Une rencontre dans le noir[PV PK]

Le soleil se couchait, laissant une lumière rose apparaitre de l'horizon. Les rues étaient presque vides, seuls petits gangsters restaient là, sois, complètement soul, sois sous l'effet des narquotiques.
Giovanni marchait, sur une rue, tout en regardant tout ces être ignobles, sals comme des porcs, faisant des choses humiliantes dans la rue, en plein public. Les immeubles entourrait la rue ou quelques voitures passaient de temps en temps.
Giovanni marchait lentement tout en observant le si beau couché de soleil, qui lui semblait formidable comparemment aux hommes et les prostitués qui se tenaient dans cette rue, en quête de riches qui leurs donneraient de l'argent ou bien qui voudraient bien coucher avec les salopes qui arpentaient les rues.
Giovanni portait une chemise rouge vin, recouvert d'une veste brune. Il portait aussi une paire de pantalon fraîchement repassé et des souliers bien cirés.
Giovanni détournait souvent son regard lorsqu'il s'approchait des gens malframes, redoutant qu'il ne s'attaque à lui. Puis, il retournait son regard vers le soleil, qui maintenant, était complètement caché par l'horizon. Puis, les ténèbres envahirent petit à petit la rue, qui était maintenant rendue, encore plus suspecte. Alors, Giovanni rebroussa chemin pour retourner chez lui. C'est alors, qu'une dame, habillée d'une courte jupe noir en cuir et d'une comisole rouge, sûrement un prostitué, traversa la rue pour s'approchée de Giovanni.

-Mon petit monsieur, désirez-vous vivre une nuit de rêve que vous pourrez vivre en ma charmante compagnie? dit-elle avec un large sourire.

-Veuillez agréer mes excuses gente dame, mais non, je ne désire pas vivre une nuit de rêve en votre compagnie!

Puis, par derrière, un jeune homme, habillé d'un chandail à capuchon, lui sauta dessus sans avertir. Puis, il assena un coup de poing au visage de Giovanni. Puis, pendant que Giovanni reprenne conscience, le jeune homme plongea sa main dans la poche de Giovanni pour y ressortir son porte-feuille.
Puis, le jeune homme partit à courir au milieu de la rue Giovanni, saignant du nez.
Giovanni se releva alors et commença à courir vers son agresseur. Mais, il ne put courir plus longtemps que trente secondes, car son âge si mur ne le lui permettait pas. Puis, il vit un homme qui marchait sur le trottoir. L'homme semblait ne pas être un drogué ou un homme de mauvaise qualité. Giovanni ésita pendant quelques secondes avant de demander de l'aide à cette personne. C'était quelque peu la honte, que de se faire voler les 500$ que contenait son porte-feuille par un homme aussi bas dans la hiérarchie. Mais bon, il n'avait pas beaucoup d'argent et il en avait besoin. Alors, il se décida.

-Attrapez-le! cria Giovanni.

Giovanni regarda l'homme, espérant qu'il fasse quelque chose.

Invité

P.K était chez lui dans ca petite maison de banlieu en train de changer les canneaux de ça petite télé qui ne marchait presque plus. Il décida donc de sortir. Mais avant, il devait prendre une douche, donc il se déshabilla tranquillement, puis une fois nu et l'eau de ca douche à la bonne chaleur, il entra dedans ca douche et commenca à ce savonné profondément pour être bien propre pour que ça peau sente bon le savon. 15 minutes plus tards, P.K termina de ce rinçé sous le jet de la douche sorti de la douche en aggrippant aussitôt une servitte pour ce sècher. Il prit 5 minutes pour ce sècher puis enroula la serviette autour de sa taille et marcha jusqu'à ça chambre avant d'ouvrire un des trois tiroirs de ça commode puis empoigna une paire de boxeur blanche Karl Kani et des bas blanc Addidas avec le logo en noir. Il ferma les rideaux de ça chambre et retira ça serviette avant d'enfiler ces boxeurs bien moulante pour plus du souplesse. Il mît ces bas et aggrippa des Jean's noire Karl Kani asser grande et lousse, style gangsta puis mît une camisole noir très serré qui moula bien son corps parfaitement sculpté. Il ce passa un peu de déo' pour éloigner les mauvaises odeurs et un peu de parfum pour la bonne odeur. Il était maintenant prêt à sortir en boîte, il était tout propre, il sentait bon, et bien habillé. Il mît ces souliers Nike Air Force blanche et sorti ces clés de ces poches pour pouvoir vérrouillé la porte de ça petite maison à clé.

Il marcha quelque minutes dans le Quartier Gangsta, où plusieurs dealeurs s'arrachent un coin de rue pour vende leur dope. P.K continua donc de marcher en regardant les putains se faire aller le cul pour se faire du fric pour vivre et faire vivre leur enfants. Une d'elle, approcha P.K qui se recula dégoûter puis continua sa roûte, la femme le traita de pédale et alla voir un autre mec sur qui elle pourrait compter pour coucher et se faire de la thune. P.K continua sa marche en penssant encore à ça soirée quand un itinérant lui accrocha la jambe lui demandant du fric.

P.K serra son poing et le leva devant l'itinérant en se prenant un élan en étirant son bras vers l'arrière puis l'homme le lâcha puis P.K continua son chemin. P.K marcha et passa devant de beaux apparte asser luxueux, il ne devait pas être très loin du Quartier où la plupart des Mafieux résident, si il n'est pas déja dedans bien entendu. P.K continua de marché, quand il entedit "Attrapez-le !" P.K ce retourna donc pour voir qui était le porteur de cette voix en détresse, puis vît un homme asser bien habillé, mal en point puis un homme courire avec son porte feuille dans les mains. Heureusement P.K avait pensé à mettre une ceinture aujourd'hui, il attacha ces basket et lui laissa quelques secondes d'avance puis ce mît à courire. Il rattrappa l'homme en moin de deux, il couru à ces côtés, puis lui dit en continuant de le suivre à ces côtés :

Salut ! volé des porte-feuille t'aime ça ?

Heureusement pour lui, P.K était rapide sur la course et le cardio, fallait remercier le Gym. Suite à cette phrase de la part de P.K, le jeune homme comprit vite qu'il ne pourrait pas résisté aussi longtemps que P.K ou même le dépasser en vitesse donc il balanca le porte-feuille en l'air, espèrant que P.K s'arrête pour l'attraper. Mais les choses ce passa autrement ; P.K accrocha le jeune homme au colet et arrêta sa course, ce qui l'étrangla et le porta au sol puis P.K attrapît le porte-feuille d'une main en souriant. Il donna donc une bonne correction au jeune adulte en lui casse le nez et en lui ouvrant le souçil droite. Il traina le jeune homme par terre et retourna voir le vieil homme en lui présentant le porte-feuille il lui dit :

Ca va aller m'ssieur ? tenez, votre porte-feuille, j'espère qu'il ne manque rien, sinon il le refrèttera.

Puis P.K attendit la réponse du vieil homme, tenant toujours le jeune voleur par terre hors d'état de nuir.

Giovanni regarda l'homme, espérant qu'il allait faire quelque chose. L'homme laissa le voleur le dépasser. Giovanni pensa à ce moment qu'il n'allait rien faire. Mais quelques secondes plus tard, l'homme commença à courir, tel un athlète dans une course olympique. Quelque temps plus tard, l'homme avait déjà rattrapé le voleur. Puis, le voleur lâcha le prote-feuille. Mais, l'homme ne s'arrêta pas là. Il attrapa le voleur, ainsi que le porte-feuille. Puis, l'homme se dirigea vers Giovanni tenant le voleur, tel l'expression ''tenir le voleur par le collet''. Puis, il remit le porte feuille à Giovanni.

-Ca va aller m'ssieur ? tenez, votre porte-feuille, j'espère qu'il ne manque rien, sinon il le regrèttera.

Giovannim ouvrit alors son porte feuille et commença à compter les billets. Le compte était bon. Puis, Giovanni remit son porte-feuille dans son pantalon.

-Le compte est bon, dit Giovanni en souriant.

Giovanni sortit alors un mouchoir en tissu de sa poche. Puis, il s'essuya le nez, prenant bien soin de tout essuyer, pour bien paraitre devant l'homme. Puis, Giovanni lança son tissu sur le sol. Il était maintenant bien trop sale pour pouvoir rester utile. Puis, Giovanni regarda son agresseur. Il portait un gillet gris complètement sale. Il était accompagné aussi d'un pantalon joging bleu. Son visage était tellement récouvert de poussièe qu'on aurait dit qu'il était de race noire. c'était une pure honte que de se faire voler par une personne si impur et non-respectable.
Quand à l'homme qui l'avait rattrapé, c'était un homme noir, qui était intensément musclé. Il portait un gillet de football et un pantalon gris.

-Giovanni Piccolo.

Giovanni lui présenta sa main pour qu'il la serre. Il le regarda, puis se rappela de quelque chose.

-Je désirais tellement prendre connaissance avec vous que j'en ai oublié de vous remercier. Donc, je vous remercie amplement pour ce geste si généreux.

Giovanni représenta sa main, espérant qu'il allait la sérer.

Invité

P.K regarda le vieil homme avec attention, il s'essuya le nez, puis jetta son mouchoir par terre. P.K n'était pas comme tout les autres Gangsters, il ne vous envoyaient pas promener parce qu'il en a envit. P.K est tout de même serviable et sympathique avec tout le monde. Il regarda le vieil homme lui parlé, et approuva de la tête. Ce dernier présenta ça main, et P.K la serra avec grand plaisir. Une bonne poigné de main d'homme, ferme et dur. P.K lui serra la main de ça main droite, donc il placa ça main gauche sur le côté extérieur du biceps de la main qu'il serrait en ce môment, ce qui voulait dire une poignée de main amicale. P.K relâcha la main de l'homme, puis avec un sourire, il lui dit quelque chose :

Au fait, P.K Strickland.

P.K pouvait s'adapté à tout les types de personnes. Les hommes rîches et classe, il pouvait bien parlé. Les femmes, il était galant et respectueux. Et avec les gangster, ces potes de la rue, il pouvait être violent, méchant, etc. P.K pouvait s'adapté à tout le monde, et c'était probablement cela qui le ferait ce rendre loin dans cette ville. Aussi car il a les muscles, mais la tête aussi pour contrôller ces muscles là. P.K lui sourit encore une fois amicalement avant de lui proposé d'aller boire un verre.

Vous désirez boire un verre en ma compagnie ? Nous pourrions discuté plus tranquillement.

P.K regarda le vieil homme avec un sourire amicaux en attendant ça réponse.

L'homme musclé lui serra vigoureusement la main, d'une poigne très puissante. Puis, l'homme se présenta, un certait dénommé P.K Strickland. Puis, il lui posa une question.

-Vous désirez boire un verre en ma compagnie ? Nous pourrions discuté plus tranquillement.

Giovanni réfléchissa un moment. C'est homme était bien différent de lui. C'était un mec de rue, un gangster très dur, qui aimait se battre, comparément à Giovanni, qui lui était toujours calme, ne se brusquait jamais, ne laissait jamais montré ses émotions, etc.
Mais il en devait bien une à cette personne qui lui avait ramené son porte-feuille. Il méritait au moins ça. De plus, cette personne semblait chaleureuse et sympatique. Peut-être pas avec tout le monde, mais c'est ce qu'il paraissait avec Giovanni.

-Avec plaisir.

Donc, Giovanni marcha avec l'autre homme jusqu'à ce qu'ils arrivent à un petit bar, bien calme.
Il y avait là, une alure sombre, la nuit était maintenant profondément tombé. Le propriétaire, qui était au bar était en train de laver les tables lorsqu'ils arrivèrent. Il n'y avait, en effet qu'une seule personne qui restait dans le bar. Cette personne avait bien l'air d'être en train de dormir. Le propriétaire, ou tout simplemenmt un homme qui travaillait là leur indiqua une table. Les deux hommes s'y assirent. Giovanni, lui commenda un scotch bien sec. P.K, lui commenda ensuite et Giovanni commença une petite discution.

-Alors, qu'est-ce que vous faisiez à vous promener dans les rues, tout alors? En tout cas, quel que soit la raison, je remercie le bon Dieu pour ça.

Giovanni lui lança un sourire chaleureux en attendant sa réponse.

Invité

P.K regarda l'homme, attendant ça réponse. Quelque fois, ces yeux ce posa sur la rue, c'est à ce môment préçis qu'il ce rendi compte qu'il avait encore el voleur à ces pieds. Il le réalisa quand ce dernier dit, "Heeu.. désolé de vous interrompe, mais j'peu y aller ?". P.K le regarda de travers, puis lui donna un coup de pied dans les côtes avant de lui dire, "Aller barre toi.". Puis il laissa filer le mec. P.K sourit quand il vît que la réponse de l'homme était positif. Les deux hommes ce mirent à marché tranquillement jusqu'au bar le plus près. Au près de 15 minutes de marche, les deux hommes arrivèrent enfin au bar de la ville, puis P.K ouvrit la porte, la retenant pour l'homme, signe de politesse. Il entra donc, suivi de Giovanni. P.K balaya la salle du regard, il ce faisait tard, il n'y avait plus personne, mis à part un ivrogne saoul sur une des tables, il dormait. Un employer désigna une table à P.K et Giovanni, les deux hommes s'assient donc à cette table. L'homme vînt donc prendre leur commande, Giovanni demanda donc un Scotch bien sec. P.K regarda à son tour le serveur et lui demanda seulement une bière, peut-être loin de l'originalité avec ça bière, mais le bon goût y était. Le serveur parti donc derrière son comptoir, et commenca à servir les hommes qui commença donc une conversation. Au bout de 2 minutes à peine, le barman revînt avec les verres en main. P.K bû donc quelque gorgé de ça bière avant de répondre à la question de Giovanni, sur un ton un peu plus rude et sec.

Veuillez, s'il vous plaits, très chèr Mr. Giovanni, ne pas me parlé de votre Dieu. Je crois que tout ce que nous accomplissons dans la vie et ce qui nous arrivent, nous arrivent seulement grâce à nous, et non grâce à notre... "Dieu". Je n'ai aucun problème contre vous, si vous vous y croyez à votre Dieu, n'y voyez pas d'offense si j'ai une opinion différente de la vôtre. Pour répondre à votre question, je marchais vers le gym pour m'entraîner comme les 5 autres jours de la semaine où j'y vais.

P.K prit une autre gorgé de ça bière avant de regardé alentour, il prit une autre gorgé et répliqua donc.

Vous faites quoi ici ? je sais très bien que ce n'est pas honnête, dû à votre habillement, votre parlé et votre ethnicité. Vous êtes de la Mafia Italienne pas vrai ? je l'ai su au premier môment où je vous ai apperçu très chèr Mr. Giovanni.

P.K regarda donc alentour rapidement et prit une gorgé de ça bière avant de s'avancé et de dire sur un ton plus bas :

Si ça vous interesses, si vous avez de la "Job Sale", désolé l'expression, à faire, je peu vous la faire, nous pourrions établir un prix ce soir, je vous laisserai mon numéro si nous venons à une entente et vous m'appellé dès que vous avez du travail pour moi. Ça vous va ?

Lui dit-il, puis attendît la réponse de vieil homme, en buvant une autre gorgé de ça bière qui était délicieuse.

P.K, lui avait commandé une bière. Puis, il prit la parole.

-Veuillez, s'il vous plaits, très chèr Mr. Giovanni, ne pas me parlé de votre Dieu. Je crois que tout ce que nous accomplissons dans la vie et ce qui nous arrivent, nous arrivent seulement grâce à nous, et non grâce à notre... "Dieu". Je n'ai aucun problème contre vous, si vous vous y croyez à votre Dieu, n'y voyez pas d'offense si j'ai une opinion différente de la vôtre. Pour répondre à votre question, je marchais vers le gym pour m'entraîner comme les 5 autres jours de la semaine où j'y vais. Vous faites quoi ici ? je sais très bien que ce n'est pas honnête, dû à votre habillement, votre parlé et votre ethnicité. Vous êtes de la Mafia Italienne pas vrai ? je l'ai su au premier môment où je vous ai apperçu très chèr Mr. Giovanni. Si ça vous interesses, si vous avez de la "Job Sale", désolé l'expression, à faire, je peu vous la faire, nous pourrions établir un prix ce soir, je vous laisserai mon numéro si nous venons à une entente et vous m'appellé dès que vous avez du travail pour moi. Ça vous va ?

Giovanni ne savait pas du tout pourquoi l'homme commença à parler de religion. Donc, Giovanni se remémorra de ce qu'il avait dit, un peu plus tôt. P.K n'avait pas du tout l,air d'aimer la religion. Mais quel que soit la religion des autres, Giovanni les respectaient. Giovanni trouvait un peu impolie de la part de l'autre de parler comme ça en dénigrant ses religions. Mais aucune émotion n'apparu sur le visage de Giovanni non aucune. Giovanni continua alors à l'écouter, tout en prenant une ou deux gorgées de son scotch.
Puis, l'homme parla de job sale, Giovanni ne savait pas trop de quoi il voulait parler, peut-être d'assassina, de drogue ou d'autres trucs comme ça. Giovanni réfléchissa à ça pendant quelques secondes. N'étant pas trop sûr, Giovanni lui posa la question.

-Que vouliez-vous dire par job sale?

Giovanni prit une autre gorgée de son scotch, qui était maintenant à moitié vide. Mais, avant même que P.K ne réponde à sa question, Giovanni dit un autre commentaire.

-Écoutez, si vous ne croyez pas en Dieu, alors, ça ne changera rien de ma vie... Peut-être de la votre, ou peut-être pas, mais je respecte en quoi vous croyez, donc ne commensons pas les ostilité à cause de des raisons aussi médiocres. Quand j'ai dit, je remercie le bon Dieu, je disais ça en expression. Donc, passons à autre chose voulez-vous?

Giovanni prit une autre gorgée tout en regardant P.K, attendant sa réponse.

Invité

P.K regarda un peu alentour, l'homme saoul ce fît réveillé, un peu de mauvaise humeur, il ce mît à bardasser quelques objets appartenant au bar. Le barman, un homme asser petit et gros, tenta de sortir l'homme qui le repoussa par terre. Le barman regarda donc en direction des deux hommes, puis demanda de l'aide.

Quelqu'un pourrait m'aider à le sortir s'il vous plaits ?

P.K jetta donc un regard à Giovanni, puis lui fît un signe d'attendre quelques instants. P.K ce leva donc et marcha vers l'ivrogne qui se débattait. P.K lui aggrippa le colet d'une main, et le poignet de l'autre de le tira avec lui jusqu'à la porte. En l'aggrippant, P.K lui dit :

Aller ! la fête est terminé pour toi.

P.K s'avanca jusqu'à la porte qui était retenu ouvert par le barman, puis lanca l'ivrogne en dehors et bar. Il lui dit donc, une fois par terre :

Vas foutre la merde ailleur maintenant.

Puis P.K fît un 180 degrés puis marcha vers la table pour rejoindre Giovanni pour continué leur discussion quand le barman dit à P.K :

Merci jeune homme, vous êtes très serviable. Je n'y aurais pas arrivé seul.

P.K tourna la tête en sa direction puis lui fît un signe de la tête, voulant dire, "Il n'y a pas d'quoi" et lui dit avant de s'asseoire :

Aucun problème Monssieur.

Lui dit-t'il en lui faisant un petit clin d'oeil avant de s'asseoire. Il regarda donc Giovanni avant de mettre ces coudes sur la table et de joindre ces mains ensembles et lui dit :

Bon, nous disions ? ah oui ! et bien, j'entend comme job sale, meurtre, vol, pilliage, rackettage, vente de drogue, réclamation d'argent, menace etc etc.

P.K le regarda avec un petit sourire malicieux avant de lui faire un petit clin d'oeil tout aussi malicieux. Il attendît donc ça réponse, avant de ce souvenir de son autre afirmation au paravant, auprès de Dieu.

Oh non très chèr Mr. Giovanni, ça ne change rien n'à ma vie, écoutez, n'en parlons plus, c'est un sujet beaucoup trop sensible pour ouvrire un sujet sur cela.

P.K attendit donc les réponse du vieil homme avec impatience.

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