The Label [PV Bishop]

Depuis les quelques jours qu'il est arrivé à Karandras City, Bishop ne cesse d'observer les institutions, les choses stables, les choses moins stables dans la ville. Néanmoins, une chose reste et est absente de la société karandrasienne; un gros label de rap.

Comme on le sait, les plus grands labels de rap de ce monde ont été fondés par de pauvres gens qui, par la voie du hustlin' ont pu mettre de l'argent de côté pour mettre de l'avant le rap business. Bien, étant donné que la communauté rap karandrasienne n'est pas très présente, en tant qu'ancien DJ, Lincoln se donne donc comme but à long terme de fonder un label. Pour ce faire, il doit trouver, d'abord, un studio, ensuite, certains rappeurs mais surtout, de l'argent, a moins qu'il n'aie le moyen de s'associer avec un proprio de studio.

Se mettant sur son 36, le jeune californien entama ses recherches par les rues. Il regarda dans les rues les plus "street" de la ville, les plus grandes rues, bref, il chercha un studio où il pourrait se présenter.

Sa casquette blanche de LA sur la tête, un léger complet veston blanc au chemisier noir, le jeune G fait tout pour rencontrer des gens et faire bon effet. Évidemment, au cas, il porte de le deagle dans sa poche ainsi que quelques billets au total de 300$ dans ses poches.

MJ ON :

Le rap a Karandras n'était pas vraiment présent. Presque tout les studios qui avaient ouvert leurs portes dans le dernier état des Etats-Unis avaient fait faillite et ont été contrain de fermer leurs portes. Le rap n'était pas le seul, tout les autres genre de musique avaient le droit a la meme mélodie. Pourquoi cela ? Faute d'artiste. En effet, les jeunes ne s'intéresse pas vraiment aux loisirs et a la chanson, préferant opter pour le crime, qui a beaucoup plus de chance de rapporter de l'argent. Autre obstacle : la concurrence. Les autres grandes villes des états unis étaient déja bien armés en terme de rap : LA, New York, San francisco.. A Karandras, seul restait un petit studio en passe de fermer ses portes : Take it. Il se trouvait dans le centre ville, non loin du Geant park. Une enseigne sensée etre clignotante, des vitres sales..Rien qui puisse attirer les gangsta en manque d'argent..
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Lincoln Freeman, ou Bisphop. Ce nom n'évoquait encore rien aux oreilles des Karadrasiens, si ce n'est que quelques personnes. Ce jour la, il voulait trouver un studio, de préférence de Rap. Il chercha d'abord dans l'africa sector, et evidemment il ne trouva rien. Il alla ensuite a pied au centre ville. Il vit quelques enseignes montrant qu'il se trouvait a l'intérieur du matériel d'enregistrement, mais rien ne plus a Lincoln, jusqu'au ce qu'il voit un studio un peu plus alléchant que les autres. Il le regarda d'abord de l'extérieur, puis il se decida a entrer.
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La salle était toute petite, et elle n'avait qu'une source de lumière, ormis les quelques lampes : la vitrine, qui laissait passer quelques fois les rayons du soleil. Au plafond pendaient des fils électriques dépourvus d'ampoules. Les murs étaient recouvers d'un vieux papier peint, en attente d'etre refait. A droite, un petit bureau, avec une chaise devant. Derrière le bureau, une africaine d'une beauté certaine, qui était au telephone, lui meme posé sur le bureau a coté des paperasse. Au fond de la salle, une petite porte marron, qui devait donné sur le studio.
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La fille te regarde, surprise, et te fait signe de t'asseoir. Elle racroche, et te demande ce que tu recherche...

Hors MJ :

J'ai séparé les parties de descprition et d'actions, d'ou la présence des traits Smile

Complètement détruit de voir que le rap business était totalement absent de Karandras City, Bishop entra dans ce qui semblait être le meilleur studio en ville. Visiblement, il n'y a pas encore de place pour le rap karandrasien. En apparence, pour un ancien DJ californien, ce serait une chose facile de fonder un Label de rap et de prendre la tête de la business, néanmoins, avec les studios de la ville, Bishop en crut autrement au moins un instant. Il entra et vit la femme au bureau. Apposant sa main au dessus de sa casquette blanche au signe de LA, il la retira pour effectuer des salutations polies à la dame. Il se présenta alors et enchaîna avec ce qu'il demandait:

-Bonjour, je suis Lincoln Freeman, je viens de Los Angeles et je suis ancien DJ. Sachant que le rap ici n'est pas très développé, j'ai cherché les studios les plus en état de marche et c'est le vôtre qui m'a paru le plus en forme.

Lincoln s'assied devant le bureau. Son look jurait énormément dans la salle peu décorée. Adressant un sourire aimable à la dame devant lui, il reprit:

-Je suis donc prêt à mettre les bouchées double pour mettre ce label de l'avant, et même, en temps et lieux à vous l'acheter s'il le faut. Je vais chercher corps et âme des rappeurs avec du talent et, sachez que lorsque je me mets dans quelque chose, cette chose n'échoue que très rarement. J'ai des enregistrements qui ont fait un malheur dans les clubs de LA. Sinon, pouvez-vous m'expliquer comment fonctionne le label présentement et, quels rappeurs vous avez à portée de main?

Bishop priait pour qu'elle ne réponde pas aucun. Il souhaitait qu'il y ait au moins quelques bonnes personnes qualifiées, ou encore, au moins un musicien...

Le femme avait raccroché en voyant Bishop arriver. Aparemment, le coup de fil n'était pas pour le boulot, mais plutot pour prendre de nouvelle de sa meilleure amie, qu'elle avait quitté deux heures plus tot. Elle cachait mal son mécontantement, et on voyait assez bien que Bisphop la dérangeait. Elle lui demanda d'une voix froide ce qu'il désirait. Lincoln se présenta après avoir salué poliment, et s'etre assis. Un ancien DJ californien assez ambitieux, qui voulait au moins faire partie des chanteurs du studio, voir meme le racheter !
Puis il demanda quelques infos sur le studio. La femme lui répondit ce qu'elle savait, mais contrairement a son patron qu'elle ne tarderait pas a avertir, elle ne conaissait pas grand chose :

Nous dépendons d'une grosse boite, elle meme de New York. Le studio est sencé servir a recruter de bon rappeurs, et a rechercher les perles rares dans la ville..Avant, nous avions le devoir de regarder dans tout l'état du Texas, mais depuis que Karandras est devenu indépendant, c'est Dallas qui s'en charge..Le matériel est acheté par la société Take it, dont les "huiles" sont a New York..Niveau martériel, nous avons quelques instrument, une dizaine de micro de moyenne qualité, et trois pièce entièrement équipée. Nous somme actuellement en contrat avec deux rappeurs, qui sont en train de produire leurs albums..Nous prenons toute personne intéressé, mais ce n'est pas avec moi qu'il faut voir cela..

Elle reprit le teléphone, et Bishop l'entendit demander a une personne de venir. Au fond, la porte s'ouvit, laissant place a un grand black, bien costaud. Il paraissait jeune, mais quelques signes trompait sa quarantaine. Il s'avanca vers Bishop, qui se leva. Il le regarda quelques instants, et il lui sera la main. Il était aparemment content de voir un client. En effet, Bishop lui sauverait peut etre son travail. Il lui fit visiter les locaux, avec l'accord de Lincoln. Une fois la visite fini, le grand black proposa a Bishop une place de rappeur. Lincoln pouvait toujours faire un pret, mais pourrait-t-il le rembourser ?

A prendre ou a refuser...

-Je serais honoré d'avoir assez de talent pour remplir ce rôle, mon cher. Malheureusement, j'ai été DJ, mon talent réside dans le mixage, la fabrication de beats ainsi que la direction de ces rappeurs. Si vous avez besoin d'un homme capable de faire ceci à la sauce californienne avec un talent certain, alors je suis l'homme qu'il vous faut à Karandras.

Je n'irai pas me cacher néanmoins, mon but est d'acquérir un label indépendant afin de pouvoir orchestrer ma vision du rap, mettre de l'avant des gars intéressant et, surtout, dominer clairement le marché local.

Quoi qu'il ait pu sembler sur de lui, intérieurement, Bishop n'était certain de rien. Il savait néanmoins comment mixer, comment fabriquer de bons beats et on ne pouvait douter de son oreille musicale. Néanmoins, il ne savait pas si un jour il acheterais cette boîte. Il souhaitait:

-J'ai déjà quelques pièces à la maison, si jamais vous m'acceptez, je peux certainement vous servir de "scout" dans les rues. Je sortirai dans les club de black afin de trouver des freestyle battles. J'engagerai les meilleurs et je vous les ramenerai. Néanmoins, je veux que mon nom sois sur les disques que je produit et, en cela, je veux une certaine paye régulière.

Bishop souhaitait ne pas avoir demandé trop, mais, du moins, ses conditions lui semblaient acceptable.

Le grand noir te regarda, et t'écouta attentivement. Il avait demandé a Bishop si'il voulait etre rapeur, et d'après ce qu'il avait comprit,, Lincoln avait d'autres qualitées. En gros, il lui avait proposer d'etre le recruteur du studio, et le producteur des gars que tu ramenait. Bien que les ambitions de Lincoln lui plaise, il n'accepta pas a causes des conditions : une paye régulière et le noms sur tout les albums produit par le studio, donc par Bishop. Le patron du studio réfléchit quelques instants, avant de te répondre froidement :

Ecoute..Cette boite est en faillite, les finances sont au plus bas point depuis que New York ne veut plus nous "rationner" régulièrement..Pourquoi devrait-je te payer, alors que je ne connait meme pas tes compétences ?

Il avait prit le "droit" de te tutoyer, en voyant que tu était plus jeune que lui.

Ecoute bien mon gars..Fait tes preuves, et tu aura ce que tu demande..

Bishop allait répondre, mais le black, qui se surnomait Julian, le coupa :

T'as deux semaine pour recruter un rappeur..Reviens avec le mec et tes travaux, histoire qu'on enregistre une chanson..

Le mec lui donna la carte de visite du studio. Numero de téléphone, adresse, site internet, tout y était. Puis il salua Bishop et repartit dans l'arrière salle..

Action validée !
+7 de réputation
Pas de dollars, recrute et on verra Smile

Rappel : deux semaine dans le jeu : une semaine IRL !!

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