Besoin de contact [PV] /!\ interdit aux moins de 18 ans....

Les affaires n'allaient pas super bien pour Lucia, depuis quelques temps elle avait des appréhension par rapport à d'eventuels futurs contrats et ce n'était pas bon du tout. De toute façon il n'y avait pas eu de contrat depuis longtemps alors l'affaire était vite réglée.

Il était assez tard quand elle decida d'aller faire un tour à l'adresse qu'on lui avait indiqué, un bar/billard sois disant fréquenté par certains membres influents d'organisations susceptibles d'interesser la tueuse. Même si une certaine peur de l'echec et de la mort s'installait il fallait bien qu'elle s'y remette un jour ou l'autre.

Pour l'occasion elle portait un simple jean noir et un débardeur assorti, ses cheveux étaient attachés derrière sa tête par un petit elastique quasi invisible. Elle n'avait pas l'intention de jouer les femmes fatales et venait juste faire une sorte de reperage, tâter le terrain. Si ce qu'on lui avait dit se vérifiait elle pourrait peut être entrer en contact avec une organisation criminelle locale.. Mais elle n'y croyait vraiment pas sur ce coup là.

Lucia entra donc dans le bar, après avoir payé l'entrée elle se dirigea immediatement vers les petits coins détente pour commençer sa quête. Apparement toutes les tables étaient occupées.. La malchance s'acharnait sur elle en ce moment et çan 'avait pas l'air de vouloir s'arrêter.

La jeune femme fut donc obligée de marcher entre les sofas pour trouver une eventuelle place qui se libererait.. auquel cas elle irait s'appuyer au comptoir..

Depuis le meurtre de Franck, je n’avais plus opéré pour la mafia, j’étais libre...
Je décidais de faire un tour dans la ville, et de, pourquoi pas faire un tour dans certains bars, que j’affectionne tant.
Ce soir, le bar était bondé, il y avait un bruit fou, moi qui aspirais à la tranquillité, je suis servi...
Je trouve une place sur le comptoir, auprès de mecs aussi paumés que moi. Je commande une Vodka Citron et la consomme silencieusement.

23h25. Je vais bientôt aller me coucher. Un russe est à coté de moi, je le sais parce qu’il arrête pas de baragouiner des choses en russe, comme quoi il est pauvre, et que sa femme est une putain, bref, trop de maux pour un seul homme. Il s’apprête à se lever, quand il voit une jeune femme, il veut l’avoir dans les mailles de son filet, mais elle le repousse gentiment, pourtant lui il insiste, si ça aurait été un laideron, j’aurais laissé tomber.
Là c’est une beauté, je ne peux pas laisser ça, ce serait faire déshonneur au serpent qui me brûle sur la nuque à cet instant précis.
Je me lève et attrape le russe par la nuque, lui parlant en russe :

Ecoute moi bien enfoiré, barre toi avant que je ne m'énerve, la jeune femme t'as dit de laisser tomber alors commence pas a faire du bruit pour rien, je suis fatigué... Tu sais ce que ça veut dire ça ?

Je tire mon col pour laisser apparaître la marque de mon clan : un serpent avec une étoile sur la tête. Son visage devient livide, il voit plus clair même si il est saoul...

Si tu ne veux pas qu’on te retrouve sur le bord du fleuve, les doigts coupés et les dents arrachés, barre toi de là et vite.

Il acquiesce de la tête et part sans se retourner, accélérant de plus en plus.
Je me rassois et lance un beau sourire a la jeune femme :

Désolé, il ne vous embêtera plus.

Je commande une deuxième Vodka pour la miss...

J'a connu une femme qui avait des yeux verts hypnotisants, sombres et clairs en même temps, et quand ils s'éclaircissaient à la lumière, devant moi, je ne pouvais m'empecher d'embrasser la femme qui les avait. Un vert d'impressioniste, le même vert qui habite vos yeux à cet instant même....

Lucia fut assez surprise pas la reaction de l'inconnu, d'habitude on la laisse se debrouiller sans rien dire, chose qu'elle sait faire toute seule.. Mais bon c'était amusant et puis on attire pas les mouches avec du vinaigre donc..

Elle prit un air assez intrigué puis après qu'il ait viré le Russe alla s'asseoir à coté de lui, il ne lui avait pas demandé explicitement mais commander une vodka pour elle suffisait pour qu'elle le comprenne.

Ses jambes croisées et les bras posés sur le comptoir elle ecoute le recital de Stavro avec un léger sourire, une fois qu'il eut fini Lucia fronça les sourcils avant de repondre.

"Merci pour..la vodka et le parasite...Mais mes yeux vous donnent envie de m'embrasser?"

Elle fronça un peu plus les sourcils, on venait de deposer un verre de vodka devant elle. La jeune femme s'en saisit et le porta à sa bouche tout en fixant Stavro.C'est un homme étrange, il semble charmant mais son visage est marqué par des épreuves, apparement il à des tatouages qui représentent quelque chose d'assez significatif.. un signe d'appartenance? Sûrement, en tout cas Lucia avait enfin un contact et n'allait pas s'en plaindre.

Je pense qu’il serait mal poli que je vous embrasse là, maintenant, alors que vous ne connaissez même pas mon nom.

Bien sur que oui, j’ai envie de t’embrasser, et voir ce qui se cache sous tes habits, cachant de formes si généreuses... Il est clair que ça doit être une vraie bête au lit... Le serpent commence à s’enrouler autour de mon cou pour m’étrangler, il ne sera calmé que quand il aura tiré son coup... Ses lèvres pulpeuses me donne qu’une envie : d’y goûter. Je me demande combien de temps je vais retenir les dents acérés du serpent...

Je m’appelle Stavro Stazi, je suis comme vous pouvez le constater un russe...

Je bois une nouvelle gorgée... Mon regard ne se détache plus du sien, si tout marche comme prévu, ce soir je vais devoir partager mon lit...

Et vous êtes ?

Je sors une clope de mon paquet et tire dessus, se consumant à petit feu, pressé de quitter cet endroit lugubre à l’atmosphère puante.

"En effet, c'est bien de le constater"

Elle sourit puis finit d'un trait son verre, avant de le reposer sur le comptoir, le delicieux breuvage descend en elle impregniant son corps de sa chaleur. Elle passe furtivement sa langue sur ses lèvres puis repose son regard sur le Russe avant de lui tendre la main droite.

"Lucia Sanchez. Enchantée Monsieur Stazi"

Lucia n'as pas non plus envie de rester ici, sans attendre elle se lève et invite Stavro à en faire autant, elle verrait ainsi tout de suite ce que le contact lui apporterait.

"Je vais me retirer Monsieur Stazi, j'ai encore à trouver une chambre d'hotel libre"

Sans attendre de reponse Lucia s'approcha de lui et lui deposa un baiser amical sur la joue avant de se diriger vers la porte, une fois celle ci ouverte le froid de la nuit s'engouffra légérement dans le bar. La jeune femme passa donc celle çi pour se retrouver dans la rue, pariant que le Russe allait la suivre.

Lucia. Un baiser. Une chambre d’hôtel. Le Serpent. Son parfum.
Je laisse un billet, sur le comptoir, la cigarette dans les doigts.

Je la rattrape :

Je connais un bon hôtel dans le quartier Russe...

Menteur ! T’en connais aucun, le seul hôtel que tu connaisses c’est ta baraque !

Je n’ai pas de bagnole, j’avais une superbe Dodge de ’79 mais on me l’a volé...

Encore un mensonge... Elle a explosé : les Italiens avaient posé une bombe dedans, un de mes hommes de mains était parti me la chercher, il a explosé dedans alors que la bombe m’était destinée...
On prend un raccourci, et on arrive rapidement dans le quartier russe.

Si vous voulez, vous pouvez dormir chez moi... Ca ne me gène pas...

Elle acquiesce... Je l’emmène chez moi, j’allume la lumière, et là, clou du spectacle, un pistolet silencieux avec deux chargeurs sont posés sur la table...

Elle oriente ses yeux vers le flingue en premier...

Je...

Sois elle va paniquer, sois elle va partir sans rien dire, si un de ces deux scénarios arrive, je serais obligé de la buter, le serpent sera nourri plus tard...

Bon apparement il n'a pas envie de finir la soirée seul.. Après tout il ne rend pas Lucia totallement indifférente. Elle accepta donc de passer une nuit chez lui, pour dormir. Arrivé là bas la première chose qu'elle vit fut ce silencieux, apparemment il est assez anxieux face à la reaction de la jeune femme.

Avec un large sourire Lucia s'approcha de lui, jusqu'a arriver quasiment nez contre nez. Elle leva la tête, l'individu étant plus grand qu'elle puis toujours avec un large sourire mais accompagné cette fois d'une voix faible mais sensuelle.

"On cache des choses Monsieur Stazi?"

Est ce l'effet du peu d'alcool ingurgité ou simplement le fait qu'il l'attire? Peu importe, ses avances étaient implicites mais peu difficiles à dechiffrer.

Ca ne lui fait pas peur, ça l’amuse même, je range le flingue dans mon pantalon, et l’entoure de mes bras tatoués.

Plus que tu ne le crois...

Elle a passée le test avec brio. Je tends mes lèvres vers les siennes avant d’enfouir ma tête dans son cou. Les quinze prochaines minutes sont qu’un échange de coups de langues, salives et tout ce qui va avec, avant que je n’enlève ma chemise, et laisse découvrir mes tatouages, véritable pièce d’identité....

J’en étais sur que t’étais une vraie bête...

Je prends une Vodka et l’avale goulûment avant de la regarder d’un air affamé.

Allez enlève cette chemise que je vois de quoi ça à l’air sous le capot...

Elle enlève sa chemise, je ne trouve pas les mots... Elle a un corps sculpté par les anges...

Je la prends par la taille et la plaque contre le mur, pour y enfourcher ma langue au plus profond de sa gorge avant de reprendre mon souffle et enlève son jean. Elle déboutonne le mien, et c’est en caleçon que je la soulève pour la jeter dans mon lit.

J’enlève mon caleçon et de mes doigts habiles enlève sa culotte ou son string... Deux chatons complètements nus se battent dans un lit blanc. Elle a la peau douce et moi rugueuse, on forme un contraste, moi la Lune, elle le Soleil : on se complètent.
Alors qu’elle croyait que c’était terminé, ça ne faisait que commencer...

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