Partir ou rester? [Marshall]

Après avoir reçu une lettre lui disant qu'elle pouvait rester chez elle, Liz sauta de joie, c'était bien le terme. Son chien était lui aussi heureux de voir sa maîtresse dans un tel état, ce qui le faisait remuer sa queue de partout, faisant la poussière au passage. L'italienne voulait accrocher cette lettre, l'encadrer et la mettre au dessus de son lit, comme si c'était un diplôme. Non, ce n'était que l'abus de la boisson qui lui faisait sortir des idées pareils. Elle avait passé deux jours avec sa voisine Mme Geckler avec qui elle avait pu jouer au baggamon, avait pu discuté de cette histoire avec Serge, sans lui dire qu'il était russe et qu'est-ce qu'elle avait fait avec lui. Non, la jeune femme lui avait simplement expliqué qu'ils avaient tenté l'aider, mais que Liz avait refuser au début...

Enfin bon, après avoir fêter dignement son pseudo retour chez soi, Liz avait décider d'essayer de reprendre une relation normal avec Marshall, après tout, ils avaient vécu beaucoup de chose ensemble, et la distance les avait belle et bien séparé, mais alors qu'ils s'étaient vu après un appel de l'hôpital, ce cher Marsh avait fait un coma. Il avait abusé de l'alcool lui aussi, mais cela avait été trop. Elle l'avait vu dans un état assez pitoyable, et avait pu s'apercevoir qu'il était sortie quelques jours après. Une discussion entre les deux, et la demande de l'italienne avait été clair, prendre son temps.

Et le temps avait été écoulé, Liz se sentait prête à le revoir, à essayer de reconstruire quelque chose. Ce qu'elle ne lui avait pas dit, c'était que malgré son envie de devenir une femme à part entière, elle avait terriblement peur de l'avenir. Une relation pour elle était plus difficile que faire exploser un bâtiment et si elle pouvait en faire exploser un tous les jours se serait du gâteau. Bref, l'italienne avait décider d'aller le voir, elle savait où il habitait depuis qu'il avait changer d'habitation, casser d'une grande maison calé dans le désert à un appartement en banlieue. C'était son choix, il l'avait décider ainsi...

En route vers cet appartement, la jeune femme était de bonne humeur, le revoir et lui parler, lui expliquer pourquoi se besoin, peut être parce qu'il méritait des explications... Mais lui dire qui elle était vraiment serait judicieux pour leur relation? Lui était devenu un honnête gens, alors qu'elle était encore la mante religieuse, cette saloperie que les fédéraux aimeraient sûrement écraser. Mais pourtant, elle faisait le bien autour d'elle, en éliminant la raclure, ces connards qui pourrissaient le système ou encore ce qui abusait de leur pouvoir, pas dans tous les cas en tout cas.

Prenant le tournant, et elle était arrivée devant l'immeuble de Marshall. Il y avait du monde en bas, de loin, elle n'arrivait pas très bien à distinguer qui s'était, la jeune femme se dit qu'elle s'excuserait pour passer. Apparemment c'était un couple, la femme était collée contre l'autre.

Bon, murmura-t-elle.

Ce quartier n'était pas trop sur et une blanche dans les parages n'était pas bon. Mauvais pour ses petites fesses. Mais elle n'avait pas peur de ce genre de personne, déjà d'un elle avait son arme, et de deux, elle ne se laisserait pas si facilement faire par ses personnes. Par les échos qu'elle avait des autres personnes, les banlieues étaient vraiment chaudes, mais l'italienne était du genre à vouloir voir si c'était vrai.

Mais au fur et à mesure qu'elle s'avançait calmement, elle s'aperçut de quelques choses qui l'arrêta à quelques mètres. Marshall en compagnie d'une femme de peau noir, c'était eux le couple, elle le collait étrangement. Alors tout un film se tournait dans sa tête. Elle le regardait choquée, une main tenant son sac, l'autre vide tendu vers le sol, ses cheveux volant par une brise légère... A cet instant Liz le haïssait.

J'avais passer de nombreux jours à faire des affaires, j'avais contacter des gangstas pour revendre des grenades acheter à Atlanta. Un camion transportait officiellement des livres, mais en dessous de quelques livres il y avaient les célèbre balle de tennis. A deux on allait ce faire environ cent vingt mille dollars de chiffres d'affaires pour vingt milles de dépense environ. J'étais satisfait, j'allais pouvoir faire face à cette nouvelle organisation. Ils sont très dangereux et il faut que j'entretiens mon bizness si je veux survivre. A cette heure je suis dans mon fauteuil, vieux fauteuil troué et usé, devant ma télévision. Mon pouce droit frappe la touche de la télécommande, je me sert un verre de coca-cola puis me lève pour ramener le cendrier au bord de la table. Le paquet est dans une poche de mon jean, je sort une seule clop et l'allume immédiatement. J'allais pas toucher au coca pendant un long moment, la clop s'associe pas trop avec la boisson sucré. Je zap rapidement pensant à pas grand chose, je tombe sur une émission de clip musical. En y pensant ces derniers temps j'ai fais pas mal de chose, j'ai signer un partenariat avec bajuanez et Calvin, Liz m'a dit aurevoir pour un petit moment, j'ai acheter des grenades et j'ai commencer à préparer la vente. Ces grenades sont pas loin de chez Calvin, chez lui il est craint alors les grenades sont en sécurité dans le petit entrepôt qui est en face de chez lui.

Pour ma part on m'a parler d'un certain Serge Helvitch, je crois que c'est cela son nom, il est sensible à acheter mes grenades. Puis étant l'ancien Boss de l'ancienne mafia russe, je pense que j'ai des infos à lui confier concernant les Wolves. Ils vont essayer d'avoir sa peau, même si ça serait bien qu'un grand russe crève je préfère être honnête si je le rencontre. Si je lui vend des grenades je n'aimerais pas que les Wolves l'élimine et pique la marchandise, ils seraient capable à en faire mauvais usage. Des grenades déjà on en fait forcément un mauvais usage, mais si c'est contre un de mes frères africains c'est pire que tuer un homme...

Concernant ma vie privée, je n'en avais pas vraiment, je voyais de temps un frère par là ou par ici, Nadyana me collait assez souvent puis c'est bien tout. Cette fille était partout ces temps-ci, je dois des explications je crois. Ici c'est la soeur a pas mal de gens, et surtout la mienne, elle a grandit à Karandras avec moi, elle a bosser pour moi on ce connait depuis toujours. Elle n'a jamais eu de grande relation amoureuse, elle n'a pas connu grand chose avec les raclos du coin. Il parait que de m'avoir perdu une année lui a dévoiler ces sentiments envers ma personne, ne connaissait que des sentiments peu élevé dès qu'elle connait mieux elle croit que c'est l'amour. Je ne pense pas qu'elle soit vraiment amoureuse, je crois que c'est juste une petite attirance ou plutôt une grosse attirance. Mais le fait est qu'elle a essayer à plusieurs reprises de me forcer la main, je lui est expliquer qu'on ne pouvait sortir ensemble pour l'instant mais je ne peux l'empêcher de tenter sans cesse.

Ce jour là j'étais bien tranquille, quand je crois entendre mon interphone. Je laisse tomber, je m'allume une autre clop et termine mon coca cola juste avant. Mais ça re-sonne, voilà maintenant je suis sur de ce que j'ai entendu. Je me lève clop à la main, la fumée envahissant le petit couloir d'entrée, j'appuie sur le bouton de l'interphone et qu'est-ce que j'entends? La voix de Nadyana, encore elle décidément sa ne lui a pas suffit d'essayer de me forcer au rapport sexuel il y a quelques jours. Bon j'ai la flemme d'éteindre la clop, je la pose dans le cendrier le temps que j'enfile un petit pull marron foncer par dessus mon tee shirt XXXL, puis bien sur la célèbre veste en cuir de qualité moindre dû au temps qu'elle a passer sur mon dos. Je met ma paire de pompe, puis reprend ma clop. Je sort fermant la porte à clé, je descend vers le hall. Le hall du bâtiment est vide, elle est dehors dans la petite allée. Elle n'est pas seul, je dois tout d'abord serrer 7 patte de brother avant d'avoir le droit à un baiser sur la joue droite. A droite comme à gauche, des parcelles d'herbes, et une petite barrière qui m'arrive à mi-hauteur à peine. Je me cale contre celle de gauche, la jeune femme viens se mettre contre moi directement posant ces mains sur mes hanches. Je ne dit rien, entre bon pote ce genre de geste ne sont pas trop mal vue. On ne fait pas de manière, "non tu me touche pas on est pas ensemble" ici c'est le ghetto, les vrais potes sont comme vos frères, les personnes que vous connaissez pas sont également vos frères jusqu'au jour où ils vont vous trahir.

Les frères autour de moi rêvent de cette femme, mais même si elle voudrait d'eux ils se rendraient à la réalité ils diraient non. Cette femme c'est leur soeur, ils l'ont vu casser des têtes, ils l'ont vu tirer sur des femmes mais aussi sur des hommes. A douze ans elle avait sa batte de baseball qui ne la lâchait jamais au lieu des bijoux des petites blanches. Elle était très féminine, mais elle restait une gangsta girl. Elle était face à moi, me regardant de son air de petite innocente. Je sais ce qu'elle va faire, mais je ne sais pas qu'est-ce qui ce passe derrière moi.... Liz Parker est là, elle viens de s'arrêter de marcher surprise de voir une femme si proche de moi. Les frères étant de l'autre côté de l'allée voient Liz, ils l'ont déjà vu tenir ma main non loin de là il y a un ans. Tout le monde connait la mente religieuse ici, mais je suis loin de me douter que Liz correspond à cette personne. Je ne sais pas ce que Liz fait de ces journées, et avec le temps qui a passer c'est encore plus obscure qu'avant. Les gangstas se doutent qu'on est encore ensemble même si c'est un peu un point d'interrogation qui fait de nous un couple.

Liz voit la scène qui va ce déroule à cet instant, Nadyana tente de m'embrasser passant ces mains derrière ma nuque. Je tourne rapidement ma tête, le baisé s'échoue sur ma joue gauche. J'enlève les mains de la jeune femme avec délicatesse, et je me décale sur le côté sans me retourner et donc sans voir Liz. Je lui dit un simple non, que ce n'est pas possible peux être un autre jour. J'ai dû la vexer, et j'ai envie de partir même si elle fait mine d'en avoir rien à faire. Je marche à ma gauche, puis je tourne encore à gauche, levant un peu la tête je vois Liz ici, devant moi. Je suis très surpris mais pourquoi est elle là ? J'en sais rien, mais j'espère qu'elle ne m'a pas vu avec cette jeune femme, elle risquerait de vouloir se venger... Je ne sais pas ce qu'elle a vu donc je ne sais pas contre qui elle va se venger, elle a tout vu du début à la fin mais j'espère que ce n'est pas le cas car je ne veux pas passer pour ce que je ne suis pas : Un de ces héros de film qui renie une belle femme pour celle qu'il aime alors que celle qui l'aime voit toute la scène. C'est ce que je venais de faire, Liz l'avait vu et je ne pouvais prévoir ça réaction. Logiquement elle serait positif envers mon égard, mais vu que Nadyana est juste devant elle la réaction peux devenir très négatif envers elle. Les frères comprennent vite la situation, et ils vont parler à la jeune femme qui ne voit rien. Ils arrivent à l'amener à l'intérieure du bâtiment, juste dans le hall. Il y a une petite brise assez douce, et puis nous sommes en hiver, donc il n'est pas dur de convaincre la jeune black de rentrer squatter les escaliers. Je suis seul face à Liz, très proche d'elle car j'espère qu'un jour elle fera le premier pas en m'embrassant.

Qu'elle surprise! Tu va bien ?

Le sourire au bord des lèvres, même si au fond de moi je suis pas tout autant rassurer et sympathique. Je suis content de la revoir, c'est vrai, mais dans une telle situation faut avouer que c'est pas cela que j'aurais désirer.

[Bon ça va être ridicule face à cette rep de cette envergure ouiiin]

C'était lui... c'était lui! Et qui était cette pouffiasse contre lui? S’était ce qu'elle avait pensé sur le coup. Elle les regardait, elle voyait toute la scène et lui ne l'avait pas vu, pas tout de suite en tout cas. Mais d'autre personne était là, elle n'y avait pas prêté attention et eux la regardaient. Cette femme tente d'embrasser Marshall, Liz en était choquée, voir blasé. Elle ne pouvait rien dire, elle ne bougeait pas ... Mais pourtant son baiser s'échoua sur sa joue, c'était presque un rassurement, mais elle était envahit par la colère, car il devait l'avoir vu pour changer et ne pas l'embrasser!

Elle était en faute, elle lui avait dit qu'elle voulait une pause, mais elle ne pensait pas qu'il changerait de fille aussitôt. Elle était ahurie, hébétée, tous les sens étaient bon pour montrer, un mélange de malaise et une incompréhension, sentant que sa place n'était pas là. A cet instant, leur regard se croisa. Il pouvait lire l'indifférence dans ses yeux, alors que si elle pouvait, elle l'attacherait face à cette femme en train de se faire torturer par la main par elle, la mante religieuse, sous ses yeux et là, il verrait ce qu'elle ressentait. Sa réaction serait proportionnelle à ce qu'elle avait vu, ou peut être ne l'était pas pour Marshall, mais elle le serait pour l'italienne.

Cette femme partit par l'appel forcé des autres hommes qui étaient présent, il ne restait plus que ses deux personnes, ils s'approchaient. Le beau black s'était rapproché d'elle à un point qu'elle recula d'un pas, tenant toujours son sac, il pouvait voir à présent un sourire en coin se dessinant sur ses lèvres, le regardant sur ses yeux. Ce n'était pas un sourire amoureux, mais c'était le même qu'elle offrait à ses proies avant de mourir. Un sourire belliqueux voir malsain.

Quel surprise, murmura-t-elle reculant de quelques pas encore, l'observant droit dans les yeux puis pouffant de rire avec écoeurement. Qu'est-ce que je fais là...

Elle se retourna simplement et fit quelques pas, elle ne pleurait pas, elle se retenait, plus exaspérée qu'autre chose. Puis après deux, trois mètres de distance, elle s'arrêta. Ce n'était pas le genre de la mante religieuse de partir ainsi, sans aucune explication, au pire, elle pourrait lui envoyé son sac dans la figure, elle ne le frapperait pas de ses poings, peut être pour ne pas compromettre son identité mais surtout parce qu'il était fort, même si elle pourrait le rabaisser à un point qu'il devrait crier "wouaf wouaf" pour qu'elle s'arrête. Elle en voulait à Marshall et plus encore à cette femme, mais c'était lui qui était là, alors il prendra... (ce soir tu vas prendre! mdrrr)

Je ne pensais pas que tu passes aussi rapidement à autre chose, il me faut du temps et toi, tu cours le jupon des autres... ça ma fait plaisir de te revoir Marshall mais je crois que cette ... pé... femme t'attend.

Elle reprit sa marche puis s'arrêta à nouveau, se retournant brusquement, le frappant dans la poitrine, le faisant reculer de quelques pas.

T'es qu'un connard Marsh! Expliques moi ça!

Comme on pouvait s'y attendre Liz était une nouvelle fois à côté de la plaque, mais on ne pouvait pas vraiment lui en vouloir cette fois-ci. Elle avait cru comprendre ce qui c'était passer, et avait pour une fois réagit comme n'importe qu'elle autre femme aurait réagit. Elle venait de s'énerver face à mes yeux pour la première fois, me rappelant la femme sèche qu'elle était quand je l'ai fait amener à moi a tête couvert d'un sac. Là je deviens tout de suite dépasser, je me rappel d'un coup comment je l'ai rencontrer. Prêt du canal, mangeant une glace, on c'était quitter et j'avais tout de même envie d'enquêter sur elle sans me rappeler la raison. La mémoire me revint, Liz était cette femme... Elle a même bosser pour moi, la mente religieuse. Je ne me souviens plus trop de la mission que je lui avait confier, je sais que c'était un meurtre et que mes hommes l'avait cagouler et menotter dans la voiture pour me l'amener. Elle avait mal prit ce geste de mes hommes, à l'époque peu ne monde l'a connaissait sous son surnom. Mais je me rappel enfin que c'est une tueuse à gage qui évoluait petit à petit, et pendant son évolution j'avais des rapports sur ce qu'elle avait fait. Un jour son nom me vint à l'oreille, mais j'ai vite oublier cette information. Le coup que je viens de me prendre me confirme ce souvenir assez vague. J'avais des muscles pour amortir je n'ai pas vraiment mal mais je recule de un ou deux pas. Automatiquement mes sens en alerte, ma main ce glissait vers ma ceinture comme pour dégainer tel un cow-boy. Mais ce geste rapide qui ne passait pas inaperçue, s'arrêta là. La main derrière le dos attrapant le flingue, mais ne le sortant point de mon vêtement...

Rouge vif était mon mental, mais je ne pouvais sortir mon arme, mes réflexes étaient plutôt rapide mais ma réflexion l'était également. Je ne pouvais lui faire du mal, elle était sur le point de la colère. Sa façon de s'exprimer alerta les jeunes fréro, et la jeune Nadyana. La porte du hall entrouverte, Nadyana était outré. Elle venait de comprendre tout, pourquoi je la repousse tout le temps, elle venait de confirmer sa pensée croyant que j'avais une femme dans ma vie. Ce n'était pas tout à fait cela mais la scène fessait bien croire cela, Nadyana ne bougeait plus ne pensait plus rien n'avait ni sentiment de tristesse ou de colère juste un sentiment de néant total.

Pour ma part, je ne voulait pas passer pour un héros de film, mais maintenant je passait pour cet innocent traiter d'enfoiré par la femme qui est amoureuse de lui... Une autre scène, mais une scène très cinématique tout de même. Que dire, j'en sais un peu trop rien, ma main restant à la ceinture les yeux plus que noir, la peau plus bronzer que d'habitude. J'arrive à reprendre contrôle de mes émotions face à une femme plus qu'énerver, ma main lâche le flingue pour tomber le long du corps. En appuie sur une jambe en arrière, je me remet bien face à elle. La tête ce relevant légèrement les yeux regardant Liz, droit dans les yeux de la même manière qu'elle me regardait. Derrière moi, vers le hall, les gangstas ainsi que Nadyana on me regarde avec attention. Le pull tombe un peu sur le gun, mais on le distingue, toute personne derrière moi ce pose une question : Va-t-il s'en servir ? Elle a oser le gifler, Marsh'... Il va sûrement jouer au con. Preuve que les gens ne me connaissent pas, la seule qui savait que je ne ferait pas usage de violence dans cette situation c'est bien Nadyana. Des fenêtres s'ouvrent discrètement à droite et à gauche, les petits curieux du ghetto, certains n'ouvrent pas les fenêtres mais sont bien derrière. Trois gangstas sortent à ma gauche d'un hall de bâtiment, ils se posent contre le mur attendant un peu d'action... D'ici j'entends un petit poste, du pur rap gangsta histoire. Cette chanson signifiait pas mal de chose, elle était dans un dialecte africain que je connais bien, dans le quartier elle tournait toujours pour pousser un gangstas à montrer sa puissance.

Les mains ce rentrent dans les poches, laissant dépasser les pouces. La musique tapait dans le crâne, dans ma poitrine que Liz a oser frapper. Garder le contrôle, alors que j'ai faillit le perdre.. Dur dur.
Je me rapproche de deux pas de Liz, commençant un troisième lançant une petite phrase. Sourcils détendu très très calmes, c'est impressionnant le contrôle de sois même parfois. D'un ton relativement stable, je m'adresse donc à cette jeune femme au près de qui je me rapproche doucement sans peur et crainte.

Un homme ne peux voir ce qui se passe dans ce dos, je ne sais ce que tu as vu...

Avant d'enchainer directement après cette courte pause, je peux toujours préciser qu'il était dans mon intention de rassurer Liz et de la calmer. Coureur de jupon, c'est vrai que l'envie de lui exploser la figure à grand coup de poing ne me manquait guère.... Mais je comprenait très bien ce qui pouvait ce passer dans sa tête.

Tu l'a toujours dit, être célèbre et riche c'est ne pas passer inaperçue. Et tu sais tout autant que moi que nombreuses sont les femmes prêt à tout pour accrocher un mec apprécier, réputer, et riche pour tout simplement frimer. Une femme qui me tourne au tour... Est-ce moi le fautif ? Vasy écoute calme toi et viens avec moi en haut à l'appart ok ?...

Détermination, calme, serein, explicatif, j'étais au top. Et j'allais très rapidement rajouter un petit mot de plus à cette phrase, une fin de phrase. Ce n'était pas pour calmer ou amadouer Liz, un quelques mots sortant naturellement sans que je puisse vraiment les maitriser.

Je ne t'aurais jamais embrasser après ce que tu m'as dit l'autre fois... Si... Si... Baissant la voix de tonalitée à chaque si, j'en dit au total quatre, puis je reprend possession de mes moyens d'expression et termine finalement ma phrase. Si je ne t'aimerais pas, allez viens au chaud s'il te plait... Ma.... Viens Liz.

J'ai fallis prononcer un mot condamner dans ces blocs, je ne pouvais pas aller au delà du principe pour le moment. "Ma chérie" ou "Mon amour" ou n'importe quel truc du style était à éviter. Tout de même, terminant enfin cette phrase je tend ma main à liz, la regardant d'un regard aussi doux que franc. Terminant ainsi ce petit dialogue je suis enfin face à Liz, à moins d'un mètre, on a pas été aussi proche depuis si longtemps. Même si je ne parlais point fort, je voulais que cette conversation reste entre nous. Et puis c'était plus fort que moi, je ne pouvait être éloigner d'elle comme je l'étais il y a quelques secondes. Une personne retes sous le choc, une première larme prêt à couler, Nadyana... Voyant toute la scène, elle comprit bien que si je ne prenait pas la solution violence c'est tout simplement car je tiens à cette personne en face de moi. Elle comprennait tout malheureusement pour elle, je ne le sais pas encore, mais son coeur ce brise tout doucement.

(Je viens de me souvenir de mes premiers rp avec toi... J'avais oublier que tu avais bosser une fois pour moi. Je suis de passage chez mes parents. Je viens de faire environ soixante-dix lignes, bonne lecture et prend ton temps pour répondre je pense que je repasserai sur le forum qu'après le fin du stage c'est à dire dimanche.)

[xD c'est vrai que Liz avait travaillé pour toi une fois, on l'avais oublié]

L'italienne sortait de ses gonds, elle voyait que la situation s'était alourdis, ils étaient seuls dans la rue, mais tout le monde regardait la scène derrière leur fenêtre. Seul une musique de rap brisé le silence. Liz se foutait totalement de ce qui pouvait la voir, qui pouvait voir la scène. Ce n'était pas eux qui comptait pour le moment, c'était lui. Qu'est-ce qui s'était passé avec cette femme. L'italienne lui en voulait et en quelques secondes, elle se dit que peut être il n'y avait rien entre le beau black et cette tueuse, que ce n'était qu'un jeu de sa part, ce qui la faisait tremblait de plus belle. Elle lui aurait donner un coup de poing si elle pouvait, mais non, elle tenait encore à lui et lui faire du mal était tout simplement impossible, même si les idées défilaient sous ses yeux.

Elle ne s'était pas énervé contre lui comme cela, depuis longtemps, cela remontait à un petit moment, alors qu'il n'était pas encore "ensemble". Elle ne l'avait pas vu, elle n'avait pas vu qu'il avait failli sortir son arme, furieuse de cette situation. Liz le voit s'approcher et cette fois-ci elle ne reculera pas, elle le regardait droit dans les yeux, il était plus grand qu'elle donc elle levait la tête. Cette jeune femme qui faisait tête à lui, alors que le beau black voulait simplement la rassurer.

Liz lui lança un regard noir, elle avait vu cette femme s'approcher de lui. Cela dit ce qu'il disait expliquer tout, et elle savait ce qu'il se passerait avec ces autres chienne qui tournaient autour de lui, elle le savait mais elle n'arrivait pas à donner un sens. Peut être était-elle vraiment attachée à lui et voir ses femmes tournaient autour de lui la rendait jalouse? Elle ne voulait pas se l'avouer mais c'était bien le cas. L'italienne l'écoutait, desservant les poings petit à petit. Elle baissa la tête, murmurant simplement

Je sais, avec un certain agacement dans la voix comme si c'était dur de se l'avouer à soi même.

Mais ce qu'il dit par la suite, la bouleversa un temps soi peu. Elle resta la face à lui. Était-ce une mascarade ou la vérité? A présent elle doutait, elle doutait de tout, est-ce qu'elle devait le croire? Bon sang Liz croit le! Il ne t'a jamais mentit! Il te la dit qu'il allait prendre une vie normale que tout ce qu'il a fait auparavant c'est du passé et maintenant c'est un homme bon qui allait s'occuper d'elle! Retenant ses larmes, elle acquiesça de la tête, après la colère, les larmes, c'était toujours comme ça avec l'italienne.

Rentrons, chuchota-t-elle, j'ai froid...

Ce n'était plus des mouvements de lèvres, un souffle rien de plus, elle sentait mal, gênée. Pourquoi ce changement soudain! C'était bien une femme, quelques mots pour radoucir cette animal féroce, cette tueuse qui aurait pu l'étriper en quelques secondes. Elle le suivit silencieuse, main dans la main en passant à côté de Nadaya, Liz voyait qu'elle pleurait, mais ce n'était pas pour autant qu'elle aurait de la compassion pour cette femme. Elle devait aimer Marsh, mais sur le chemin de l'amour, il ne pouvait y en avoir qu'une, et la jeune femme ne se laisserait pas prendre la place. Elle s'était rendue compte de ce qu'elle ressentait pour cet homme ... et maintenant elle serait prête à tuer ses femmes qui l'approcheraient. Jalouse? Oui ...

La surprise totale, Liz abandonne. Non tout simplement qu'elle me croit, c'est la première fois que je me retrouve dans une telle simplicité avec elle. Cela ne s'arrête pas là elle s'invite chez moi, et me saisit elle même la main pour la première fois. Nous marchons ensemble, main dans la main, silencieux, traversant la ruelle froide de cet hiver. Les regards étaient toujours présents mais moins stressant, pendant que nous nous dirigeons vers mon allée. Je peu voir les nombreuses têtes que je connais bien une fois dans l'allée, don celle de Nadyana. Elle retiens sa rage, je la regarde dans les yeux, je suis désolé de la tristesse que j'ai provoquer. Je suis face à elle et les collègues, tout le monde se pousse mais pas la jeune gangsta. Elle me regarde avec cette envie de pleurer, la rage pas bien loin. Elle finit par ce pousser, et avec Liz on passe la porte et rentre dans le hall. Quand la porte retombe nous sommes déjà sur les premières marches, rapidement nous sommes plus que seul. Ma tête s'abaisse pour déposer un petit baise sur la joue gauche de Liz, vu qu'elle est à ma droite. Elle le méritait bien, ce petit incident n'était pas vraiment de ma faute mais c'était elle qui l'avait subis. On s'avance vers les dernières marches, la porte se voit déjà.

Une fois la porte ouverte, elle rentre la première et voit le petit appartement dans lequel je vis provisoirement, puis je rentre juste après. Je ferme la porte à clé on sait jamais, j'enlève la veste de liz me tournant le dos pour la mettre sur un porte-manteau. Puis je quitte ma veste lui disant d'aller s'installer dans le vieux sofa deux places. J'en profite pour ouvrir un tiroir d'un petit meuble à l'entrée à côté du porte-manteau, j'y range mon desert eagle par habitude. Puis je sort une bouteille d'eau que je pose sur la table, le frigo est vide et j'en m'en excuse bien sur. Deux verres sur la petite table de ce petit salon face à ce petit sofa vieux et usé. Je sert de l'eau dans un, le donne à Liz, puis me sert le laissant sur le bord de la table. Une fois assis tout les deux, je pense que ça ne sert à rien de rester coincer. Alors le bras droit passe derrière le dos de Liz, la collant un peu à Marshall comme il ne c'était pas fait depuis longtemps. Grand était mon plaisir, la savoir comme ça avec moi. Rien le fait qu'elle m'ai prit la main, ce n'est rien mais quand il s'agit d'une personne comme elle il s'agit de beaucoup. En fait j'étais tomber dans un petit nuage en quelques secondes. Je crois que je suis amoureux, je sais que ce n'est pas compatible avec le métier mais chacun ces défauts. Je suis simplement en bonne compagnie avec la femme pour qui j'ai le plus d'estime, la seule femme avec qui je pourrais me projeter dans le futur. Puis de toute façon je suis connu pour allez au delà des habitudes du gangster normal, je me démarque d'une façon et d'une autre donc... Avoir une femme n'étonne personne quand sa viens de ma part.

La conversation allait être dur à faire vu que j'en aucune idée de ce que je peux lui dire. La solution est simple, je laisse me laisse simplement aller. Je tente une petite approche de petit mot, lui disant que ça me fait grandement plaisir de la revoir, lui disant deux trois petites choses faites pour détendre l'atmosphère. Puis j'en viens à un sujet un peu plus sérieux... Enfin j'en viens au but tout simplement.

"Liz je ne veux plus qu'on pense au passé, alors tout à l'heure pour moi c'est oublier. Je veux qu'on repart sur de bonne base afin qu'on reste toujours sur des ondes positives, car tu ne mérite rien de mieux qu'un simple bonheur."

J'avais conclu cette histoire assez courte, pas besoin de rester planter sur le passé surtout si le passé est négatif. Je ramène le cendrier, et pose mon paquet sur la table. J'hésite un moment à en allumer une vu que je l'ai avec moi alors j'ai la délicatesse dans mes paroles, je lui demande si ça ne l'a dérange pas vu qu'elle ne fume pas. Enfin il me semble, si ça a changer je serais grandement déçu. Je compte bien tenter d'embrasser Liz si aucune réponse négative m'a été donner concernant mon petit dialogue. La regardant droit dans les yeux, me penchant lentement posant mes lèvres sur les siennes. Lui redonnant un baiser que je n'ai pû lui donner depuis plus d'un ans...

[Ouais le rp style les séries bidons cucugniagnian, tu vas te marrer! mdrrr]

L'abandon? Peut être pas, l'italienne avait seulement évaluer la situation et avait décider de calmer son jeu. Après tout pourquoi s'énerver contre lui, devant tout le monde quand elle pouvait le faire chez lui, ce qui serait moins gênant. Quand ils rentrèrent dans le hall d'entrée, passant devant Nadaya, Marshall l'embrassa sur la joue. Baiser qu'elle ne refusa pas, mais auquel elle n'éprouva aucun plaisir, aucun sourire ne se reflétant sur son visage. Liz monta les marches calmement sans rien dire, puis arrivée devant la porte de l'antre du lion. Elle découvrait pour la première fois son appartement, simple et agréable. La jeune femme l'entend fermer à clé, continuant à regarder la pièce, aux aguets comme si elle se préparait à voler quelque chose. Lui laissant son manteau, elle posa son sac sur le canapé, puis s'assit après, fermant les yeux quelques secondes, analysant encore la pièce dans ses moindres détails. Elle le vit revenir, elle ne comptait pas parler pour l'instant, attendant de voir ce qui allait se passer. Le beau black venait de lui amener un verre d'eau, ce qui lui fit se rappeler qu'il devait éviter l'alcool. Liz aurait préféré prendre un bon verre de vodka plutôt qu'un verre d'eau, mais bon elle ne chercherait pas la petite bête. L'écoutant, installée confortablement, elle n'eut peut être pas la réaction attendu et espéré de Marshall. Non, à vrai dire ce qu'il disait n'avait presque aucun sens, lui n'avait pas vu. Imaginait-il un instant un homme être aussi proche de Liz et tenter de l'embrasser? Comment réagirait-il? Une question à ne pas poser, parce qu'il n'y réfléchirait pas... ou peut être pas. Peut importe, elle ne ferait pas, cela, ou presque...

Ce petit discours de fait, Liz ne répondit pas, embrassant Marsh, un simple contact, une frôlement de lèvres, rien de plus, avant tout, elle voulait que ce soit clair entre eux, pour l'italienne ce n'était pas encore le cas. Puis l'arrêtant, touchant son visage de sa main gauche, regardant son torse dans le vague. Elle n'arrivait pas à rester assise plus de cinq minutes, c'était comme si la jeune femme était une pile électrique. Il fallait à présent qu'elle ait des explications, elle put enfin parler, sachant qu'elle aurait un flot de paroles à déverser.

Tu... tu te souviens, que je t'avais dit que je voulais reprendre une vie normale? Tu sais très bien ce que je suis, ils ont donné un nom à mes actes, le nom de "mante religieuse". Expliqua-t-elle marchant dans toute la pièce, utilisant ses mains pour parler tel une vraie italienne. Sauf que j'en ai marre, tu vois les topos? Je veux être une de ses femmes "normales", mais c'est impossible, ça fait des semaines que j'essaie de mener cette putain de vie! J'ai malheureusement garder des contacts avec des gens de mafia, des personnes qui arrivent toujours à me contacter, y a une semaine j'ai mangé avec un russe, on éprouvait une haine mutuelle, je sais pas ce qui s'est passé... c'était étrange... Enfin, maintenant j'ai envie de vivre une vie normale, le fait que tu me dis que tu deviens un honnête citoyen me donne envie de faire comme toi, mais apparemment j'ai plus de difficultés avec ça...

S'arrêtant regardant le vide, elle laissa tomber sa tête en arrière, ses yeux aux plafonds, cherchant les mots qui pouvaient définir ce qu'il y avait dans sa tête. En quelques secondes, des possibilités se frayaient dans sa tête. C'était un dragueur, un frimeur, il pouvait avoir tout ce qu'il voulait et se montrer sage, la queue entre les jambes quand il n'arrivait pas à avoir une femme et au final, quand il l'aurait eut dans son lit, la jetterait comme ses anciennes conquêtes; Ou bien encore, avec la distance qui s'était imposée entre les deux êtres, ce qu'il ressentait, s'était effacé et tout ce qu'il voulait c'était passé à autres choses, mais comment le dire à une femme comme elle qui pourrait tuer toute ses conquêtes. Liz aurait encore le beau rôle alors autant mettre le chapeau sur cet homme qu'elle aimait tant sans vouloir l'avouer. Il passa son bras autour d'elle, se laissant faire, presque détendue, mais à chacune des secondes qui passaient, le visage de cette femme lui revenait en tête, et tout sorte d'idée lui venait à l'esprit.

Ce n'est pas le plus important! Je voulais venir te voir pour te parler de tout ça, et qu'est-ce que je vois? Tu dis que pour toi c'est passé, mais ça fait même pas cinq minutes! Comment peux-tu laisser passer ce genre de chose! Cette fille! C'est qui d'abord pour s'approcher autant de toi, et tenter de t'embrasser!? C'est une de tes groupies à cause de cette saloperie de célébrité?! Explique moi, je veux savoir après les choses seront claires, et ne me mens pas!

C'était comme si c'était une mère qui ordonnait à son enfant de lui expliquer ses bêtises qu'il avait fait à l'école. Mettant ses mains sur ses hanches, elle n'éprouvait pas vraiment de colère, mis à part quand elle parlait de cette femme et de sa célébrités, bon, d'accord, Marshall pourrait très bien la ressentir comme en colère, mais c'était plus de l'incompréhension. Et à vrai dire, la jeune femme savait qu'elle ne devrait pas demander ce genre de chose, il y avait trop de distance entre eux pour lui imposer ce genre d'explication. Elle saurait ce qu'il faut faire pour avoir une réponse, peut être rapide, peut être brutale ou encore ingénieuse, ce qui pouvait les différentes personnes qui les verraient, peut importe, Liz n'avait pas refuser son baiser mais elle était sur le bord de tomber, ce qu'il dirait ferait tomber la balance d'un des deux côtés...

N'importe qu'elle femme n'aurait point su laisser passer cela, elle s'emporte sur un sujet qui ne me concerne guère. Mais je reste attentif, je l'écoute comme il ce doit. Je suis rapidement interpeller par un passage, un russe avec qui il y aurait eu quelque chose. Mais de quoi elle parle, la réflexion éclaire me fit comprendre qu'il pouvait s'agir d'une relation amoureuse temporaire. Mais je comprend qu'elle aurait pu me faire cela pendant cette année, mais ces dernières semaines... Enfin j'ai pas vraiment le temps de m'attarder sur le sujet vu qu'elle enchaîne mots après mots. Elle était peux être en colère, elle parlait avec débit mais ne criait point. Elle s'interrogeait à voix haute apparemment, j'étais autour de ces points d'interrogations donc c'est pour cela que je me trouvait comme une cible de cirque recevant une dizaine de couteaux. Je devais intervenir répondre à ces questions, car je comprend que tout cela la torture. Elle marchait dans l'appartement les mains ne cessant de s'exprimer, d'accompagner les paroles de l'italienne, moi je restait assis la suivant des yeux. J'écoutais, je restait calme, je ne soupirais point pour ne pas procurer un énervement au près de Liz. Elle s'attaque enfin à Nadyana et à cette célébrité qui l'énerve. Célèbre je l'étais de moins en moins, mais dans ces rues je restais une légende il faut l'avouer. Oui il y a des femmes qui me tournent au tour mais je suis assez grand pour mettre des barrières. Liz n'avait pas vraiment confiance, ce qu'elle a vue lui a donner conscience du danger et me le fait bien comprendre de façon directe. J'aime les gens qui sont aussi directe, elle ne prend pas un chemin intermédiaire à ce qu'elle pense, je suis à deux doigts de me faire fusiller verbalement. Elle voulait savoir qui était Nadyana...

Quelques nombreuses années plus tôt

Aujourd'hui j'ai six ans, il est neuf heure du matin et je suis coller au grillage d'un city stade. Je regarde les grands jouer au basket, moi je fume ma première cigarette. J'ai mal, je tousse, les grands en rigole. Je compte l'écraser dès que j'en aurais l'occasion, j'ai pas besoin de cette merde pour montrer ma valeur aux grand du quartier. Je suis pas comme tout les gamins de mon âge je suis différent, je jette cette cigarette et l'écrase de la semelle de mes basket trouée une fois m'être isoler du terrain. Un rire, une voix de femme, je me retourne brusquement. Elle doit avoir mon âge, et elle ce permet de ce foutre de ma tête. Elle me taquine me traite de blanc à son papa car je ne fume pas, je l'envoie promener. Et elle continue à chercher la petite bête, elle me taquine. Le délire part très rapidement, elle ce nomme Nadyana.

"En fait c'est une amie d'enfance, elle a bosser de nombreuse années avec moi. Je la voyais régulièrement jusqu'à ma disparition, depuis que je suis revenu elle croit être tomber amoureuse. C'est tout, tu peux me croire sur parole."

Pourquoi mentir, je n'en étais même pas capable, je n'avais jamais éprouver des sentiments à l'égard d'une femme, c'était bien la première fois. Elle ne dit rien par rapport à la clop, alors je l'allume tout de suite après. Liz était en face de moi, elle allait probablement répondre au tac au tac après ma réponse. Ou prendre quelques secondes de recule, je ne pouvais prévoir ce qu'elle allait faire. Liz était la plus part du temps imprévisible. Moi j'essayais juste de calmer cette situation, elle m'a demander vérité et c'est en toute honnêteté que j'ai donner réponse à ces interrogations.

"La célébrité ni est pour rien... Ecoute je comprend que tu t'interroge, et vu que j'aurais préféré te revoir dans de meilleur condition.... .... .... Tu as ma parole que ce genre d'incident ne ce reproduira plus, j'irais de nouveau parler à Nadyana."

Je l'avais fais déjà quelques fois, mais là la situation avait changer. Elle avait vu que j'avais Liz, et elle comprendrais sa pourrait la calmer sans problème. Après je risque de faire face à une crise de colère ou de larme, je verrais bien. Ce qui m'importe c'est la confiance de Liz, et aussi que l'ambiance devienne normal et non tendu comme actuellement.

Alors comme ça, ce n'était qu'une simple relation "amicale''? Liz avait réagis le plus naturellement du monde possible. Ses gestes, sa promenade dans l'appartement, une envie de l'étrangler en lui disant, qu'il n'était qu'un menteur. Elle savait quoi faire en cas de situation problématique, or la si Marshall était vraiment sincère, toutes idées de tortures ou tout départs étaient possibles et si simple. Faire un carnage l'italienne devait être née pour ça, or là, elle était devant une impasse, un immense qui ne lui donnait aucune solution, aucune possibilité à part acquiescer de la tête sans aucune mouvement de lèvre, de clignement. Rien. C'était le troue sidérale qui venait de se faire entre les deux personnes. Alors il avait été sincère...

C'est vrai...?

Repartant en marchant doucement, elle essayait de rester le plus neutre possible, ne pas se mettre à pleurer à cause d'une pression qui s'en est allée aussi rapidement qu'elle était venue en bas, devant l'entrée de l'immeuble, et la colère, tout claqué et dire '' fallait réfléchir à deux fois''... Non elle s'appuya contre le mur, un petit sourire en coin. Elle pouvait en fait réagir, fermant les yeux quelques instants... Sentant la cigarette venir à ses narines, elle fronça les sourcils puis répliqua doucement.

Tu devrais arrêter de fumer, à force tu vas te tuer...

Ouvrant les yeux, elle fit quelques pas pour prendre son verre d'eau. Le canapé lui faisait une proposition alléchante, de s'asseoir sur lui et de s'endormir avec Marsh. Non, elle n'obéirait pas à cette soudaine pulsion, pourquoi d'ailleurs? Ils avaient tout pour être tranquille, les coeurs étaient apaisées, enfin son coeur l'était, celui de Marsh, peut être pas. Buvant quelques gorgées, elle le posa sur un meuble puis regarda la pièce, elle allait lui dire, enfin plutôt demander calmement, sans aucune violence dans la voix, mais ce qu'elle savait aller peut être être décisif dans ce pourquoi elle était venue.

Dis moi...

Elle fut soudainement interrompu par quelqu'un qui frappa à la porte. Ce quelqu'un, elle l'aurait étranglé pour pas un sous. Elle prit son temps, soupira et regarda Marsh. Elle baissa sa tête en attendant qu'il aille ouvrir la porte. Elle comptait lui demander certaines autres choses, mais ce petit coup à la porte l'arrêta et ce qu'elle voulait lui demander s'envola aussi loin qu'était son pays natal... XD. Passant ses mains froides sur son visage pour comme essuyer ses yeux fatiguée par tout ce qui venait de se passer. Ces ascenseurs émotifs n'étaient pas les meilleurs pour une tueuse... Qui était-ce et que lui voulait-on encore? Était-ce Nadaya qui voulait s'excuser, ou un ami qui disait qu'elle venait de se trancher les veines par amour... Peut importe, les deux lui convenaient après tout. Liz serait-elle devenue malveillante ou point de vouloir qu'une ''concurrente", meurent? Après tout, elle n'aura pas besoin de s'en charger. Ce qui était sur, c'est que si Nadaya mourrait ça serait sûrement de la main d'une femme un peu trop folle pour une personne qui l'aura étranglée dans son sommeil. Je dis ça, jdis rien...

» Deux morts, de la drogue, what else ? | [Pv Marshall]
» Pause syndicale (Reservé Marshall)
» Fin tragique suite [PV Marshall et tous les autres qui vien]
» Un nouveau commencement [Marshall]
» Mémoires de James Marshall