Retour aux sources (pv)

Alors que la nuit tombais sur Krandras, et que les rues se vidais des gens honnêtes pour laisser place aux dealeurs et aux prostituées, une ombre fit son apparition aux alentours du territoire latino, une ombre qui connaissait bien les lieux, puisqu'il s'agissait d'Aeron, le jeune Latino blanc qui avais étais arrêter quelques années auparavant dans se quartier pour vol de voiture. Il venait de sortir de prisons, et semble complètement désaxé de revoir le quartier qu'il avais côtoyer depuis son enfance.

Le jeune homme s'engouffra dans une ruelle, qui menais logiquement jusqu'au vieux garage de Rodriguo, son mentor, qui l'accueillerais certainement a bras ouvert, après une telle absence, en route il croisa quelques gangsta, qui lui jetèrent des regard froid, il étais normal que ses jeunes gens se méfie de la venu d'un étranger sur leur territoire! Et Aeron sentais les ennuies arriver!

Arriver au bout de la rue, le jeune homme pu constater avec regret que le garage de son vieille ami rodriguo étais abandonner, soupirant une fois par dégoût, le jeune homme fit demi tour pour retourner d'où il venais, sa marche lacé, le mena a nouveau jusqu'aux ganstas, cette fois l'un d'eux prit la parole:

-T'es qui toi?

Aeron ne broncha pas, continuant de poursuivre son chemin, il bouscula légèrement le gangstas et continua sa route, bien entendu, le gangsta n'en resterais pas la, et l'affrontement serais inévitable!

-Je te parle blanc bec

Agacé par la situation, le jeune homme se retourna violemment pour faire face au latino, son regard de braise se plaça dans celui du jeune gangstas, et Aeron prit enfin la parole

-Écoute petit, j'arpentais ses rues alors que t'as mère te donnais le sein, je suis peut étre blanc, mais dans l'âme, je suis plus latino que n'importe lequel d'entre vous ...

Il stoppa net son discours pour placer son regard sur l'arme que le jeune homme portais a la ceinture, c'était pas un petit gangster, et il fallait croire qu'Aeron aurais du se taire, puisque le jeune homme semblais assez vexer des parole du petit Sanchez! Aeron recula de quelques pas avant que le jeune homme ne se décide a sortir son arme, pour la pointer vers l'ex taulard!

-C'est pour ça que j'ai acheter se bijoux, avec ça je peux buter tous les gars comme toi qui zone sur notre territoire!

Lui répondit le jeune homme avant de s'avancer vers le jeune homme, arme en avant!

Invité

J'étais dans le quartier Latino, marchant tranquillement, admirant les jolies latinas qui ce faisait aller le derrière dans les clubs latninos pour ce faire du fric. Ou bien regardant les petits dealeur tenter de vendre leur cams à des interessers ou bien à des gens qui n'y conaissent rien pour tenter de faire un énorme profit.

Les latinas, il n'y a pas de plus belles créations de dieu sur cette terre. Leur lèvres très prononcé et pulpeule suivit de leur derrière si bombé, vous faisait en rêver pendant des lunes. C'est alors que je passais dans l'un des secteurs le plus difficiles de ce quartier. Des appartements délâbrés avec des gens sales, maigres et malhabillé, y résident. Au loin, je vois un blanc passer entre 3 latinos, 3 latinos que je connais plutôt bien, surtout un. Frederico, une petite frappe pas trop promettante mais il avait un certain problème mental, il ne fallait pas trop le provoquer ce gars, surtout si vous n'êtes pas trop connu dans le coin. Je me suis donc rapprocher d'eux, le blanc a donc re-passer entre les trois Latinos, Frederico a donc prit la parôle. Le blanc ne répondit pas, mais Frederico ce mît au travers de ça roûte, obligeant le blanc à parler, ce qu'il fît.

Il remit Frederico à ça place, ce que presque personne n'avait osé faire jusque ici, et je parle des personnes non-connu ici biensûr. L'homme a aussi dit qu'il était un Latino aussi, même si il était blanc de peau. Frederico sorti son arme, l'appellant son bijoux et en lui disant qu'il était prêt à s'en servir, c'est donc à ce moment que je me dépêchais. Heureusement, mon appartement était très proche et avec ma grande rapidité, je m'y rendîs en un moin de temps et je suis revenu quelque seconde plus tard, rien ou presque n'avait bougé. J'avais pris mon P90 et mon Spas 12. Je me mîs donc devant l'homme blanc puis je pointais mes deux armes sur Frederico en prennant la parôle d'un ton grave et bas, plutôt très calme comme d'habitude.

« "Et toi, tu préfère le quel de mes bijoux pour que j'te fasse un deuxième trou du cul ? Mais enfin Frederico, fait pas l'con, tu sais très bien ce qu'est la règle dans l'quartier, on ne bute aucun frère, peut importe ça couleur. J'suis black moi, tu ne m'as pourtant jamais tiré. Maintenant, rentre chez toi avec tes potes, ou sinon Alexandro le saura à son retour de taule." »

Alexandro, c'était mon ancien employeur et ancien bien placé dans la hiérarchie des Latinos. Frederico et ces amis nous fîrent donc dos pour ensuite rentré chez eux, un peu frustré de la situation. Je repris donc la parôle, rangeant mes armes et faisant face à l'homme devant moi.

« "Davis Domminguez, mais appelle moi DD. Et toi, quel est ton nom amigo ?" »

Aeron fut surpris de voir un black s'interposer entre le prenommer Frederico et lui, en plein quartier latino! Il fallais croire que tout avais changer, et que le quartier était devenu un squatte pour Afro-Americain, c'était certainement le trafique de canabis qui avais provoquer ca, puis la metanphetamine et l'heroine finirais ce qu'aurais entamer la cocaine. Mais c'était impossible, Aeron ne laisserai pas faire, il si il le pouvais, il finirais par fournir un travail legal a tous ses jeunes latino sans avenir!

Mais ce fut tous le contraire de ce que venais de s'imaginer Aeron, c'était en fait lui aussi un latino, ce qui changeais tous, Aeron pouvais accepter de se faire sauver la mise alors qu'il venais d'arriver en ville! Le jeune homme s'adressa a Frederico pour lui enoncer l'une des régles la plus importante du quartier. "Ne jamais tirer sur un frére". Alors il fallais croire que non, les Latino étais encore debout, même pendant son sejour en prison, rien n'avais changer.
La prison, la personne qui c'était interposer avais fini par en parler, en menancant le jeune frederico, de dire ca a alexandro dés son retour de prison, Alexandro devais donc certainement étre un homme de respect, trés bien si ce jeune black conaissais bien la hierarchi, alors tous se passerais pour le mieux!

Une fois, la bande de petite frappe aprtit, l'autre latino, rangea ses armes pour prendre la parole, en s'adressant a lui cette fois! Aeron lui tendit la main avec beaucoup de respect, en le regardant droit dans les yeux, pour lui dire!

-Merci amigo, j'ai cru que le quartier Latino avais changer pendant quelques instant ... Aeron, je m'apelle Aeron Sanchez, ravi de te rencontrer DD.

Aeron avais la politesse d'un diplomate, il savais aprler aux gens, et c'est ce qui ferai de lui un grand dans le trafique de voiture, il saurais se faire des amis, et trouver les gens qui lui ofrirais des chances pour implanter dans se quartier, un trafique organiser, afin d'exploiter le potentiel de tous ses fréres. Aeron laissa comme un vrai diplomate, la parole a DD.

Invité

Nous nous serrons la main, enfin quelqu'un qui avait une bonne poignée de main franche comme la mienne. Ça fiaisait à peine 5 à 10 minutes que je le connaissais et que je l'écoutais parlé, et que je savais que nous étions du même moule. Nous parlions très bien tout les deux, nous avions de très bonnes manières, mais il ne fallait pas nous chercher.

« "T'es blanc, j'suis black, à deux, on fait la couleure d'un vrai Latino " »

Deux rires asser timide ce faisait entendre. Je regardais Aeron, il devait être américain ou bien brésillien-blanc. Au loin, je voyais deux motards qui tentaient de violer une femme, sur notre territoire ! Ils devaient être fou pour ce pointé sur notre territoire ainsi et qu'à deux. Ces motards, c'était mes préférés, de gros 'punching bag'. Tellement gros et lent et tellement plaisant à tapper en pleine poire, ils sont tellement gras que tu ne sens rien mais eux, ils ressentent tout. Ils nous voyèrent, puis nous foncaient dessus. Ils n'était pas armer, si ce n'était que de la barre de fer qu'un tenait et la planche de bois de l'autre. Je déposais donc mes armes par terre, engageant le combat loyal et à main nu. Un large sourrire sur mon visage, j'ai toujours adoré la bagarre.

« "Encore ces tarés de Motards ?!? OUAAIIS !!! " »

Puis une fois à porté, je décochais une droite au menton du Hell's qui était un peut sonné, mais rien d'asser puissant pour l'arrêter de fonctionner. Je le fîs basculer par dessus mon dos en le laissant foncé sur moi. Un motard sur le dos au sol, on allait maintenant voir ce qu'Aeron vallait au corps à corps, ce n'était qu'une question de temps avant que l'autre Hell's ce relève.

Alors que DD venais de faire une blague assez marante sur leur couleur de peau, le deux jeunes hommes joinrent leur rire comme ci il en étais fait exprès, un crie se fient entendre, une jeune fille au bout de la ruelle, manquais de se faire violer par deux hellriders! Ou étais passer Frederico et sa bande? ils étaient prêt a agresser n'importe qui en pleine rue, mais pas a défendre une soeur? Triste sort pour le quartier latino, qui n'étais donc que la proie de se clan Neo Nazis, qui venais a leur guisent agresser et violer dans les rues Porto-Ricaine.

DD réagit alors de façons bizarre a la situation, puisqu'il parait, sur le moment assez content de ce qui se passe, comme ci il fallait attendre leur venue pour se battre. A l'entrer d'Aeron en prison, le quartier était un lieux de respect, et les groupe Neo Nazis n'osais même pas mettre les pied ici, les jeunes respectais les anciens, et les frère ne pointais jamais d'arme sur un autre de ses frère, mais il fallait croire que la violence était a son apogée, dans le quartier même ou Aeron avais grandis.

Le premier motard arrive et se prend une dérouiller par DD, alors que le second, s'avança vers Aeron pour le frapper avec une barre de fer, prit de folie, le jeune latino, stoppa le second coup de barre de fer de l'autre main, pour pouvoir assener, de toutes ses forces, un coup de tète au vieux motard barbue!

Plus loin, la porto ricaine ramassa ses affaires, que les neo nazis avais déchiré. Fou de rage, Aeron continuais de frapper le gros tas, qui c'était désormais mit a terre, sûrement affaiblie par sa blessure au nez! Le jeune ne faisais pas que de frapper l'ennemie qui gisais désormais sur le sol, mais il l'insultais aussi, et se mettais maintenant a lui cracher dessus!

-On as jamais oser faire ça, bande de porcs, ne vous approchez plus de nos femme!

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