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 La garderie [Libre et pas (trop) violent]

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Serge Helvitch
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Serge Helvitch


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MessageSujet: La garderie [Libre et pas (trop) violent]   La garderie [Libre et pas (trop) violent] Icon_minitimeMer 22 Oct - 18:00

[Vienne qui voudra, en suivant bien l’histoire merci …]

Rien qu’une paire de cliché. Dans la vallée verdoyante de « Geant Park », bien loin de l’étendue bétonnée qu’est cette foutue ville de Karandras, sont assis sur un banc deux hommes aux visages serrés. Ils portent tous les deux de sombres lunettes de soleil pour ne pas laisser leurs yeux les trahir et ce, malgré le peu de soleil. Portant leurs lourds manteaux sur eux, ils discutent. L’un d’eux a le visage beaucoup plus marqué par le temps, sa canne entre ses jambes, les mains gantés qui cachaient sa poignée d’or. Une chaîne de montre dans sa poche, il jette son regard droit devant sans regarder son interlocuteur beaucoup plus jeune, à la carrure fière qui fixait également un point devant lui.

Adossé contre les arbres, trois hommes également de même facture trônaient là. Ils fumaient en cercle, parlant fort et dans une langue qui n’était pas l’anglais. La scène aurait pu sortir un vieux film américain à New York. Bientôt des cris d’enfants viennent troubler le calme relatif du tableau, toute une flopée de cinq ou six gamins se mirent à tournoyer autour du banc où était assis les deux hommes qui esquissèrent timidement chacun un sourire. L’un des petits garçons était resté à l’écart, jouant avec un cerf-volant que la brise légère de ce début d’après midi faisait s’envoler. La joyeuse troupe alla s’ébattre quelques mètres plus loin suivie du regard par les deux inconnus.


« Une joyeuse bande que vous avez là. »

« Une seule est à moi, vous savez mon ami. »


Il désigna du doigt la seule petite blonde du groupe qui avait du mal à suivre le rythme effréné des autres enfants plus grands et plus dégarnis. Leurs habits ne venaient pas du marché aux puces et ils étaient tous très bien coiffés, ce ne sont pas des enfants pauvres, ça c’est sûr.

« C’est toujours plus compliqué avec des enfants de faire ce travail. Surtout ici, avec tous ces macaques qui traînent partout. »

Le vieil homme parla avec un tel dédain, il cracha d’ailleurs comme si la simple allusion à la population afro-américaine, latine ou asiatique le faisait vomir, car de sa bouche insultante il s’agissait bien de ces gens là. Toutefois, ils n’étaient pas des américains purs et durs, on pourrait même dire le contraire, ils étaient le fruit d’un peuple fier et vaillant associé pendant cinquante ans à l’ennemi absolu du géant américain : des Russes.

Depuis la folie provoquée par la chute du Bloc, il y a déjà plus de quinze ans, de nombreux russophones avait émigré et continué à le faire d’ailleurs en venant s’entasser dans les vieux quartiers du centre rénovés, un quartier souvent appelé par « vrais » américains comme Little Odessa, du nom des premiers immigrés ukrainiens qui y amenèrent leurs traditions, leur caviar, leur vodka, leur fêtes mais aussi leurs bandes organisées, parmi les plus complexes et les plus développés du monde.

Le plus jeune des deux hommes se gratta alors le nez, il ne portait pas de gants et sur sa main figurait des marques gravées par l’encre : la marque de la mafia. Sur cette main, on trouvait une lettre écrit dans un style gothique sur chaque doigt formant le mot « anger », comme un objectif, un but et enfin sur le dos de sa main, un serpent dévorant un insecte. Il reposa lentement sa main et dans un sourire répondit à son interlocuteur.


« Nous faisons en sorte que cet endroit soit vivable ne vous inquiétez pas monsieur Kartapov. »

Il reçut une tape dans le dos. Le vieil homme avait lancé un léger rire à cette phrase.

« Je n’en doute pas, mais fais attention. Tu n’es plus seul. »

Mais il ne l’écoutait plus, il fixait le groupe de gamins qui jouait à quelques mètres d’un banc où se trouvaient deux types plutôt louches qui lançaient des sourires sadiques. Leur figure pâle laissait penser à des prédateurs dangereux et glacials.

« Les enfants, revenez par-là. »

Cria-t-il. On entendit un brouhaha de cris et de signes d’approbation et la meute se rapprocha. Les trois hommes à l’écart continuaient de discuter mais la phrase du mafieux provoqua une réaction chez deux d’entre eux. Ils fixèrent les deux hommes, la main dans leur veston ce qui fit déguerpir les deux rigolos sans un mot. La petite fille courut en direction du jeune homme en noir.

« Papa ! »


Dit elle en lançant les bras. Il n’attendit pas et s’empara d’elle pour la poser sur ses genoux.

« Vous voyez le problème. On ne peut plus les reconnaître à leur couleur. »

Ceci déclencha l’hilarité chez le vieil homme, ce Kartapov. Il plongea sa main dans sa veste avant d’en sortir un petit bonbon qu’il tendit à la jeune fille. Cette dernière l’attrapa sans attendre, un sourire jusqu’aux yeux. Il s’approcha alors, elle ne devait pas avoir plus de cinq ans.

« Tu sais, j’ai connu tous les Helvitch, de ton grand-père jusqu’à tes neveux, tu sais qui je suis ? »

Il s’agissait donc bien de Helvitch à côté du vieux Kartapov. Elle pointa du doigt le visage du vieux Kartapov, tentant sans doute de toucher son gros nez. Elle prononça ses quelques mots en russe :


« Mon papa a dit que vous êtes comme mon grand-père ! »

Il lança un petit rire. C’était un petit peu vrai, il était presque la seule personne âgée qu’elle pouvait connaître ; son grand-père, elle ne le verra jamais, ni même sa tombe. Kartapov était sûrement l’ange gardien des Helvitch. En effet, déjà aux Etats-Unis, il a fait passer la fratrie au pays de l’Oncle Sam, les a éduqué et a fait rentrer certains d’entre eux dans les cahiers des organisations : Les quatre frères Helvitch. Les deux filles préférant partir au Canada mais n’ont absolument pas coupé les liens avec leurs frères en particulier l’avant-dernier : un certain Serge Helvitch.

Une jeune femme marchant sur le petit sentier s’approcha d’eux. A sa vue, Serge se leva, un petit sourire aux lèvres. Il fit poliment la bise à la nouvelle vue avant de la présenter à Monsieur Kartapov qui, s’il affichait toujours un large sourire, restait assis fièrement sur son siège.


« Je vous remercie d’avoir gardé les enfants le temps de faire ses quelques courses. Ils ne vous ont pas trop embêté. »

Serge esquissa un sourire tout en fixant sa petite fille qui les regardait de ses grands yeux bleus expressifs en levant la tête au maximum.

« Ce sont mes neveux et ma fille, jamais ils ne pourront m’embêter et je … »

Il allait poursuivre qu’une main s’était posée sur son épaule, derrière lui, un des hommes qui était resté auprès des arbres, tenant un téléphone dans l’autre souhaitait sûrement lui parler. Il répondit par un geste de tête et repoussa lentement la main.

« Je vous les confie mademoiselle Paradovna. »

Elle ne voulut rien savoir de plus et rassembla la troupe. Elle s’empara de la main de la petite Nina, qui voulut s’empresser d’aller vers son père mais ce dernier attrapa rapidement le téléphone, oubliant un instant toute la vie, fût elle de son propre sang, autour de lui. Il ne parlait pas et laissant la voix du téléphone lui parlait. Il raccrocha et balança le téléphone dans les mains de cet homme, bâti comme une machine à laver avec des épaules de bœufs.

Il ne put qu’apercevoir la joyeuse troupe s’éloigner, le dernier gamin jouant encore son cerf-volant en poussant des grands cris en russe. Le bref moment nostalgique terminé, Serge se tourna vers les trois fumistes.


« Dimitri, trouve-moi n’importe qui, je veux une adresse. »

Serge devait affreusement presser pour demander à n’importe qui une adresse. L’homme de main écrasa une cigarette au sol et acquiesça d’un geste de tête. Il se mit en quête d’un être humain dans ce parc. Il en croisa une, de dos il lança un timide :

« S’il vous plaît … »

Dimitri parlait dans un mauvais accent et avait beaucoup de mal à se faire comprendre de pas mal de gens ce que Serge exploitait assez souvent et l’envoyait parler aux gens en anglais pour lui faire apprendre la langue et sûrement pour se moquer de lui un peu.
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Stavro Stazi
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MessageSujet: Re: La garderie [Libre et pas (trop) violent]   La garderie [Libre et pas (trop) violent] Icon_minitimeJeu 23 Oct - 22:02

Stazi s'était finalement levé tôt aujourd'hui. Il pris cette fois-ci son petit-déjeuner accompagné d'une jolie journaliste qu'il avait rencontrée deux semaines plus tôt à une soirée. Elle était belle, intelligente, et douce. Elle était d'origine danoise. Stazi pouvait la regarder des heures entières sans se lasser, il l'adorait.
Ils se quittèrent tous deux vers les coups de 13h. Stazi arma son Glock avant de le ranger dans sa veste. Il prit la Mercedes de service avant de se rendre à l'Irkoutsk. Il pénétra dans le restaurant avant de chercher des yeux un petit lascar russe. Il en trouva un et lui lança doucement en russe :


-Ou est Serge ?

-Il est parti y a pas plus d'une heure au Geant Park, il avait rendez-vous avec un ponte.


Stazi lui mit une petite tape sur la joue en guise de remerciement avant de remonter dans sa voiture. Une demi-heure plus tard il y était. Il se gara le plus près possible avant de descendre de sa voiture et commencer les recherches. Il profita du beau temps pour flâner un peu. Il s’asseya sur un banc et se détendit. Il était bien. Il se dit finalement que Serge pouvait attendre, s’accorder un peu de repos ne lui ferait pas de mal. Il se mit à rêver, seul, avant que quelqu’un ne l’arrache de ses songes. Il fut secoué presque brutalement. Personne ne le traitait ainsi, la rage monta et il se dit qu’il fallait que la personne ait une bonne raison d’avoir agi ainsi. Il se retourna et à sa grande surprise ce fut Dimitri, un sous-fifre de Serge. Son visage se décomposa lorsqu’il reconnut Stavro. Stazi se leva avant de frapper dans son ventre, l’homme se retrouva à genoux.

-Qu’est-ce tu veux ?

-R…Rien.


Stazi s’écarta avant de reprendre ses recherches, si Dimitri était là, Serge ne devait être plus très loin. Il continua sa route sur le versant droit, à moins de 20m, il aperçut un vieil homme muni d’une canne, et Serge tous deux assis.

Stazi regarda Serge puis le vieil homme avant de lancer un bref « bonjour » en russe.

[/b]
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Liz Parker
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MessageSujet: Re: La garderie [Libre et pas (trop) violent]   La garderie [Libre et pas (trop) violent] Icon_minitimeLun 27 Oct - 20:29

[Comme au bon vieux temps, mdrr, je suis spectateur ^^]

Quelqu'un frappait à la porte depuis cinq bonne minutes. L'italienne avait
beau vouloir être invisible aux yeux des autres, rien à faire on lui voulait quelque chose. Se levant de son canapé, faisant signe à Silver de ne pas bouger. Elle jeta un coup d'oeil, mais il n'y avait personne derrière la porte. Sortant son arme, elle ouvrit cette fois la porte en grand, prêt à tirer sur une quelconque personne. Elle vit le fils de Mme Geckler assis dans les escaliers. Cachant immédiatement l'arme derrière son dos, pour ne laisser aucun soupçon.


J'ai cru que vous n'allez jamais ouvrir cette porte, murmura-t-il las.

J'étais trop... occupée,renchérit-elle en faisant une grimace, voyant le bambin dans les bras de son père.


Liz le fit rentrer sachant très bien qu'elle n'avait pas tellement le choix. Elle devenait légèrement paranoïaque depuis l'agression du père Prokifiev, comme si le fait qu'elle était allée le voir avait amené des ennemis de la mante à chercher des informations. Les seuls paroles qu'il lui avait dit c'était « faites attention, tous ne voudront pas vous tuez » Cela laissez à penser que certain aimerait la torturer à petits feux, mais que pouvaient-ils
faire de plus à part envoyer en prison pour le restant de sa vie. Enfin bon, l'homme lui donna l'enfant sans même lui donner des explications. Il était onze et demi, et elle venait d'avoir un enfant dans les bras... Quelle belle journée, pensa-t-elle avec un petit rictus. En guise de bonjour, un baragouinage baveux et incompréhensible de la part du bébé qui une fois dans les bras de la mante religieuse s'amusait à prendre ses cheveux comme nouveaux biberons.


Il vous aime bien Maria, murmura-t-il en lui donnant le sac pour l'enfant.


Je n'aime pas les gosses, et ils ne me le rendent jamais bien...


Mais vous m'aidez, et je repars dans une semaine alors bon, j'ai pensé
que vous aimeriez l'avoir un peu...


La discussion s'amena à promener le petit rejeton pendant que son paire irait à la banque, un rendez-vous assez important. Sa voisine était fiévreuse, il valait mieux laisser l'enfant loin d'elle. Après quelques grognement de la part de Liz, et un baiser sur sa joue en remerciement , l'homme partie la laissant de nouveau face à un marmot des plus craquant. Silver les regardaient, la voyant se préparer, se coucha dans son coin.

Tu commences à connaître les règles avec moi, n'est-ce pas? La dernière fois, tu as gentiment déposer quelques... enfin bon, recommence et je te donne à manger à Silver. Oh et ne me regardes pas comme ça, je sais, c'est bientôt finis et après on ira se promener tous les deux. Non, pas les yeux de cocker abattus.

Une fois un manteau sur le dos, le sac de l'enfant avec son arme à l'intérieur, une paire de lunette noir sur le nez, des gants, et un bonnet qui n'empêchait pas sa touffe de cheveux de paraître au grand jour, elle couvrit l'enfant pour qu'il n'attrape pas mal. A vrai dire, il y avait un sale temps et il voulait le faire sortir... Hum, les hommes et leurs décisions toujours invraisemblable gniark.

L'italienne arriva tranquillement au parc, s'arrêtant quelques instants au sol pleureur comme à chaque fois qu'elle venait ici, pour repenser à
toutes les erreurs qu'elle avait faite, elle murmura à l'enfant mélancoliquement. « Il était comme toi, craquant au point que je le tue, alors imagine si tu fais dans ta couche » Et pour guise de réponse une tape dans le nez, suivit d'un grognement... Continuant sa route, elle était méconnaissable, elle était comme au premier jour de sa venus, mal habillé comme une jeune femme de vingt ans qui cherchait encore à se trouver. Pantalon larme, grosse chaussure, haut caché par la manteau noir, cela lui rappelait les bons souvenirs d'Italie, avec ses amis, si on pouvait vraiment les considérer comme des amis.


Elle suivait le chemin qui menait à des bancs séparés en deux, un face aux lac, et l'autre symétriquement éloigné de quelques mètres qui permettait de voir le reste du part. Elle dépassa deux hommes eux aussi avec des lunettes, mais l'italienne n'y porta pas tellement d'intérêt. Elle passa aussi une bande jeune bambins dont plusieurs d'entre eux, regardèrent l'enfant de Liz avec chacun leur préférence sur la chose. Elle entendit quelques paroles en russes, mais cela ne l'alerta pas pour autant. S'installant en face du lac, non loin des deux russes, car la position était plus jolie, elle pouvait avoir quelques rayons de soleils, mais aussi l'image d'une ville frappée par la guerre des gangs. Jouant un peu avec l'enfant, elle déposa une couverture sur le sol, et y posa l'enfant qui rampait gaiement. Lui donnant un jouet, elle préparer le biberon.

Au moment, où elle allait s'asseoir sur le sol, elle sentie quelqu'un s'approchait d'elle mais qui changea directement de direction pour aller dans vers l'autre banc à quelques mètres de là. Liz avait vu cette tête quelques par. Jetant un coup d'œil vers son point d'arriver, la jeune femme eut un haut le cœur, en voyant un homme qu'elle ne connaissait que trop bien. Stazi. S'asseyant sur le sol plus rapidement que prévu, la religieuse fut prit de panique. Elle n'arrivait plus à respirer. Liz serra le bébé contre elle de peur de le lâcher. Tout devenait clair, du coin de l'œil, elle s'aperçut qu'il se levait pour rejoindre les deux hommes qui était derrière elle. La réponse était derrière elle. Faisant mine de chercher quelque chose dans son sac, elle s'aperçut de trois hommes qui était près d'un arbre non loin d'elle. Et à leur parole s'était des russes. Stazi, des russes, des enfants qui parlaient russe... Helvitch... Son cœur se contracta, c'était comme si on l'étranglait, sa respiration devint haletante, jusqu'à ce qu'elle n'arrive plus à bouger. C'était un mélange de peur, et de haine renaissante d'un passé qui essayait d'être oublié. Tentant de se calmer, elle écarta les jambes pour déposer l'enfant et pour essayer de se détendre sans le moindre danger pour lui. Au bout de cinq minutes, la jeune femme s'était plus ou moins calmé, mais elle savait, où du moins s'était évidement un de ses hommes l'avaient aperçu, un de ses russes qui discutaient en cercle fermé, une femme qui tombe comme cela, c'était soit un malaise, soit qu'elle avait vu des choses qu'elle n'aurait pas du voir. Mais qui pouvait penser qu c'était Liz Parker? … Elle était coincée là, de un par son corps qui refusaient tout mouvement, à part ceux des bras pour nourrir l'enfant, et de deux par la peur qui s'emparait d'elle...
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Serge Helvitch
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MessageSujet: Re: La garderie [Libre et pas (trop) violent]   La garderie [Libre et pas (trop) violent] Icon_minitimeMer 5 Nov - 16:33

[désolé du temps, ce serait plus simple si j'avais le net ...]

Le visage de Serge était sévère, il ne faisait attention ni à convive qui montrait quelques marques d’impatience, ni à son environnement, ne remarquant pas Liz aux alentours. Il avait perdu de vue Dimitri qui avait sûrement dû chercher bien loin pour trouver quelqu’un dans ce parc. Le mafieux se leva même du banc pour, semble t-il s’étirer un peu, en réalité, il fouinait dans tous les coins vérifiant que le chauffeur reviendrait bien. Il pivota un peu derrière lui, ne remarqua toujours pas Liz et entendit arriver des pas sourds derrière lui. Il connaissait ces pas et se retourna brutalement, l’air presque surpris. Kartapov, lui, restait assis, tenant fermement sa crosse dans ses deux mains et fixant le lac devant lui tranquillement sans s’occuper de Serge.

Ce dernier reconnu le visage dur de Stazi, le tueur attitré du clan de Karandras. Il aperçut ensuite Dimitri qui marchait lentement derrière le tueur, simple respect de la hiérarchie. Quand il lança de timides salutations, le visage de Serge s’éclaircit, cela faisait quelques temps maintenant qu’ils ne s’étaient pas vus. Le mafieux ôta ses lunettes et lança un sourire du coin des lèvres.


« Bonjour à toi Stavro. Tu arrives toujours au bon moment mon ami. »

Serge n’avait jamais apprécié le tueur, pis, il se méfiait de lui, de son tempérament glacial, de ses manières douteuses et de la froideur de son bras qui pouvait abattre n’importe qui sur un simple mot voire un simple coup de tête. Cependant, il était également le « major suicide », le maître à tuer de la communauté, une bête féroce mais loyale qui respectait toujours ses engagements et affichait du respect pour les supérieurs. Et rien que pour cela Serge lui marquait son respect.

Il remarqua que Dimitri marchait se tenant le ventre avec un visage qui laissait ressortir la douleur, ceci provoqua une petite hilarité intérieure chez le mafieux, décidément Stazi disait plus facilement bonjour à coups de mains qu’avec une paire de mains. Dimitri le chauffeur s’éclipsa rapidement, rejoignant la petite troupe d’hommes de main, en lançant d’ailleurs quelques jurons entre ses dents. Serge, lui, s’avança un peu plus près, laissant Stavro en faire de même avant de lui tendre sa main.


« As tu un peu de temps ? »

Lui demanda t-il simplement avec un sourire honnête.
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