Réveil partie 2

Africa Sector, certainement le quartier le plus délabré de la ville, et malheureusement Joel était afro-américain et ce "devait" donc d'habiter ce quartier, pas a cause d'une ségrégation législative, mais seulement par survie, la mauvaise couleure dans le mauvais quartier et...crick...Donc Joel était de retour dans ce quartier de dopés, de dealeurs, de gangsteurs et de travailleurs de rues, heureusement il y avait ceux la. Joel n'était pas pret a ce sortir de ce millieux, mais ca faisait toujours chaud au coeur que certaines personne s'en sont sortie...

Apres donc 2 mois d'absence la clé tourne enfin dans la serure poussiereuse de l'appartement de Joel, tout est a ca place, comme la derniere fois ou il a quitté, plus d'électricité par contre, apres 2 mois sans payé...a vrai dire c'est meme surprenant qu'il n'ait pas été expulsé mais bon le proprio est lui meme un dopé de premiere donc il ne foutera surement pas un dealeur a la rue...Bon l'argent était a sec présentement, faut payé les frais d'hopitaux, ensuite tout les comptes...enfin mieux vaudrait ce trouver un bon coup, donc direction la chambre a coucher, sous le matelas un outil l'attend, Beretta calibre 45, chargé, et pret a etre déchargé. Le temps de prendre une douche...froide, l'eau chaude coupée elle aussi, de s'habiller, et d'enfiler le flingue et le buisness est reparti.

Les rues parle et Core les sais bien, tres bien, si les murs on des oreils le bitume a une grande geule lui, donc suffit de resté aux aguets pour trouver un bon coup a faire. L'afro' ce promene donc parmit tant d'autres, a l'affut d'une oreil indiscrete possedant une trop grande bouche, harpantant donc les ruelles, les bars, les environs des spots de cracks...apparement les choses on changés en 2 mois, l'omerta semble etre beaucoup plus présente qu'avant, une destination s'impose donc, un contact, clamant le "Stop snitching" mais qui est lui meme trop faible pour appliquer cette regle, un flingue sur la tempe et c'est dans la poche pour une info juteuse. Direction centre-ville, dans un club clandestin, dirigé par ce contact. Le transport en commun ca fait pas hyper gangsta mais bon, faut vivre avec. Il arrive donc apres une quinzaine de minutes devant la porte de livraison d'un centre d'achats, suffit de si connaitre et l'entrée est facile, un signal sonore, 4 coups a deux secondes d'intervale, le judas s'ouvre, et comme durant les moments de déchéance de Joel il était un habituer pas besoin de mot de passe, seulement l'atente d'une conversation entre le portier et le patron sur leurs talki-walki. Apres deux mois d'absence totale l'escorte jusqu'a la loge du patron n'est pas plus surprenante que ca, seulement une petite routine pour souhaiter la bienvenue a un pote....enfin, ce qui a déja été un pote.

L'ambiance semble tendu, quelques instants a ce fixé, sans un mot, a scanné l'interlocuteur, Joel est maintenant clean, plus de cernes jusqu'au coup, plus de barbe de 3 jours, plus de tic nerveux causé par un manque, ou une surdose de drogue, des vetements propres, mais Frank lui semble au contraire avoir régressé, un habit sale, les cheveux ebourrifé, des cernes qu'il tente de caché par des lunettes de soleil, ou bien peut-etre pour caché ses yeux injecté de sang, a voir les résidus blancs et la lame de rasoir qui traine sur son bureau ca serait pas surprenant. Mais apres quelques instants l'ambiance glaciale tomba et Frank s'approcha de Joel pour lui faire une accolade, style potes de longue date, mais bon la déchéance de Joel était finit et ce mec n'était plus rien pour lui, un simple buisness man doublé d'un coké un simple client potentiel en quelque sortes. Le gangster repoussa donc le patron et lui expliqua la situation. Un gros coup, c'est tout ce qu'il voulait, mais en businessman qui se respecter Frank ce devait de demandé une part...et apparement ses affaires marchaient bien vu la présence de gardes a son bureau, donc le simple soulagement de rester en vie ne pouvait suffire, a moin que Joel ne veuille trouvé la mort lui aussi. Des rabais sur les marchandise, et plusieurs client pour le club, c'est tout ce qu'il pouvait lui promettre, et apparemen ca suffisait, bizarre mais bon, le mec avait toujours été un brin naïf et facilement manipulable... un coup était donc organiser au port dans quelque jours, transaction d'armes, et les traffiquants avaient, parrait-il, l'habitude d'arriver plus-tot au rendez-vous, pour inspecter les lieux et s'assurer de tout, donc il ne suffisait que de se débarassé d'eux, ce faire passé pour le traffiquant un coup que les acheteurs arriveraient et d'une pierre deux coups, le cash, et les flingues, parfait.

Joel repartit donc de ce club miteux, qui quelque mois plus-tot représentait quasiment sa maison, nombre d'heures passé au toilettes a dégeuler tout son etre a cause d'une trop grande consomation, et nombre d'heures a se saoulé et sniffé, aucune nostalgie en pensant a cela, seulement de honte, de la pitiée pour lui meme. Mais maintenant c'était derriere lui, direction, a nouveau la maison. Preparation du coup, un peu de repos, entrainement physique, car décimer des traffiquants d'armes c'était pas un jeu d'enfant. Mais il était pret, pret pour l'action, pret pour le respect, pret pour le gain...et déja pret pour le pouvoir.