Mission: Test ...

Midi trente-cinq, devant la télévision devant un bon plat de lasagne, assise dans son canapé, avec comme fond sonore une émission de télé-réalité. Tandis que la pub annonçait un ragoût de première rang, son téléphone se mit à vibrer sur la table. Un numéro privé, encore! La voix était assez grave, assurément un homme! ... Mais Liz n'arrivait pas à reconnaître l'accent. Était-ce un italien, un russe, un afro-américain? De plus, il fallait ajouter que son téléphone allait fêter ses cinq ans! Dans six jours exactement. Il se faisait vieux et le sonorité était très mauvaise. Passons!

Le bonhomme lui disait qu'il avait entendue parler d'elle, du moins qu'il la surveillait depuis quelques temps. Depuis sa première mission. Ce qui la fit plus hésiter encore, sans oublié d'émettre qu'il voulait qu'elle travaille pour lui. Elle avait tué un russe. Un parano s'installa en elle. Cet homme devait être un russe, qui voulait l'utiliser contre sa famille! Après la jeune femme sera arrêter et se fera tuer par le parrain de la famille italienne! Enfin il lui donna quelques argument de taille. L'argent. Et derrière cela, elle pourrait aider ce vieux clochard qu'elle avait rencontré, il y a quatre jours. Liz marchait de long en large chez elle, passant la main dans ses cheveux, petit tic.

La jeune italienne essaya de trouver quelques moyens pour en savoir un peu plus sur lui et voir qui était-ce. Après quelques minutes de supplication sans pour autant en faire, il lui dit qu'il était assez réputé dans la ville et qu'il travaillait dans le trafique d'arme. Intéressant. Mais il lui fallait du temps, et malgré l'extrême gentillesse qu'il lui faisait, le temps qui lui était impartialement court pour choisir.

Je vous laisse deux heures, prenez la bonne décision.

Il raccrocha net. Liz posa le téléphone sur la table et s'allongea sur le canapé, fixant le plafond blanc, réfléchissant, pesant le pour et le contre de cet appel, de ce qui allait se passer après. Les deux heures passèrent assez rapidement, et la jeune femme attendait intrépidement le coup de fil. Le téléphone se mit à vibrer, c'était encore le numéro privée. L'homme paraissait content, elle avait fait le bon choix, c'était ses dires. Il lui expliqua bravement que son choix allait changer sa vie, et pendant cinq minutes, elle sentit qu'elle pourrait jouer du violon pendant vingt ans!

Loin de là, de vous manquer de respect, mais venez en au fait... S'il vous plaît.

Après deux secondes de silence, peut être qui marqué son mécontentement ou bien même son contentement! "Ce n'est qu'un test." dit-il. Il lui dit, sans pour autant lui donné son prénom. Un homme qui squattait un bar et qu'elle devait tuer sans que personne ne puisse être au courant, mis à part lui et elle. Il avait une quarantaine d'année, et qu'il était légèrement envelopper. Il retira ses mots et le détermina de gros. Liz devait être sur le lieu le lendemain. Il termina la discussion on lui disant qu'il la contacterait et il raccrocha à nous de façon très... brutale.

Elle passa toute sa journée à astiquer son Desert Eagle, le chouchoutant, lui disant des mots doux, vérifiant si il était bien pour cette mission. Le lendemain, Liz alla se détendre dans le parc et après avoir discuté avec le vieux clochard, elle attendit le soir, impatiente et rejoignit le soir même, ce fameux bar. Une cigarette à la main, son arme dans son sac. Liz jeta un coup d'oeil dans la salle. Un halo de fumée, c'était tout ce qu'il y avait. La jeune femme s'avança à petit pas et s'assit au comptoir comme pour sa première mission. Après quelques secondes, elle vit un homme. Gros, laid et buvant un verre de whisky. Lui aussi tenait une cigarette en main, fixant le vide. Il devait être en pleine réflexion sur le pourquoi et du comment de la vie. Liz écrasa sa cigarette, il ne devait pas l'avoir vu.

Après une petite hésitation, elle s'approcha de lui, prenant son paquet de cigarette. Un début de conversation qui marchait... souvent.

Excusez-moi, vous avez du feu?

Sans un regard, il tendit son briquet, continuant à fixer le vide. Tout commencer mal. Elle s'alluma à nouveau une cigarette et commanda un verre de J&B, s'asseyant à côté de lui, regardant à son tour le même point que le gros bonhomme.

Vous n'allez pas bien? demanda-t-elle en lui rendant son briquet.

Enfin, il venait de poser son regards sur elle, et en tenant son regard, elle lui lança un sourire confiant.

Des merdes au boulot, dit-il en répondant à son sourire terminant son verre.

Liz appela le barman et commanda un autre verre pour le bonhomme.


Ne perdez pas confiance en vous! murmura-t-elle. J'ai eu aussi pas mal de problème avec mon boulot... Mais bon après avoir bien bu et avoir passé une nuit à vomir, je vous assure ça remet les idées en place! Essayez et j'espère que cela marchera pour vous!

La jeune femme tapota l'épaule du bonhomme, tandis que le barman posait le verre.

Liz, dit-elle en lui tendant la même main.

Il se nommait Geoffrey et d'après ses dires, il était encore loin de la retraite, et en avez déjà marre de travailler. Cependant, il esquiesca un sourire lors de son explication de voir la vie d'un nouveau jour avec une cuite très importante. Et qu'il essayerait.

Je vous surveillerais pour ne pas que vous fassiez de bêtises! Vous devez rentrer chez vous et rejoindre votre petite famille!

Geoffrey n'était pas marié en réalité... Après une heure et demi de discussion qui tournait au ridicule, le gros bonhomme entamait son septième verre de whisky...

[Mj]

[DSl si je modif un peu ton rp, mais c'est pour te foutre quelque baton dans les roues Sinon tu fais toujours un bon rp, c'est un plaisir de faire le mj ]

L'homme bût un verre avec elle, certe il en prit un second, mais il s'arrêta net. L'alcool lui montait au nez et fût agressif!

"Non, et non!! Je veux plus de verre, je ne veux pas finir saoul. J'ai une famille, si elle me voit dans un sal état!! Que va-t-elle penser de moi?"

Alors il arrête le barman avant qu'il serre, il se leva et fonça vers les toilettes. Buvant de l'eau, s'en jettant sur le visage clair. L'eau éclaboussa sa chemise légèrement ouverte, un torse poilu se reflaitait dans le miroir. Ces cheveux mit mouiller par l'eau, il rentat dans un toilette et y trouva du papier. Il vida preesque un roulot, s'essuyant pour être un peu mieux présentable. Il souleva ces lourds bras muscler, sentant légèrement une sale odeure... L'alcool lui fessait carrément oublier le vrai du moment, en vérité il sentait une forte odeur de sueur. Il sortit une petite bouteille, de l'eau de toilette portant une douce et adorable odeur. Il s'en apergea et retourna vers la demoiselle.

Il c'était calmer, il s'excuze même d'avoir eu un comportement agressif. Il commanda un caffé qu'il déguste, il était décider à ne pas se souler. Il avait bu un verre avant qu'elle arrive, un verre qu'il mit une demi-heure à boire. Et en presque trois quart d'heure de discution avec Liz, il bu avec lenteur ces deux verres. Il lui expliqua qu'il n'avait pas de femme, et qu'il vivait juste en dessous de chez sa mère. Il lança des minutes de compliments sur sa mère, la mama comme il l'appellait. Il avait l'air de montrer un véritable respect pour celle-ci, il sortit même un petit quelque chose de sa poche. Un bijoux, en or et en forme de Sicile. Ouvrant ce petit bijoux qui semblait dater de quelques longues années, on pouvait voir une photo de sa mère... En noir et blanc. Puis il finit de boire son caffé, il semblait en savoir plus sur Liz... Le courant passait bien, et c'était positif pour la demoiselle. Mais allait-elle vouloir en dire sur elle? Elle devait le tuer, c'était tout. L'homme restait pourtant sympathique, presque adorable... On en oublirait même son apparence refoulante, comme son horible odeurs désagréable enrober de parfum.

Que fais Liz ?
Va-t-elle se faire charmer par se faible charme ?
Va-t-elle en dire plus sur elle ?
Comment va-t-elle faire pour entrainer l'homme vers sa mort ?

"Non, et non!! Je veux plus de verre, je ne veux pas finir saoul. J'ai une famille, si elle me voit dans un sale état!! Que va-t-elle penser de moi?"

Il se releva soudainement partant dans les toilettes du bar. Liz devait l'avoir vexée. C'était un bémol des plus dérangeant. Après ce sursaut qu'il lui produisit en s'énervant aussi rapidement qu'un lion en chaleur, la jeune femme semblait à son tour, être dans un vide interstellaire. Il n'y avait pas de solution pour lui. Devait elle lancé son regard séducteur, qui auparavant avait causé plus de dégâts qu'autre choses!? Non, elle ne pourrait pas le faire, surtout que son interlocuteur provoquait en elle, non du dégoût ou de la répugnance, mais une compassion. On lui avait toujours dit "Vas faire des études dans le social!" . Et voilà, voilà où est-ce qu'elle se retrouvait. Dans un bar, à boire et à donner le baiser de la mort à un homme qui à première vu ne méritait pas ça!

Liz sirota son verre de J&B et écoutait la pauvre musique de dégonflé qui passait. Pourtant, elle adorait. Geoffrey revint, il sentait une odeur des plus nauséabonde, un parfum pour en cacher un autre. Il lui fit de plates excuses, qu'elle ne voulait entendre. La jeune femme lui expliqua que c'était normal, et qu'elle ne le forcerait pas à faire quelque chose qu'il ne voulait pas. Ce qui était tout à fait normal... le respect du choix des autres, pour certain ce n'était pas encore acquis.

Le coup du bourrage intensif pour oublier n'avait pas marcher, il faudrait employé une technique différente, plus calme et lente, c'est ce qui devait en ressortir le plus. La douceur, la patience, l'Italienne arrivera à faire face à ce problème. Le barman servit à la victime un café. Il n'allait pas dormir le pauvre, il ne dormirait plus de toute façon.

Ce qui la fit tressaillir, c'était le fait qu'il parle de sa mère comme une divinité. Elle devait être une femme qui avait du caractère et qui disait " manges mon fils! C'est bon pour ta santé! " Dans ses paroles, on sentait un respect, un amour des plus profond pour sa "mama". Ce devait être la seule personne qui lui montrait que aimait, était possible. Un pincement au coeur... De plus, il lu montrait ce bijoux avec une telle ardeur dans ses paroles, dans son ton, que les larmes lui venaient aux yeux. C'était tellement beau, ce genre de relation mère/fils. Elle qui n'avait pas pu avoir, du moins pas suffisamment d'amour de sa famille, mis à part de son frère.

Leur entende était des plus confidentiel, il lui avait racontait sa vie, enfin du moins une partie, mais elle imaginait bien ce qui c'était passé. Liz avait caché le sien, n'ayant montré que les facettes du présent. Sachant que les larmes allaient sortir, la jeune femme les ravala, grâce à ses années de théâtre, qui l'aidait à effacer toute sorte de sentiments, qui n'était que peu durable.

Vous avez encore une famille, Geoffrey, c'est merveilleux... Je n'ai jamais connu mes parents, ils m'ont jeté dehors, alors que je n'étais qu'un bébé. J'ai appris depuis peu... qu'ils...qu'ils étaient mort! Pendant longtemps, je les ai détesté. Je voulais qu'ils soient morts!

Liz se mit à pleurer. Le mensonge était sa plus grande fierté, elle pouvait inventé toute une histoire sans pour autant en avoir fini. Parfois, elle allait au-delà du ridicule et cela marchait de justesse.

Je m'en veux, terriblement.

Elle ne disait plus rien, ses larmes commençant à stopper le fuite. Sa comédie allait cesser d'un moment à un autre, et il se rendrait compte que ce n'était que du bidon, ou tout simplement il se mettrait à croire, qu'elle refoulait ses sentiments et qu'ensuite, la jeune femme tomberait en dépression nerveuse. Cependant, essayant de retrouver ses moyens de comédienne. La jeune italienne se mit à penser au malheur, qu'elle provoquerait à la famille du pauvre Geoffrey. Sa "mama" qui pleurerait sur la tombe de son fils, tué par un inconnu. Il ne méritait pas la mort, c'était un homme bon, adorable, et son coeur se rétractait à la simple idée de faire fermer les yeux à ce pauvre Geoffrey.

Soufflant un coup, pour reprendre une respiration normale et non comme elle l'avait, c'est-à-dire, haletante, Liz prit son sac et lui lança un simple murmure "je vais prendre l'air".

Mais si Liz pensait que le bonhomme était comme elle le voyait, il saurait faire le bon choix...

Elle sortit, soufflant un coup, regardant à droite comme à gauche s'il n'y avait personne, et s'assit sur un boite en bois, regardant le sol, puis respirant un grand coup, les larmes continuant à ruisseler sur son visage...

MJ...

L'homme fût attendrit, légèrement saoul il se semblait victime. Il pensait que c'était de sa faute si elle était triste, maisse sentir victime avait rien avoir. Mais bon il était saoul, alors il suivit Liz. Il voulait la consoler, passant la porte de dehors. Il la suivit, ils étaient à quelques rues plus loin.

"Je... je suis désoler je voulais pas vous faire pleurer. J'aimerais me faire pardonner. Que puis-je faire pour vous..?"

Puis un homme arriva, costume, lunette de soleil inutile, attitude froide... Il fit un signe de main, et prit la parole avec un accent sicilien..

"Hey l'ami, Tu me reconnais? Je suis Salvator Giovoni."

L'homme saoul acquiesa de la tête, pendant que Salvator quitta ces lunettes. Un regard ruser, et surtout inquiétant. En serrant la main de l'homme saoul, il glissa une liasse de billet...Liz a tout vu malgré la discretion. Puis l'homme repart disant simplement aurevoir.
Ce transfert de billet, tout ça semblait louche. En fait la cible était largement moin innocente qu'elle en avait l'air, c'était un affranchis réputer. Il buvait trop, et cela allait causer sa perte. Cet homme marchait dans le traffique de bijoux, traffique de faux billets, un mafieux à l'ancienne ayant peur que de deux chose " La mama et Dieu". Liz avait assez entrainer l'homme dans les ruelles...

A cette heure, dans les environs, de nombreux hommes en costar se baladaient. Les mafieux étaient tous de sorties, comme les ripoux.

Liz oit tuer cet homme, et elle plutot bien partit. Mais comment va-t-elle s'y prendre... maintenant qu'il est isoler ?

C'était bon tout marchait comme sur des roulettes, Liz avait fait pitié au pauvre Geoffrey, et il venait lui faire à nouveau des excuses. En lui souriant, lui disant que ce n'était rien, les nerfs qui lâchaient après des semaines d'insomnies par rapport à ce qu'elle avait dit sur ces parents. Des explications des plus fausses, qui marchait apparemment. Elle ne bougea pas, se calant sur la boite en carton, souriant dans le vide pour montrer que tout allait bien.

Dans la nuit sombre, nuit seulement éclairée par les lampadaire d'une des rues voisines, les bruits de talons s'entrechoquaient entre les murs. C'était un homme, portant un costard noir, du moins c'est ce qu'elle voyait. Et ce qui la fit sourire, c'était les lunettes de soleil. Il était vrai qu'il faisait un soleil des plus ardent! pensa-t-elle d'un air amusé. Il n'avait pas du la voir. Mais son attitude relaté bel et bien sa froideur. Liz n'en disait rien, voyant ce qui se passait.

Un histoire louche se passait devant elle. Un histoire frauduleuse était en train de s'accomplir sous ses yeux. Tout un tas de question se promenait dans sa tête. Cet homme n'était pas tout à fait comme elle l'imaginait. Et pourtant il y avait quelque chose de bon en lui. Nous étions tous bon au fond, malgré ce que peuvent pensé les gens, même les plus mauvais... Lui, quelque part, et il l'avait prouvé. Geoffrey, même avec son passé des plus sombres, qui mettait en doute son innocence, était venu pour se faire pardonner, et même essayer de lui redonner le sourire. Enfin c'était ce que la jeune femme pensait.

Elle vit la liasse de billet passer d'une main à l'autre, puis le mystérieux bonhomme s'en alla comme si de rien n'était. Ce qui lui posait problème, c'était que c'était un sicilien, bon ce n'était pas le plus grave, mais c'était sa façon d'être qui ne lui plaisait pas du tout, c'était son regard, il avait quelques choses de mauvais, qui l'a pétrifié. Il y avait quelques choses de louche... Était-ce le démon en personne?

Excusez-moi, murmura-t-il en rangeant les billets dans sa poche.
Elle fit comme si de rien n'était.

Je vais rentrer chez moi, Geoffrey, je suis épuisée. Vous me raccompagnez? Je n'habite pas très loin et je n'aime pas trop être seule à cette heure là... c'est un endroit assez défavorisé ... C'est à dix minutes d'ici...

Malgré quelques hésitations, Geoffrey accepta. Il devait bien le faire, vu qu'il l'avait fait pleurer. C'était une meilleur façon de l'entraîner dans un rue sombre et déserte, un coin inhabité qui manquait d'être détruit par le temps. C'était ce qu'elle avait vu en venant. Seul des drogués venait ce cacher, en prenant leur dose quotidienne. Liz le remercia plusieurs fois, lui expliquant les histoires qui lui étaient arrivées dans ce fameux immeuble où elle n'était bien évidement pas rentré une seule fois. Un histoire ou elle s'était fait voler son sac, et que la jeune femme avait du refaire toute ses cartes. A force de raconter des mensonges, l'italienne commençait à y se dire que c'était vrai. Fallait croire qu'à la fin de sa vie, Liz aurait quatre vie et elle aurait le temps de toute les raconter à ses petits enfants.

Quand ils arrivèrent, Geoffrey s'arrêta, étonné voir choqué de voir l'endroit où elle habitait. Ce qui devait lui faire pitié, et c'était le but.

C'est ici que vous habitez? demanda-t-il en balbutiant.

Hélas oui, mais je vais bientôt partir, il commence à tomber en ruine!

Mais on avait interdit de...

Je sais... mais je n'avais pas les moyens de me payer un appartement normal. Bref et bien merci beaucoup Geoffrey, je suis ravie de vous avoir rencontrer...

Elle lui fit la bise puis rentra dans l'immeuble dont la porte craquait quand on la poussait un peu. La poussière s'élevaient à chacun de ses pas. Pour terminer la demande du numéro privé, Liz n'avait pas trouvé de moyens pour le faire rentrer. La jeune femme se mit à hurler suffisamment pour que seul la petite rue infectée entende le son de sa voix. Le cri de la jeune femme en détresse. Geoffrey tant bien que mal rentra dans l'immeuble. Il faisait tellement sombre qu'on ne voyait pas très bien qui était là.

Je crois que je me suis foulée la cheville! Punaise!

Elle était cachée derrière une poutre qui était tombée, il y a sûrement quelques année. Elle sortit son arme, et l'enclencha doucement.

Liz, où êtes-vous? dit-il haussant légèrement à la voix.

La jeune femme s'approcha d'un pas vers Geoffrey, son coeur se serrant. Elle devait le faire, mais le bonhomme était tellement sympathique. Elle savait qu'elle s'en voudrait, mais il fallait qu'elle réussisse. C'était une obligation... pour sa conscience et pour cette somme d'argent qu'elle pourra donner plus tard.

Geoffrey, pardonnez-moi.

Liz attendit une seconde avant de le voir, malgré le noirceur du coin, une ombre se détachait. Elle tira, le coup retentit dans tous l'immeuble et de la poussière tombait du plafond. Un bruit sourd se fit entendre. L'homme tomba sur le sol, suffocant. Sa main tremblait légèrement, l'arme restant au bout de ses doigts. Une balla avait suffit pour que sa vie se termine ainsi. La jeune femme s'approcha, retenant ses larmes. Pourquoi! Pourquoi lui! C'était immonde et elle voulait se taper la tête contre les murs.

Elle sortit de l'immeuble désaffecté. Personne ne l'avait vu rentrer, personne ne l'avait vu sortir. Liz reprit son chemin pour rentrer cette fois-ci vraiment chez-elle. Une fois arrivée, elle s'enfonça dans son canapé sans dormir...

Terminé

Mj

Je te mets les 3000$ et les 15 de réputation qui t'était promis. Et je me permets de t'ajouter mes félicitations sur ton RP...J'adore! et j'encourage tout le monde (meme si c'est long) a prendre le temps de le lire car cela vaut le coup.