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 Le Retour du Major....

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Stavro S
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MessageSujet: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeVen 2 Nov - 2:36

Mon corps se convulse dans tous les sens, j'ai mal, je brûle, j'arrache les touffes d'herbes à pleines poignées tellement c'est douloureux, je sens un tremblement dans mon ventre, et je vomis d'une intensité terrible tout ce qui occupait mon ventre...

Essoufflé, je m'allonge par terre et respire tranquillement...
Je ne suis pas mort....
Je me rapproche du frigo, et me prend une bière que je bois à la bouteille. Affalé sur le canapé, je me rends compte de la putain de chance que j'ai eue.

Ca m'a ouvert les yeux, je vais repartir du bon pied, un nouveau départ s'offre à moi, fini les plans foireux.
Un bruit de verre cassé se fait entendre, un chat? Des ombres humaines font leur approche dans la baraque, des russes? Je fouille dans la cuisine et trouve un couteau de boucher... Et j'attends patiemment dans un des cotés de la cuisine, un premier homme s'offre à moi, ma lame le pénètre dans le bas du dos, il souffre en silence. Je traîne son corps dans un coin et prend son arme : Colt.45 avec un silencieux.

Des mercenaires? Beaucoup de monde m'en veut mais seul ceux qu'ont des couilles viendront s'attaquer à moi. Je fouille les poches du défunt : Clé de voiture, une capote encore dans son emballage, et un téléphone. Je prends que le nécessaire, clé de bagnole et téléphone, et cramponne l'arme.

Avec le Colt, ce ne sera qu'une question de temps, je suis très habile avec les armes à feux, et manque de pot pour eux, je pète la forme.
J'accoure dans ma chambre et enfile mon jean, mon porte-feuille, et mes papiers, discrètement je retourne dans la cuisine et aperçoit trois lascars dans le jardin, avec un simple Colt je ne pourrais rien faire contre leurs MP5, je vais user de la ruse, j'ouvre le four, et arrache les conduits de gaz, je mets un vieux journal dans le grille-pain, et sort discrètement de la baraque.

Le piège est très simple : Le gaz libéré dans toute la maison entraînera une déflagration importante dû au journal brûlé par le grille-pain.
Je monte dans la Mercedes, avant même qu'ils comprennent que je les ai roulés, la maison explose, les vitres s’éclatent et les planches de bois volent en éclats.

J’ai le palpitant qui s’affole, relax Stavro, ça te ressemble pas, une clope ça va te faire du bien…
Je fume une Marlboro, ça fait du bien, ça me calme, il faut que je réfléchisse, que je me concentre, trop de trucs s ‘embrouillent dans ma tête… Merde….

Je me gare dans une petite ruelle pas loin du centre-ville, réfléchis connard, tu t’es pointé en Russie avec la ferme intention de te dessouder, t’as essayé mais ça n’a pas marché, trop de poisons ont entraîné un rejet de ton organisme qui t’ont poussé a recracher le poison, bravo connard, même pas capable de mourir, maintenant tu vas faire quoi ? Retourner là-bas comme si de rien n’était ? T’auras tous les chiens russes à tes trousses…
Retape-toi la face, commence une nouvelle vie, de nouveaux papiers, et fuit avec la femme que t’aime.
Qu’est-ce que ?
Le tonnerre de Zeus s’abat sur mon crane, un coup sourd et brut, l’enculé je ne l’ai même pas entendu arriver, quand je reprends mes esprit j’aperçois la vitre coté conducteur brisée, et un gros bison accompagné d’un homme plus mince et plus petit que lui à ses cotés, j’ai pas le temps de comprendre ce qui m’arrive qu’une décharge part de mon avant-bras pour explorer toutes les parties restantes de mon corps, je tiens pas le coup. Trou noir.

Je me réveille en caleçon, enchaîné a une chaise, un homme en costume m’observe, la soixantaine, avec un air de rongeur…
Il me parle en russe, j’ai du mal à me concentrer, je suis sonné. Il claque des doigts, un seau d’eau glacée est balancé, et je suis réveillé.
Je l’écoute :

-Un très bon ami américain, Helvitch, veut te revoir, je ne pense pas qu’il soit très content mais on nous a demandés de te servir sur un plateau….


Il esquisse un sourire, il reclaque des doigts et cette fois ils m’habillent, mes affaires c’est un des gorilles qui les a, celui au lunettes a la monture dorée.
Ils me mettent un bandeau sur les yeux et me transportent a travers la ville jusqu'à arriver sur une piste de décollage, on embarque sur un jet privé et on m’attache sur la chaise. Le voyage sera long, je ne dors pas j’étudie toutes les possibilités qui s’offrent à moi, rapidement une solution se crée :

Avec ma main libre, j’arrache le stylo de la poche du garde a coté de moi et le casse pour pouvoir m’enlever les menottes.
Je m’y exécute tout en finesse mais un léger tremblement fait que je rate mon coup, le garde a tout capté, faudra improviser : J’arrache le stylo et le plante dans sa gorge a plusieurs reprises, il commence a pousser des cris aigus, j’attrape sa tête et l’éclate contre la mini table en face de lui, il est HS. Je fouille dans ses poches et trouve une petite clé, je tâtonne et réussi a trouver le trou, j’ouvre mes menottes et mon avant-bras goûte au sabre d’un des sbires, je saute sur lui et le désarme avec une prise de Close Quarter Combat, et lui brise la nuque, c’était rapide et sans bavures, faudrait que je m’applique a avoir un peu plus de distinction dans mes meurtres et arrêter de faire un carnage avec les corps de mes victimes…

Il en reste un dernier… Un Tazer à la main, j’attrape un verre d’eau sur le bord de la table et le balance sur le chien de chasse, l’effet est imminent… Il ne reste plus que les pilotes… Le co-pilote sort, je brandis le couteau sous son nez, apeuré il retourne à sa cabine.
Je les surveille jusque l’arrivée, à la sortie je n’oublie pas de récupérer mes papiers et foncer dans la ville nommée Karandras. Evidemment, il y avait un petit comité d’accueil mais je les évite intelligemment en empruntant plusieurs réseaux de transports en commun…
Le car s’arrête dans un petit quartier que je ne connais que trop bien… Le quartier Russe…
Je marche tranquillement, les gens me regardent comme si j’étais un mort-vivant, un gosse qui vient a peine d’entrer dans la mafia m’attrape par le bras et me tire dans une petite ruelle :

-Qui t’es toi ?


-Je m’appelle Tony, je vous déconseille d’aller la-dedans, Serge veut votre mort.

-C’est pour ça que je vais le voir, je veux régler cette histoire au plus vite.


-Tenez. Prenez ça.

Il me tend un Colt Python

-Pourquoi ?


-Vous avez vengé mon père, c’était….

-Sammy Kavalesva ! T’as la même gueule que ton père…. Merci, et prends soin de toi.


Je marche en direction du complexe et y pénètre, une armée de quinze hommes se pointent armés de Uzi et autres fusils d’assauts :

-Bravo, bravo je vois qu’une jolie armée s’est formée depuis mon départ.. J’étais comme vous au début, et après j’ai grimpé les échelons, parce-que moi, j’ai fait des trucs inimaginables… Demandez au boss, votre boss…. Maintenant, moi je veux aspirer à la tranquillité, j’en ai marre de cette vie de gangster, le sang a beaucoup trop coulé… Maintenant sois vous me laissez partir et c’est cool, sois vous me butez, alors faites le vite.


Je les fixe, ils baissent leurs armes, un des soldats crient : vas-y !
Je grimpe les étages pour arriver au bureau, il est là, il m’attendait on dirait, je l’aperçois de dos, sur sa chaise, avec prudence je sors mon couteau et m’approche du corps inerte, je retourne la chaise et m’aperçoit que ce n’est qu’un mannequin avec un bip et une lumière inquiétante qui résonnent en face de moi, je met trop de temps a comprendre, le mécanisme de destruction se met en marche, peu de temps pour s’en tirer sans égratignure, beaucoup d’obstination pour organiser une survie et une mort masquée.
L’explosion me projette hors de la pièce, c’est à dire par la fenêtre, quelques débris incrustés dans la peau, une contusion au niveau de l’arcade, un mal de dos brutal. J’accoure vers un morceau de Centre Ville.

Deux pièces volent dans la cabine téléphonique, je compose le numéro machinalement, celui de Liz :

-C’est Stavro, bouge pas de chez toi, j’arrive…


Je raccroche et prends un taxi, pressant avec ma paume mon arcade qui saigne.

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Liz Parker
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeVen 2 Nov - 16:14

Allez vous faire voir!

L'italienne avait raccroché brutalement son téléphone, le jetant de l'autre coté de la pièce. C'était encore un numéro inconnu, une proposition de meurtre. Il fallait vraiment qu'elle change de numéro, depuis la mort d'Alex et de son ami Brian, la jeune femme avait coupé les ponts avec ces appels, ces meurtres et tout ce qui demandait une arme. Liz voulait devenir une femme à part entier. Enfin elle essayait de l'être, mais combien de gens l'a regardé avec un petit sourire, ou même jeté un bref coup d'oeil vers elle quand elle sortait. Comme s'il savait qui elle était, la mante religieuse. C'est une histoire a devenir parano.

Soufflant un coup, elle ferma les yeux, s'étirant pour se détendre. Mais rien à faire, elle ne voulait pas sortir à cause de ce poids qu'elle sentait à chaque secondes, toutes ses morts qui, on aurait dit, été marqué sur son front. Voyant son chien réclamant des caresses, elle s'approcha de lui et lui gratouilla sous les oreilles. Liz regardait la porte de sa chambre qui était entre ouverte, sous son lit et sur l'accumulation de poussière, il y avait une boite. Elle savait ce qu'il y avait à l'intérieur. Un objet qui l'amenait à chaque fois à penser à un homme auquel elle n'avait plus de nouvelle depuis quelques temps déjà. S'approcha à genoux, elle l'ouvrit et retrouva l'ensemble rouge foncé qu'elle avait mis pour une mission. Souriant se remémorant quelques moments, des phrases qu'il lui avait dit, elle se leva rapidement et partit prendre un manteau. Ce manteau noir en cuir qui lui allait trop grand, qui avait son odeur. L'enfilant, elle se coucha sur son lit se blottissant à l'intérieur, s'enroulant sur elle-même, fermant les yeux, se souvenant comme il était parti, tout ce qu'il lui était arrivée depuis qu'elle était arrivée à Karandras, Marshall, Stavro, Alex ... Elle en avait fait un bout de chemin ...

Silver poussa la porte du bout de son nez et se coucha près de sa maîtresse qui somnolait . Sa journée fut celle d'une femme qui n'avait plus rien à faire chez elle, s'était le bordel, il n'y avait plus rien dans le frigo, enfin juste de quoi terminer la semaine. Cela faisait une heure qu'elle était restée à l 'état de foetus, son ensemble rouge étendu sur le sol, la lumière tamisée du petit salon éclairant son fauteuil ... Quand soudainement son téléphone se mit à sonner bruyamment. Se levant difficilement, elle prit son téléphone violemment et regarda le numéro, un numéro de cabine... Répondant la voix vaseuse. Pendant que c'était encore un de ses hommes elle était prête à hurler au téléphone et de le couper.

Allô...

Elle ne put rien dire, les quelques mots de Stavro l'avait coupé de toute parole. Il avait refait surface... Il avait refait surface! Ces dernières paroles l'avaient rendus malade, pendant plusieurs semaines. Elle avait encore la chaîne en or qu'il lui avait donné, la serrant d'une main, elle fixait la porte d'entrée, là où il lui avait dit ses quelques mots qui était gravé dans sa mémoire ''Je vais te faire une révélation, depuis que je t'ai serrer dans les bras en face de l'entrepôt j'ai su que tu serais la femme de ma vie, malheureusement tu me seras inaccessible vu que ton bien-aimé est un certain Marshall Nillers, on projette même un mariage de vous deux... Je sais qu'on n'a pas les mêmes sentiments l'un envers l'autre mais moi je t'aime et c'est toi que je veux comme mère de mes enfants, mais comme c'est impossible, ça me ferait trop mal de te revoir, alors je te fais mes adieux... Au fait : garde ma veste..." (vive le copié collé). Ces paroles avaient là pendant tout ce temps dans sa tête, elle ne savait plus comment réagir. Marshall était partis et elle n'avait plus eu de nouvelle, elle ne savait pas qui elle aimait, elle était perdue... Des histoires d'amours torturée, c'était donc ça la vie normal! Ne valait-il mieux pas tout laissé tomber de se coté et reprendre du service, et les journaux marquerais : la mante religieuse est de retour! Non ça ne le ferait pas...

Jetant son téléphone sur le canapé, elle marcha comme pour se dégourdir les jambes, que lui était-il arrivé? Rien de grave? Tout tourné dans sa tête... Liz avait peur, peur parce qu'elle savait qu'a chaque fois qu'elle se retrouvait face à lui, elle se sentait faible, elle n'était plus cette personne qu'elle montrait aux yeux du monde. Si fragile quand elle était dans ces bras mais en sécurité. Au bout d'un petit quart d'heure, on frappa à sa porte, courant vers la porte, elle l'ouvrit et vit cet homme blessé sur le seuil de sa porte, Son visage était ensanglanté, surprise de son état, elle ne put s'empêcher de sourire comme une enfant. La jeune femme se jeta sur lui manquant de les faire chanceler.

Stavro! murmura-t-elle, le serrant de toute ses forces. Où étais-tu? Qu'est-ce qui t'es arrivé? Comment tu... tu t'es fait ça?

Le lâchant, elle l'attrapa par son T-shirt et le fit rentré rapidement, regardant de tout les cotés s'il n'y avait personne qui les avait vu. Claquant la porte, elle ne lui laissa pas une seconde de répit. Le serrant à nouveau, peut être trop par surprise au gout du russe, elle ne put s'empêcher de l'embrasser, puis l'enlaçant, elle murmura un petit

Tu m'as manqué Stavro...

Quelle idiote, l'italienne ne savait pas pourquoi elle avait fait ça. Tout s'était passé en quelques secondes, elle prit le visage du bel homme entre ses mains qui furent teinté de rouge, le regardant dans les yeux, aux bords des larmes tellement elle était heureuse de le retrouver, peut être pas en excellente santé mais vivant.

Assieds toi, je vais m'occuper de toi...

Liz n'était pas une excellente infirmière mais il fallait le soigné. L'alcool nettoiera la plaie. C'était un russe, il avait l'habitude de ce qui était fort ...

[une jeune fille bine cucu, comme je les aime xD]
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Stavro S
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeVen 2 Nov - 20:21

Le taxi m'avait laissé seul devant un immense immeuble, celui de Liz... Liz... La seule femme que j'ai jamais aimée, j'avais peut-être déclarée ma flemme trop tôt, elle devait se marier avec l'autre, Monsieur Le Maire aussi corrompu qu'un Black Tigerz...

J'avais la haine quand j'ai entendu parler de leurs mariage, ça se trouve quand je vais me pointer chez elle il y aura une tripotée de métissés, la Russie m'avait refroidie, j'avais un sentiment d'affection pour Liz, pas pour une femme mais pour une amie, une petite soeur.

C'est devenu la seule personne en qui je puisse avoir confiance maintenant, fini les amis, les collègues et les copines, je vis dans l'ombre à partir d'aujourd'hui, je me retaperais la façe, nouveaux papiers, nouvelle identité.

Je monte les longs escaliers, je commence à avoir la tête qui tourne, j'ai le tournis, le sang coule de plus en plus, le chauffeur de taxi a bien voulu m'emmener à l'hopital mais j'ai refusé, il ne faut plus aucune preuve sur mon existence.

Je toque, je vois la belle brune m'ouvrir, elle me prend dans ses bras, encore 5 secondes passées et je serais tomber, je repose ma tête sur son épaule, et elle m'embrasse volontairement, dommage, elle l'aurait fait il y a deux semaines je serais aux anges, là je suis légèrement indifférent, j'écarte ma tête un peu sur le coté, j'éspère qu'elle ne s'en est pas aperçu....

Elle me demande ou j'étais, qu'est-ce que j'ai fait, trop de questions pour un simple homme...

-En enfer, petite fille, en enfer...


Je n'ai plus la force de tenir, je manque de m'effondrer, Liz me tient comme si j'étais un pantin ,elle fait ce qu'elle veut de moi.

Elle m'amène dans la salle de bains, m'enlève ma chemise, et commence à me soigner, je me laisse faire, l'eau glacée me fait du bien, je me laisse aller, ferme les yeux, mon Dieu qu'est-ce que j'ai foutu....

Après m'avoir foutu des bandages un peu partout, je renfile ma chemise et me sert une Vodka...
J'avale la moitié de la bouteille d'une traite, ça me réveille, ça me réchauffe....

Je m'assois sur le canapé et fixe Liz, je repense à tout ce qu'on a partager, je me rappelle des derniers mots de Serge, les photos, putain!
J'avais oublié, je suis un putain d'attire-merdes, Serge sait très bien que je vais aller la rejoindre, c'est ma seule attache, a cette heure ci une bonne petite armée doit ramener sa gueule dans le quartier.

Je cours vers la fenêtre : une Mercedes pointe le bout de son nez, quatre mecs en sortent, armés, putain!

-On a de la visite, t'as quoi comme flingue?


-Prends ça!


Elle me tend un Sig Sauer, ça devra faire l'affaire.
Je l'attrape par la main, et on court, claquant la porte derrière moi, un groupe armé monte les escaliers, si on habiterait au rez-de-chaussée on serait déja mort...

Je défonce une porte devant moi avec le pied, tenant toujours la main de Liz. Une vieille commence à gueuler je n'y fait pas attention ,je traverse la cuisine pour débouler sur le salon, et sortir par le balcon, à l'aide d'une petite échelle je grimpe et aide Liz à monter, les soldats nous ont perdus de vue....

Sur le toit de l'immeuble, nous courons et nous sautons d'immeubles à immeubles avant de rentrer dans un immeuble d'entreprise informatique, je descends le premier, et accueille d'une main libre Liz, on se fait discret, on marche tranquillement, on prend l'ascenceur, arrivé au rez-de-chaussée, on passe sans problêmes, personne nous a grillés, il nous faut un moyen de locomotion maintenant, un motard s'appretant a partir reçoit un coup de crosse sur la tempe, il chancele et tombe avec sa moto, des coups de feux rententissent, ils nous ont trouvés!

-Liz conduit!


Elle aggripe la bécane et je monte derrière elle, cramponnant le flingue comme un forcené.
Ils nous suivent en Mercedes, liz, je te fais confiance....

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Liz Parker
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeVen 2 Nov - 23:22

Mais d'où revenez-t-il? Par où était-il passé? Liz le vit s'effondrer sur lui même, elle le rattrapa et s'occupa de lui soigneusement. Passant une main sur son front , il avait de la fièvre, il n'était pas en état, vraiment pas. Toute les questions du monde tombèrent, elle voulait les dire mais vu comment il était, l'italienne préféra se taire. Cela dit, il se leva, elle put le soigner correctement, mettant des bandages sur chaque plaies et tout ce qu'il fallait en tant que bonne ''infirmière''.

Tout a coup alors qu'il buvait de la vodka qu'elle avait acheté en rentrant de son voyage, il se jeta à la fenêtre, sans vraiment lui expliquer il lui demanda ce qu'elle avait comme arme, un sig sauer et un desert eagle, elle lui en passa un et prit l'autre. Liz comprit un peu après de qui il parlait. Serge voulait vraiment leur mort... à ce moment, elle le détestait plus que tout. Tout ce qu'elle demandait à présent c'est une vie normale, mais l'italienne savait qu'elle ne l'aurait pas de sitôt.

Tout s'enchaînant sans qu'elle puisse vraiment comprendre, mais elle faisait confiance à cette homme, elle mettait sa vie en main, elle ne savait pas où elle allait mais si c'était par là qu'il allait c'était que c'était bon... Au bout d'un moment, après maintes escalades et enjambement, ils se retrouvèrent dans une ruelle. Un motard allait partir mais le russe l'en empêcha, l'assommant d'un coup de crosse. Il était épuisé et Liz était désespérée, elle paniquait. Depuis la mort de Brian Ferway et de sa femme, elle avait peur... elle paniquait à cause de ce connard de James qui avait désobéi a ce qu'elle avait dit, et c'était pourtant clair "ne pas tuer sa femme"... Mauvais souvenir... Stavro chancela et l'italienne devait prendre la situation en main...

Le russe avait eu de la chance, le meilleur ami de son frère lui avait donné deux trois leçons sur ce genre de conduite en attendant que son frère se rétablisse (comme par hasard mais ça alors ça tombe au bon moment mdrr). Elle savait roulé mais n'était pas très forte. La sensation forte se n'était pas vraiment son truc. En une fraction de secondes, Liz eut une idée, allumant le moteur d'un coup de pieds rapide, elle accéléra sur le coup, et la moto partie directement. Sentant ses bras autour d'elle, cela amplifia plus son idée. C'était peut être dangereux, mais quoi de mieux quand on a un ennemi d'aller chez lui. Se dirigeant vers le quartier, passant par des trottoirs manquant d'écraser les passants, elle sentit les tirs fusaient non loin d'eux.

Faisant un détour avant d'aller vers la rue des prostitués, elle jeta un petit coup d'oeil pour voir à quel distance ils étaient de la mercedes, suffisamment loin pour pouvoir s'arrêter et passer par des petites ruelles à pieds. Passant pas une toute petite ruelle bloquant la voiture.

Suis moi, dit-elle en l'attrapant par le bras l'obligeant à le suivre.

L'entraînant dans cette ruelle qui amenait directement à cette rue où tous les hommes pouvaient choisir une de ses péripatéticiennes (respect respect mdrr) et tout le fric reviendra à Monsieur Helvitch ... Quel connard ! A partir de là, ils pourraient se cacher dans cette rue, ses femmes peuvent forniquer en toute liberté dehors, ce sont souvent celle qui sont le moins bien payé, celle qui sont "de luxe" sont dans un hôtel... mais ceci n'était pas tellement le plus important. S'asseyant sur une caisse elle attrapa Stavro le coinçant entre ses cuisses et l'embrassa à nouveau, autant être le plus réaliste possible. Elle ne s'était pas aperçue de cette indifférence, et pour sauver leur peau, il pourrait faire un petit effort. Elle ne comprendrait peut être pas pourquoi, ce changement soudain, pas tout de suite en tout cas . Le "petite fille" ne l'avait pas tellement tilté à l'esprit...

Les russes passèrent à côté parlant dans leur langue natale, elle en comprit que quelques mots "par là" et "enfoiré". Les avait-il repéré, non elle ne pensait pas que cela soit vraiment le cas. Regardant Stavro, après que ses hommes s'éloignèrent, elle chuchota.

ça m'avait manqué toutes ses aventures,

Soufflant un coup, souriant dans le vague, lâchant prise.

Et dire que je voulais m'arrêter de fuir et d'avoir affaire avec tout ça...

Se rapprochant un peu de lui, regardant en direction des hommes qui leur avait tourné le dos, elle ferma les yeux et ne put que murmurer après un silence

C'est bon de te revoir Stavro... tu ... tu crois qu'on peut y aller?

Liz le regarda droit dans les yeux, rentrer de suite chez elle était dangereux, alors il vaudrait mieux qu'ils aillent ailleurs pour l'instant, malgré Silver qui resterait tout seul, mais c'était mieux ainsi, elle ne voulait pas qu'il s'en aille à nouveau, elle voulait qu'il reste avec elle. Et même si ce n'était pas pour la vie, qu'il s'en aille pas comme il avait fait, après cette déclaration ...
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Stavro S
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeSam 3 Nov - 0:08

Liz avait assuré, elle pilotait comme une vraie chamionne, et elle nous avait sauvés, au bord de l'évanouissement, je tenais bon..
Le paysage defilait sous mes yeux, j'avais le tournis, le vent causait mes larmes....

Ils tenaient bon les enfoirés mais elle manoeuvrait bien al bécane, et 5mn plus tard on les avait semés. elle nous amena dans un quartier de prostituéé, elle lacha la bécane, et m'aggripait au bras, c'était moi le mené maintenant... On déboula dans une bagnole, elle m'attira entre ses cuisses et commençait à m'embrasser, je jouais le jeu, j'avais compris le truc....
Les soldats passèrent et nous avaient perdus de vue, c'était bon...

Je continuais à l'embrasser et lui faisait un suçon dans le cou, le désir avait pris le dessus sur la comédie mais peu après je m'étais ressaisi et m'étais rendu compte que c'était bon....

-C'est bon on ne craint plus rien, par ma faute t'es toi aussi recherché, je te cause trop d'ennuis, je ferais mieux de te....


Ses yeux là je ne les connaissais que trop bien, traduisant la peur, la tristesse, et la crainte, des yeux...qui me font chavirer...

D'une poigne féroce je l'attrape par la taille et l'embrasse de toutes mes forces, comme si c'était mon dernier baiser, au diable mes sentiments et toutes les erreures que j'ai commise, aujourd'hui je suis un inconnu façe une inconnue, ce n'est qu'une histoire d'amour et rien d'autre. Elle me rend la pareille, j'adore ça, rien de plus que la communion entre deux êtres qui s'aiment mutuellement.

Marshall je l'emmerde, Serge je l'emmerde, la mafia je l'emmerde, la police je l'emmerde, je m'emmerde....

Après quelques ébats amoureux, je me rends compte que Liz m'a griffé au point de m'arracher la peau... Je saigne un peu mais c'est pas grave... Je sors claqué, tenant Liz par la taille, maintenant elle et moi ce sera à la vie à la mort, elle est aussi bien dans la merde que moi, fini Liz Parker et Stavro Stazi....

Je ne pourrais plus exhiber cette identité, je sais pas pour elle mais moi, faut que je change complètement de visage....
On arrive dans un hôtel, je paye une chambre pour deux, et on monte fatigué.
Une bonne douche, c'est ce qu'il me faut :

-Liz, viens avec moi dans la douche....
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeSam 3 Nov - 16:14

Elle fut plus que surprise de la réaction de cet homme. C'était un fait accomplis, Liz ne comprendrait jamais les hommes. Elle savait les tuer mais les comprendre c'était une autre tâche aussi difficile que celle de changer une roue d'une voiture, sa bête noir. Il l'avait embrassé, alors que les russes s'étaient éloignés et elle n'avait pas refusé se suçon...

Dans sa mémoire l'italienne n'avait jamais reçu un baiser aussi passionné, qui l'a marqua, dans une rue ou ère des prostitués, dans la nuit assez froide... C'était à marquer d'un post-it! Cela la perturba même, elle ne savait plus trop où elle en était. La jeune femme prit son visage dans ses mains

Attends Stavro, Helvitch est venu, il a essayé d'en savoir plus sur toi, et il m'a humilié... Alors on est dans la même galère, la même tu comprends...

Ils s'embrassèrent et leurs ébats amoureux se prolongèrent, devant les gens qui passaient, jusqu'à peut être par la surprise que Stavro lui procurer, elle le griffa de ses ongles qu'elle avait laissé poussé depuis son voyage... Plus douloureux et la jeune femme avait sûrement un morceau de peau du beau russe.

oups, murmura-t-elle une main sur sa bouche un regard malicieux.

Se levant, ils pouvaient partir, cette petite course avait épuisé Liz. L'italienne ne pensait pas une seule seconde à ce qui allait se passer par la suite, Stavro et elle, elle et Marshall? Une changement d'identité? De visage? Non, Elle n'avait pas la moindre idée de tout cela. "on verra par la suite'' dirait-elle.

Ils se dirigèrent vers un hôtel, la femme d'accueil eut un petit sourire coquin vers Stavro, ce qui ne toucha pas plus la jeune italienne qui n'avait pas fait attention à cela. Dès qu'ils entrèrent dans la chambre, Liz se précipita vers la fenêtre, l'ouvrant pour respirer un coup. Son coeur commencer à battre un peu trop vite à son gout... Commençait-elle à paniquer de se retrouver là?

Stavro avait disparut dans la petite salle de bain, et lui avait demandé de la suivre. La jeune femme s'assit sur le lit et mis sa tête entre ses deux mains, respirant pour essayer de se calmer ... Où en était-elle? Il y avait Marshall, il y avait Stavro, elle savait que si elle n'y allait pas, elle regretterait et elle ne le voulait, elle devait pas regretter ce qui allait se passer même si ces sentiments étaient confondue, c'était avant tout une femme et elle ne pouvait pas laisser passé un désir de la sorte, personne ne saura, à part eux... elle n'était pas officiellement avec Marshall, elle n'était pas officiellement avec Stavro... Et s'il fallait elle partirait, elle s'en irait loin pour ne pas avoir d'ennuis, elle ne voulait pas en avoir, elle les aimait tous les deux, mais peut être que la meilleur des solutions c'est de n'être avec aucun. La jeune femme se leva et entra dans la salle de bain... Se déshabillant (ich) devant lui et elle se retrouva nue face à lui en quelques secondes, passant une main dans ses cheveux pour enlever une mèche qui l'a gêner regardant le russe droit dans les yeux ...

[ich fait ce que tu veux, mais restons propres quand même, où mets un truc qui casses tout mdrr XD]
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Stavro S
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeSam 3 Nov - 18:12

[T'inquiète pas miss]

Je laisse couler l'eau chaude sur mes épaules, et me laisse aller, ça me fait du bien, Liz vient, avec un corps pareil elle aurait pu faire mannequin, actrice, star du X....

Mais ce soir c'est pas le sexe que je recherche mais juste de l'affection, je la prends par la main et l'emmène me rejoindre sous la douche, ses cheveux s'aplatissent, et l'eau chaude rend son teint rose, elle me fait penser à une petite fille...

Je la prends dans mes bras, une courte étreinte, c'est tout ce que je demande, après être lavé, frotté, astiqué, je sors de la douche, Liz y demeure un moment, je renfile ma chemise et mon jean, brillant comme un sou neuf, je me mets par la fenêtre et regarde la ville...

Il n'y a qu'une seule alternative à tout ça, pour que ça s'arrête....
Le jet d'eau stoppé, Liz se pointe, je la sens, elle est derrière moi :

-Faut qu'on se sépare... A deux on a plus de chance de se faire assassiner....


Je me retourne et la regarde :

-On a vécu beaucoup ensemble mais je n'ai pas envie que tu meures, c'est la seule solution....


Refais-toi une nouvelle vie, trouve un homme qui mérite ton amour, trouve toi un vrai métier, finis en avec le milieu avant que le milieu te finnisses...

Je m'approche d'elle et la serre une dernière fois, je rammasse le Sig Sauer, le range dans mon fut, lui lance un dernier regard et m'envole, destination Nulle Part.....
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Liz Parker
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MessageSujet: Re: Le Retour du Major....   Le Retour du Major.... Icon_minitimeSam 3 Nov - 22:11

[Niahahhah parfait! tu vas torturer encore un peu plus ma lizounette]

Qu'est-ce qu'il voulait? Qu'est-ce qu'il recherchait avec cette femme? Une demi heure avant il aurait été prêt à lui faire l'amour en pleine rue et maintenant qu'ils sont nus comme des vers, tout ce qu'il fit c'était une simple étreinte. L'avait-elle répugné par son corps? Les blessures de son enfance était visible, peut être trop, et cela l'avait coupé de toute envie, c'était une simple possibilité. C'était vraiment perturbant comme situation, et une question revenait à chaque fois où en était-elle? Cette nuit là, Liz aurait aimé passé la nuit avec lui, oublié ce qui lui est arrivé subjugué par un désir fou pour lui...

Mais non rien de cela, il sortit de la douche et alla dans la chambre, laissant l'italienne toute seule. S'asseyant, laissant l'eau couler, les gouttes ruisselantes sur son corps. Liz était plus que perplexe, regardant les marques sur son bras, elle serra les poings, laissant tomber ses cheveux sur son visage, elle avait envie de se mettre à pleurer. Pourquoi avec cet homme était-elle aussi fragile? Pourquoi passait-elle d'un extrême à l'autre en si peu de temps. Se levant pour sortir de la douche, elle arrêta l'eau et souleva sa masse de cheveux.

Prenant un robe de chambre offerte par la maison, elle l'attacha par un simple noeud autour de la taille puis attacha d'un simple élastique ses cheveux d'un simple chignon. Sortant de la salle de bain, elle vit Stavro à la fenêtre. Et il lui dit les mots qu'elle n'aurait pas voulu entendre, pas ce soir là en tout cas.

Non... pas encore... murmura-t-elle.

Mais il avait fait comme si de rien n'était, Liz le regarda écoeurait, pourquoi lui faisait-il ça! Pourquoi lui faisait-il endurer cela? Elle voulait rester avec lui, elle se sentait en sécurité et sa paranoïa disparaissait, mais là, c'était tout le contraire. Fermant les yeux pour ne pas le voir partir, elle entendit les derniers mots de Stavro. Entendant ses pas en direction de la porte, elle ne put s'empêcher de dire mais c'était trop tard, il était déjà à l'extérieur de la chambre...

Idiots, à deux on est plus fort... qu'est-ce que je vais faire sans toi, dit-elle suffisamment fort pour qu'il puisse l'entendre.

Regardant la salle, elle tomba sur le lit, ses cheveux s'étaient détachés, fixant le plafond le regard vide, retenant ses larmes, elle était en colère mais tellement triste, qu'est-ce que c'était compliquée tous ce qui se passait dans sa tête. Mais la seul chose qui lui venait en tête, et qui était la plus simple et la plus basique pour un humain... boire pour submerger ce qui venait de se passer, le lendemain elle ne se souviendrait pas très bien ce qui s'est passé , elle aurait de vague souvenir ...

Liz appela l'accueil et demanda deux bouteilles de vodka sans poser de question, et avec une certaine réticente ils amenèrent les bouteilles qui devraient suffire au couple, et bourrer une femme. Le "serveur" croisa Stavro sans savoir qui il était ...

[ich]
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