Une attente dans le froid.

- Il se trouvait en face de la célèbre boite de nuit de Karandras, la casa de cuba. Cette boite de nuit était connus pour ces consomations d'alcool et de drogue qui se passer a l'intérieur, mais il y avait seulement que de l'alcool a achetter. Les éclairages vif de la boite de nuit, aller en pleine tête de LB, celui-ci malgrès le froid de la nuit, essayer de réchauffer ces mains en formant une boule et il y souflait dedans. Sa capuche de son sweat large noir, recouvré sa casquette militaire New-York. Sou son sweat il avait un gillet par-balle, il ne s'en séparait jamais, car LB était des fois dans des affaires où il pourrait lui sauver la vie. Son Colt45 était callé entre son calleçon et son baggy, large bleu foncé. Dans les poches se trouvait les sachets de drogue qui vennait juste de faire, prêt a la vente. Certains groupe de jeune en auront surement besoin cette soiré, pour s'éclater. LB n'avait pas prit le risque d'aller la vendre dans la boite de nuit, car si jamais les gardes de sécurité s'en aperçevait, il pourrait l'exclure définitivement de la boite de nuit, voir même le livrer aux flics ! C'est vraiment pas de ce qu'il avait besoin en ce moment... LeBron était pas dans ces quartiers, de l'Africa Sector pour dealer, car en ce moment la B.A.B. faisait pas mal de descente là-bas. LB avait décider de la vendre ici, sur ce grand parking, car on était un vendredi soir, les jeunes étudiants vennait de terminer leur dure semaines et il voulait surtout s'éclater et se déscendre. LB était déterminer il avait sur lui 380grammes, des sachets répartits dans les poches de son jean, de son sweat et les poches de sa sacoche. D'autre cam' se trouvait dans sa voiture, une peugeot 206 garré non loin du parking. LeBron décida d'avancer dans le froid ce qui ne lui permettait pas de marcher vite, il avait un pat lent. Il s'arrêtta a côtés de la voix rapide, la ou les voitures tournés pour rentrer dans le parking. Il fixa les voitures passer les unes après les autres, il crut qu'aucune voiture aller tourner, mais ce ne fut pas le cas celle qui tourna était blindé de jeune étudiant. Ils étaient deux devant et cinq derrière. LeBron acosta la voiture, du côtés de la vitre du conducteur. Il la baissa, LeBron observa les gars a l'arrière. La fille du milieu avait une bouteille d'alcool dans la main, elle était déjà bien bourrer. Il attendit qu'il y eu silence dans la voiture, et quand ce fut le cas il leur demanda. -

- Tosma ? 11$ le grammes... Pas mieux pour s'éclater ! -

- Il posa ces coudes sur le rebord de la vitre, en apréciant la douce vague de chaud qui veinrent dans sa figure. Il attenda la réponsse des jeunes. -

Les jeunes pas trop emballer, apparemment, peut être qu’ils sont bien entamés mais peu d’entre eux ont déjà été tenté par la drogue. Ils se lancèrent plusieurs regards dans leurs voitures puis d’un air enjoué, le conducteur sortit son portefeuille.

« Files en 50 grammes … »

Il sortit pas mieux de 550 dollars de son porte feuille, vu leur bagnole, ce sont également des fils à papa. En attendant que Lebron déballe sa marchandise, le videur repéra la voiture et s’arrêta net, un afro à capuche à côté d’une bagnole, le deal est interdit dans mais aussi autour du Casa, enfin, plutôt, si tu veux dealer autour du Casa, il faut cracher au bassinet et payer une taxe. Arrêtant, demandant aux gens d’attendre, il prit son talkie-walkie et appela plusieurs gardes armés à faire une petite visite à ce type situés à une vingtaine de mètres droit devant le club.

Lebron, avec ces clients, ne se doutaient de rien.

- LeBron qui avait les brats appuyer sur le bord de la vitre ouverte attendait une réponsse... Les 5 personnes qui était dans la voiture, au départ n'avait pas trop l'air emballer. Il y eu un silence de mort presque, ils se jettèrent tous des petits coup de regards. LB continuait a attendre, il sentait de plus en plus la chaleur de la voiture qui le réchauffer, il était jeller, cette attente commencer a l'énervé. Mais elle fut briser par la chauffeur, où au bout d'un moment il finit par dire qu'il en voulait 50 grammes. Il prit alors son porte monaie, LeBron lui enleva les coudes de sur la vitre, et se remit debout et non plus recroquevillait sur la voiture. Il commença a prendre des sachets. Il en balançat discrètement deux de 20grames et un de 10grames. Malheuresement, la discrétion ne servait plus a rien, un videur avait finit par le capté, mais LB l'ignorait complètement. Son regard était juste fixer sur le porte monaie et les doigt du chauffeur qui était entrain d'ouvrir la fermeture de ce dernier. Quand il l'ouvrit il sortit des billets qui firent un total de 550 dollars, LB les recompta, le compte était bon. Le vigil lui avait déjà appelé ces co-équipier qui veinrent en dirrection de LeBron. LB lui toujours plongé dans son deal leur dit. -

- Ok Merci... Si jamais vous voyait du people dans la boite qui veule aussi du tosma... Faite les sortir je suis là ! -

- LeBron s'éloigna de la voiture, les mains dans les poches, pointa son regard vers la boite de nuit, mais un garde pointait déjà son arme sur lui. Deux autres arrivèrent en marchant derrière lui. LeBron fut très surprit sur le coup, il eu comme un sursaud, une montée d'adrédaline... Avec les mains dans les poches il avait s'aisit son Colt45, mais il ne le sorta pas. Il leur demanda. -

- Merdeuhhh... Putain, quesque vous me voulez ? -

La voiture des jeunes disparut rapidement en voyant arriver les gardes, main sur leur hostler. La voiture disparut dans un crissement de pneu, ils feront la fête ailleurs. Ils n’eurent aucun remords à sortir leurs trois flingues devant Lebron. L’attitude du black étant plus que louche, les mains dans les poches alors qu’il est braqué, ces gardes ne sont pas dupes.

« Poses ton flingue par terre et envoie petit merdeux, pas de faux mouvements, on a le droit de te buter capiche … »

Le plus en retrait d’entre eux, releva le col de son costume où il pouvait parler dans son talkie-walkie. Il murmurait quelque chose et c’est sûrement pas une bonne nouvelle pour le black. De plus, le nombre croissant de dealers à proximité du Casa en ce moment leur donnait pas mal de boulots et surtout pas mal d’énervements, si Lebron joue les héros ou tente quelque chose, ils n’auront aucun scrupule.

« Magnes toi ! »

- Oh meck tu t'goure complé ! -

- Voila ce que vennait de dire LB au garde qui lui avait demander de lui passer son arme. Il lui avait dit sa d'un visage très agressif et méchant, avec un regard très froid et ces sourcils froncé ! Les jeunes eux avait déjà mit pied au planché pour ce casser du parking ! LeBron enleva donc les mains de ces poches, avec les doigt tendu pour leur montrer qu'il avait rien dans les mains, il les mits les long de son corp. Toujours avec le même thon et le même regard, il leur dit en criant. -

- Je comptais juste si j'avais assez de thunne pour bouffer ce soir ou pas ! -

- Le coup que les gardes auraient trop pitié ne marcherait surement pas. LeBron toujours avec les mains le long de son corps regarda les trois gardes disposé en forme d'un triangle. Le courageux était surement celui qui se trouvait devant, et qui avait engager le dialogue. Les deux autres derrière n'avait encore rien dit, et ne bouger pas...
Hormis celui de droite, qui tennait le col de son costard il devais peut-être avoir un micro pour y parler dedans. Le garde de devant était énervé, tout comme LeBron. Il se regardait depuis un petit moment dans les yeux, puis le garde qui avait son colt45 en main le quittèrent des yeux, pour regarder autour de lui, puis il dit d'une voix forte mais a peux prêts normale. -

- Envoi ton arme et fait pas un coup de p*te meck ! -

- J'tais dit j'ais que d'la thunne ? Tu veux la voire bouffon !!? -

- LeBron était sur les nerfs il avanca de deux pats vers le garde qui se trouvait le plus avancer... Ils étaient assez prêt. Le garde commenca, tout comme LeBron a s'énervé. Alors il lui envoya d'un thon plus agressif. -

- Tu crois que c'est parce que tu deal sur notre parking que t'as le droit ? Pour sa tu doit payer meck... Mais la tu va banqué un max ! T'as pas le choix envoi tous que t'as ! -

- LeBron ne savait pas quoi faire... Il approcha la main de sa poche. D'un coup tout les gardes se mirent a être plus tendu et plus vigilant en tennant leur arme. Il la rentra dans la poche, mais pas celle où il y avait le gun, il sortit 3billets de 10$. Quand les gardes vurent, les billets il firent tout à coup plus détentu. Le premier garde tout en tendant le gun vers LB, tendirent sa main. LeBron s'avanca en laissant ces mains bien distingue. Il posa les billets violamanet dans sa main en gardant son regard méchant. Il lui demanda si il avait plus, LeBron fit un signe pour lui dire biensur... Donc, avec son autre main, il rentra dans une poche, celle ou son arme y était ! Il la s'aisit a la braqua sur la main tendu du garde. Il tirra ! -

- BOUM ARGGGGG -

- L'homme cria de douleur, la balle fire un trou dans la pomme de sa main. Le sang coula, les deux autres homme réagirent, ils durent se décaller, car vu qu'il était derrière en triangle, et que LB était juste devant le garde, ils auraient tirrait sur le co-équipier. LeBron tennait maintenan le garde, en l'étranglant avec son brat. Il posait son Colt45 sur la tempe du meck. Il avait un otage. L'homme supliait ces gardes de ne pas tirrer, il criait de douleur. LeBron dit. -

- Stop maintenan ! Sinon je TIRRE !!!! PAS DE COUP DE P**TEEEeee !! -

Ok la situation se compliquait pour les gardes, ce dealer de merde voulait jouer les héros et se prendre à la James Bond, il pourrait le descendre bien que leur otage les dissuada quelque peu. Le tir avait dissipé le peu de monde autour, certains s’enfuyant à grands coups. La cavalerie débarqua de nouveau, le type avait appelé tout à l’heure. La stratégie du club est bien rôdé désormais, les petits dealers, les petites merdes sont tout de suite prit en flagrant délit et surtout celui là, comble du bonheur venait de blesser un garde.

Ce fut trois hommes sobrement habillés en costume qui sortirent du club de nouveau, armes de poing en main. L’un se servait de son téléphone puis raccrocha après quelques mètres. Si les gardes ne tiraient pas, Lebron ne pouvait pas également le faire, s’il butait un de ses gardes, ils auraient les autres sur le dos, la seule issue sera la fuite et en un seul morceau, c’était pas gagné.

Les trois types arrivèrent à proximité du lieu du conflit calmement. De grands blancs, le type étranglé avait cessé de crier mais son visage laissait paraître son état d’esprit.

« Hey sale nègre ! Tu viens de faire une grosse connerie là … J’viens d’appeler les condés, ils vont venir te cueillir mais ils m’ont pas précisé si on devait te laisser en vie bâtard. »

A l’unisson, ils braquèrent leurs trois flingues se positionnant en arc de cercle autour du criminel, à cinq contre un, seul Rambo pourrait s’en sortir.

« Alors lâches mon pote, lâches ton flingue et tu te colles au bitume … »

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