y passa. il ordonna ensuite a Paul de prevenir l'Italien.
L'italien descendit, les cheveux gominés, la chaine en or, les pompes clinquantes. Stavro tapi dans l'ombre, eut du dégout. Il bondit derrière lui et lui fracassa le crane avec la clé de 12. Il se mit sur lui et lui serra la gorge tout en lançant :

-Regarde moi dans les yeux connards. Tu te souviens de moi ?

L'Italien écarquilla les yeux, cherchant du souffle. Stavro dessera la prise avant de lui éclater la gueule avec une clé de 12. Au bout de cinq minutes, une épaisse bouillie lui faisait office de visage. Stavro essuya la clé sur la chemise turquoise de l'Italien avant de repartir, heuerux comme un gosse.

Stavro était peut-être bel homme, mais c'était un chien enragé violent, têtu, un genre d'hommes qui n'a sa place que dans un champ de bataille. Les seules personnes qui ont vu le bon coté de Stazi ont été les femmes. Peut-être qu'il envoyait la plupart des hommes qu'il affrontait six pieds sous terre, mais concernant les femmes, c'était un aller asns retour pour le septième ciel.

Stavro alluma la radio, sortit un cigare volé à l'Italien et le fuma tranquillement, en direction de l'hôtel ou une déesse l'attendait, prêt à tortiller son corps divin pour le plus grand plaisir du russe....

Je ne vois pas vraiment ce que je peux faire, mis part validé :s

Tout c'est bien déroulé, l'italien a passé sa nuit dehors, la geule en bouillie, et le reste de sa semaine a l'hopital. Les médecins disent qu'il a failli y passer. En sortant de l'hopital, il avait déja la rage contre Stavro, mais quand il vit l'état de sa caisse, il se jura de te tuer. Tu véra surement rappliquer trois ou quatre italiens dans ta piole un jour ou l'autre. Niveau flic, personne ne t'a entendu, et il ne sont pas vraiment au courant de ce qui c'est passé. De plus, ils ont des choses plus importantes a faire dans cette ville que de se méler des règlement de compte a mains non armée. Ton ami Paul a raconter la nouvelle un peu partout dans le quartier russe, en faisant tout de meme attention a qui il le racontait.

J'espère que ça te suffit, dit moi si tu veux un peu plus de batons dans les roues, histoire de continuer le rp.

+17 point de réput.

[Là ça va étant donné que j'ai beaucoup de rp en cours, mais a ma prochaine action je veux bien Wink

]

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