Légende :
Action
Parôle de Craig
Parôle de Johnny
Vendredi, 14 Juillet 2008, 23 : 18 PM.
Une soirée très sombre comme je les aiment. Une grande tache noire d'ancre venait recouvrire le ciel. Je me promène dans la ville, je suis dans le quartier Européen, celui des Italiens plus préçisément. Johnny me suivait, comme toujours. Fidèle ami imaginaire qui n'est jamais parti. Depuis toujours, il guidait mes pas dans le bon chemain, m'évitant la chute à plusieurs reprises. Dans mon froc, j'ai mon Colt 45 bien inseré entre ma ceinture et mon pantalon jean, prêt à être déguainé à tout moment. Je passa sous un lampadaire qui m'éclairait en orange. Sous ce lampadaire, on pouvait voir comment je suis habillé.
Un T-shirt gris, simple, avec un petit design banale dessus. Des jeans asser moulante, mais avec un peu de lousse. Je chaussais des souliers de cuirs noir, bien attaché, ne m'empêchant pas de courrir si le besoin vînt à venir. Suivi sur le dessus comme toujours, par mon fidèle chapeau, ma marque de commerce. Je continue donc de marcher, parlant en même temps à Johnny qui me pose quelques questions.
Alors Craig, tu compte faire le contrat que le gars t'as demandé ?
Effectivement, j'ai reçu un contrat d'un rîche Italien il n'y a pas longtemps. Un coup de téléphone inconnu, une voix grave m'a donné une adresse et une journée préçice pour exécuter le travail. Cette journée, c'était, aujourd'hui. Cet homme, m'a aussi donné un point de rendez-vous à 2 : 00 du matin après mon meurtre de ce soir. Il m'a dit que si le travail était bien fait et que je ne laissais aucune preuve derrière moi, il me payerait grâcement et qu'il n'aurait pas peur de rajouté des bonis. L'homme que je devrai assasiné, était le capo' de la mafia italienne, et mon employeur ne voulait pas qu'il monte plus haut, car il était très prometteur ce gars.
Naturellement, je n'étais pas très connu, j'étais un très bon assasin, mais personne ne me connaissait encore donc je ne tuerai pas des Dons en commencant, je devrai faire comme tout le monde, et grimpé les échellons. Un peu comme l'homme que j'assasinerai tout taleur, sauf que moi, je devrai être plus alerte que lui pour ne pas finir comme lui d'ici maximum une heure, mort. Suite à un petit moment de silence et de réflection, je répondis à Johnny qui attendait toujours ma réponse.
Oui, Johnny, je vais le faire son contrat, c'est mon boulot.
Il sourit puis j'entra dans un night club. Quelques filles viennent me voir, mais je les regardas à peine et je me dirigea vers les toilettes, Johnny me suivant. J'avais sur une épaule, un sac à dos très solide et bien remplit. Presque personne n'était dans les toilettes, je regardas les cabines, au dessus de la dernière au fond, contre le mur, ce trouvait une fenêtre juste un peu plus haut que la toilette, j'entras donc dans cette cabine. J'embarque sur le bol de toilette, et j'ouvris la fenêtre, faisant en semblant que mon petit popo puait énormément.
On entendit un bruit de zip, c'était celui de mon pantalon. Je l'enleva puis un autre bruit de zip ce fît entendre, celui de mon sac à dos. J'en sortis une paire de pantalon noir de jogging, que j'enfila. J'enleva par la suite, mon T-shirt et je mît un chandail à manche longue, noir. Je mît mon chandail et mes jeans dans mon sac à dos et je sortis ma cagoule. Je l'enfilla, avant de la mettre, j'ouvris la porte de mon cabinet pour vérifier que personne ne me regardait me changer, je referma la porte une fois que je vis que tout le monde était dans le club et je mîs ma cagoule. Histoire de ne pas me faire reconnaître d'un poile, je sortis de mon sac, des lantilles de couleurs bleu, pour cacher mes yeux bruns, seul truc de reconnaissable sur moi avec cette cagoule sur la tête, je finis de m'habiller en mettant des gants pour éviter les ampruntes digitales.
Je sortis donc par la fenêtre, une fois que j'ai eu finis de m'habiller. Je me rendis à la petite maison de l'homme en question, il était 23 : 33. Je fîs le tour de la petite maison de l'homme et j'arriva devant une porte "moustiquaire" barré, pas très brillant. Bien que c'était l'été et qu'il faisait chaud, ce n'était pas très prudent de laissant qu'une porte de moustiquaire barré. J'allais la défoncé, mais je me ravisa, pensant que ça ferait beaucoup trop de bruit. Sur mon chemain, j'ai vu une fenêtre brisée, je fîs donc demi-tour et je pris un morceau. Je retourna devant la porte et je découpa tranquillement un immense trou grâce à mon morceau de vitre, et j'ouvris mon sac à dos doucement avant d'entré. Je pris deux sacs de plastic et j'entra mes pieds dedans.
Je les entouras de papier collant contre mon joggins noir, j'ai marcher dans de la boue tout à l'heure, les traces de pas aurait été une erreur monumentale pour moi, grâce au trace de boue, la grandeur de mes pieds était dévoillé, une preuve de plus contre moi. Heureusement, je m'étais renseigné sur lui avant de faire la mission et il n'a aucun enfant, aucune femme et aucun animale, je n'ai donc qu'à entré et faire mon boulot. Je marcha tranquillement sur le placher de tapis, évitant les craquements comme sur un plancher de bois franc. J'entra dans la chambre, il dormait comme un bébé à poing fermé. Je vînt pour sortir mon Colt 45, mais le bruit aurait été terrible et aurait avertit tout le voisinage. Je décida donc d'attendre qu'il ce retourne sur le ventre, car il était sur le dos là.
Quelques secondes plus tard, ma cible ce retourna sur le ventre, me laissant la voie libre pour le tuer. Je m'approcha donc du lit, pensant à la série de mouvement que je devrai exécuté, dans ma tête. C'est à ce moment précis que je bondis sur le lit tel un singe sur une banane, mes jambe de chaque côté de son corps, je placa aussitôt ma main droite sur sa bouche et je passa mon bras gauche contre sa gorge. Je me coucha à plat ventre sur lui, mon poid l'immobilisait. Quelque petit bruit étouffé ce fît entendre, mais rien de très fort, rien pour alerté le voisinage et de plus, ca voisine est une vieille dame sourde donc j'étais sur qu'elle n'entenderait rien. Avec ma main qui était sur sa bouche, je boucha aussi son nez, bloquant toute les espaces d'airs possible. L'homme se débatta brusquement, mais je sû le retenir grâce à ma force impressionnante.
Après quelques miutes, il cessa de bouger, son poux ne se faisait plus sentir, je le relâcha donc. Je reparti, aussi vite que je suis entré, et aussi discrèt, le laissant dans son lit, sans vie. Mon contrat était remplit, restait plus qu'à aller récolté l'argent. Avant de partir, j'ai pris son porte-feuille comme preuve de son assasinat. J'alla me changer dans une ruelle sombre, très peu passante puis je remît mes vêtements normal, enlevant aussi mes gants, plastique sur mes souliers et mes verres de contact bleu. Après tout ceci, il était 1 : 49 AM.
Je me rendis donc au point de rendez-vous, je vis un gros monsieur près d'une limousine avec une valise à la main. Je lui présenta la preuve, en lui donnant son porte-feuille avec toute ces cartes d'identitées. Il me donna donc la valise, nous nous serrons la main et je repartis avec la valise qui contenait un montant de ..
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Mar 15 Juil - 1:02
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