Rendez-vous Nocturne [PV : Tirmee/Léon]

Depuis le grand "Changement", le Cuba Favellas servait de lieu de rendez vous pour la plupart des amateurs de rodéos sauvages. Mais attention, pas du rodéo avec de vielles japonaises déguisées. Non, içi c'était les purs, les vrai moteur, les originelles, bref, que des purs sang américain. Les latinos adoraient exhiber leurs plus belles mécaniques sur des battles de Low-Rider.

Les grosses cylindrés s'affrontaient aussi sur l'ancien circuit, en ligne droite. Le bon vieux 400 mêtres, il n'y avait que ca de vrai. Rien que toi, ta caisse et un bout de bitume que tu devais avaler le plus vite possible. Les rodéos, c'était aussi un moyen de faire la fête pas trop cher en écoutant des tueries de son latino. Bref, un bon moyen de sortir de la misère du barrio pendant quelques heures.

Comme à chaque fois, Tirmee s'y trouvait. Il adorait la belle mécanique et voulait s'offrir un fois blindé de fric un Shelby GT. Ce petit bolide serait son premier grand cadeau. Et il saurait toujours à qui s'adresser en cas de pépins, bien qu'il s'y connaisse pas trop mal en mécanique. L'homme chez qui il vivait ces derniers temps, Diego, tenait le "Solari Garage". C'était chez lui qu'était venu le gars qui s'alignait sur la ligne au même moment.

Diego, si sur de lui, venait de parier 500 dollards sur son poulain, qui était nettement loin d'être le favori. Car dans sa Camaro Z/28, il était loin de la réplique de la Shelby Cobra de 1967 qu'avait poussé au max un garage concurent. Mais Diego savait que si le mec remportait la course, c'était le début de la gloire pour lui. Il était même près à miser une bonne partie du fric que le mec lui avait fillé pour prouver qu'il savait ce qu'il faisait.

Mais comme prévu par la majorité des parieurs, il n'y eu pas vraiment de course. La Cobra s'envola alors que la Z/28 resta sur place, faisant crisser les pneux et nous offrant un magnifique "burn" improviser. Les pneux n'avait pas supporté la puissance d'entrainement de l'essieu.

- Encore une de tes inventions foireuses Diego. T'aurais du faire des études, tu gonfles encore trop tes moteurs mec.

Diego le savait et n'avait pas besoin de l'entendre de la bouche d'un mec qu'il ne connaissait pas. En se retournant, il vit le patron du Garage voisin, Rico Sueza, un sourire aussi grand que sa gueule. Diego voulu lui faire ravaler ce méchant sourire à coups de clé à molette, mais les deux gros sacs à ces cotés lui coupèrent directement l'envie. Tirmee était sur le qui-vive, près à dégainer si cela dégénerrait vraiment. Mais Diego se calma rapidement et lui lança un défi pour le prochain Rodéo. Et avec un vrai pilote cette fois. Un mec qui aurait travailler avec lui sur le concept.

Il parlait bien sur de Tirmee et de sa "future" Shelby GT 500. Il venait de mettre la pression sur le jeune cubain, mais il avait confiance en lui. Et ça, ca valait tout l'or du monde. Les deux compères se payèrent alors une nouvelle Corona au bar improvisé et mattèrent le concours de Low-Riders qui se déroulait un peu plus loin. La soirée n'était pas finie, loin de là.

Invité

Leon le savait, la voiture qu'il avait volé était maintenant recherché par les forces de police et la mafia italienne. Mais, il serait vraiment dommage de ce séparer d'une si belle Alfa roméo alors, une idée lui vint en tête. Il devait trouver un bon garagiste capable de faire une nouvelle identité à la montréal et, tout le monde sais que les latinos sont les meilleurs dans ce genre de domaine. Le néo-nazi sortit la voiture de son garage et partit en direction du quartier latino. Sur la route, il roulait calmement et passait par les chemins les moins fréquenté par les policiers pour éviter toute mauvaise rencontre. Aprés une heure de route il arrivat enfin au Cuba Favellas, le paradis sur terre en matière de tuning, et ce garrat tranquillement sur le parking à cette effet. Leon vérifia qu'il était bien armé et sortit de sa caisse pour partir à la recherche d'un bon mécanicien pas trop cher. Tout autour de lui le bruit assourdissant des moteurs ce mélangeait avec celui des musiques latinos pour créer un vrai enfer pour les oreilles d'un humain normalement constitué. Le jeune motard décidat donc de s'éloigner de la piste pour ce méler à la foule de spectateur. Aprés plusieurs petit dialogues, il apprit qu'un homme ce trouvant au mini-bar correspondait à sa demande, un certain Tirmee. Il remerciat l'informateur et, s'asseyat sur le tabouret à coté du jeune latinos pour commander un cocktail portoricain.

"Excusez moi, vous êtes bien meussier Roldan Caturla Maceo ?"

Aprés la confirmation de son interlocuteur, Léon enchainat pour rentrer dans le vif du sujet. Il but une gorgée de son verre et engageat la discution.

"On ma dit que vous etiez un bon mécanicien à qui il manquait un peu d'argent ces temps si. Je me propose d'arrenger sa, je posséde une magnifique Montreal blanche que j'ai acquis autre part que dans un garage et j'ai donc peur d'avoir quelques problémes de volailles trop curieuses. Et c'est la que vous intervenez, j'aimerais que mon Alfa Roméo change d'identité. Je rentrerais plus dans les détails,comme le prix de ce service par exemple, quand vous m'aurez dit si vous acceptez mon offre."

Le néo-nazi attendit la réponse du cubain tout en avalant une autre gorgée de sa boisson exotique.

Alors qu'il sirottait tranquillement sa Corona au bar avec Diego, Tirmee vit un gringo s'approcher. On ne voyait pas souvent de blanc à Latino Sector, voir même quasiment jamais. Le rodéo en passionait plus d'un mais ils préféraient les japonnaises aux purs-sangs Américaines. Tirmee leva alors sa canette à la bouche et dévisagea l'homme qui commanda un cocktail portoricain.

- Excusez moi, vous êtes bien Monsieur Roldan Caturla Maceo ?

- Ca dépend qui le cherche.

Le blanc pris ça pour un oui puisqu'il continua la discution avec Tirmee. Diego se leva et laissa le Cubain seul face à son interlocuteur. Il prit une gorgée de son cocktail et s'en suivit une tirade qu'il avait soigneusement préparée.

- On m'a dit que vous etiez un bon mécanicien à qui il manquait un peu d'argent ces temps-ci. Je me propose d'arranger ça.

Je possede une magnifique Montreal blanche que j'ai acquis autre part que dans un garage et j'ai donc peur d'avoir quelques problêmes de volailles trop curieuses.

Une voiture Montréal volée. Pas de chance pour ce mec, il venait de tirer une caisse qui valait plus le coup d'être dans un musée que conduite. Mais il le laissa finir en sirrotant tranquille sa bière de nouveau.

- Et c'est là que vous intervenez, j'aimerais que mon Alfa Roméo change d'identitée. Je rentrerais plus dans les détails,comme le prix de ce service par exemple, quand vous m'aurez dit si vous acceptez mon offre.

Un gringo avec de grosses corones. Il venait traiter dans le quartier où personne ne faisait confiance à son voisin s'il n'était pas de son ethnie. Mais Tirmee fut interloqué par le mot "Arrangement du Compte en Banque" et voulut en savoir plus. Il prit alors les devants en demandant au barman une seconde bière.

- Il se pourrait que je puisse vous aider. Mais franchement, autant être honnête avec vous. C'est du crystal cette caisse. Vous vous y connaissez un peu ou non?

La question était rétorique pouisque Tirmee ne lui laissait pas le temps de répondre. Il enchainat avec tout ce qu'il savait sur les Montréals de base.

- C'est une bestiole qui à pas plus de 4000 exemplaires. Donc pour la camoufler ca va sentir le sapin quoi, ou alors il va falloir débourser un max pour faire croire que c'est une épave que vous avez récupérez et retapée entièrement. Mais là, la facture va être séverement salée. Enfin, en même temps je sais pas encore ce qu'il y a dessous le capot.

Le cubain marqua une pause, prit sa nouvelle bière et en but un large tiers. Il fallait qu'il fasse les calculs, faire son beurre et lacher un prix raisonnable pour le Gringo. Ca pourrait le faire connaître de maquiller une caisse. Il prit alors la décision de poser des conditions.

- Disons que vous payez les pièces, sachant que je peux vous avoir quelques réductions. Pour le reste, je dirais en fonction du temps passé dessus du 150$ de l'heure, sachant que ça n'exedera pas 7 heures si c'est le "maquillage" complet que vous voulez. Maintenant si vous êtes ok sur les prix, on va voir et je vous fais une "facture" plus complête.

Tirmee regarda l'homme en descendant le reste de sa bière. La balle était dans le camp du Gringo. S'il voulait maquiller sa caisse, il accepterait sachant que les prix étaient très avantageux. Mais peut-être voulait il une facture plus détaillée et lui montrerait l'engin de course qu'il venait d'acquérir.

Invité

Le latino expliqua clairement à Léon qu'il était le propriètaire d'une voiture assez rare et que cela serais assez dur de la camoufler, mais pas impossible. Tout en commandant une deuxièmme bière, le cubain formulat ces conditions :

"Disons que vous payez les pièces, sachant que je peux vous avoir quelques réductions. Pour le reste, je dirais en fonction du temps passé dessus du 150$ de l'heure, sachant que ça n'exedera pas 7 heures si c'est le "maquillage" complet que vous voulez. Maintenant si vous êtes ok sur les prix, on va voir et je vous fais une "facture" plus complête."

Leon fit rapidement le topo et, même si il n'y si conaissait pas vraiment, le prix avait l'air assez avantageux. Il avait bien fait d'aller voir un nouveau cherchant à ce faire conaitre, c'est comme sa qu'on peu avoir un bon travail pas trop cher. Le seul problème, c'est que rien n'est sur. Ce Tirmee pouvait trés bien être un incapable où un amateur de première mais, Léon décidat de lui faire confiance. C'était son instinct qui lui disait que ce cubain n'était pas n'importe qui. Il terminat alors son verre et invitat son interlocuteur à le suivre jusqu'à la fameuse voiture.

"C'est celle la."

Pour accompagner le geste à la parole, le néo-nazi avait désigné une Montréal garré à un peu prés dix métres d'eux. L'extérieur était d'un blanc assez vieux sans pour autant être moche et, les pièces à l'intérieur du véhicule étaient presque toutes noir, comme pour faire contraste. A part cela, toute les pièces mécaniques étaient d'origine. Léon avait préfèrer ne rien toucher de peur d'empirer l'état de la voiture. Celui-ci c'était maintenant rapproché de sa propriété et, venait d'ouvrir le capot pour permètre à Roldan d'y regarder de plus prés.

"Voila, quand dite vous ? Pouvez vous faire un bilan un peu plus précis maintenant que vous avez le véhicule sous vos yeux ?"

C'est bien ce que craignait le Latino. La Montréal était bien d'origine. Un vrai travail d'orfèvre l'attendait alors. Car comme l'avait précisé Tirmee, cette voiture était du Crystal. Et pas dans le bon sens du terme. Le Gringo allait avoir une très mauvaise surprise.

- Whaou, c'est bien ce que je craignais. Elle est d'origine. Ce qui veut dire que va ya voir du travail à faire dessus. Peut-être même plus que prévu.

Je vous fais le topo en rapide, d'après ce que je vois. Y'a une SPICA là dessous. Et cette merde est le pire type d'injection mécanique qu'Alfa ai crée. Un vrai bouse coté préparation. Je vais pouvoir vous la virer pour vous mettre un carbu à la place. Mais ca va taxer méchament pour vous.

Ensuite vient le souci du Refroidissement. Sois je vous monte un nouveau système et là vous exploser les scores de facture, sois je rénove le système actuelle mais ca va etre pire qu'un diesel au niveau des temps de chauffe. Une vrai plaie ce V8.

Viens enfin pour cloturer le tout un gros souci de portes fusibles. A changer quasiment obliagatoirement sur toutes les voitures des années 70. Et bien sur les joints de culasses, pot d'échappement et Joint de réservoir et tout ce qui à pris un coup de vieux.

Disons pour faire plus simple ca va vous coutez dans les 2 pour le SPICA, dans les 2,5 pour le circuit de refroidissment, et dans les 1000 pour tout ce qui est de l'électricité. Vous rajoutez dans les 2 pour la peinture et idem pour les plaques.

Ajouter à ça la main-d'oeuvre et ca vous fait dans les 11. Si vous avez autant à investir, un conseil, changer de caisse.

Ca, c'était dis. Sa caisse était une bonne grosse épave. La montréal, ce bijou de chez Alfa n'était malheureusment qu'un bouffe-thune pour les amateurs de belles bagnole. Le V8 était bien souvent ce qui les interressait tous. Et il ne se souciaient pas de tout ce qu'il y avait autour. Tirmee but la dernière gorgé de sa canette et attendit une réponse du Gringo. A ce prix là, beaucoup auraient déja plié bagage. Mais s'il les lachait, il aurait une caisse à toute épreuve, avec un sérieux coup de neuf. Et Tirmee de la thune en plus et un réputation d'excellent mécano.

Bref, c'était tout bénef pour le mec. Maintenant il y avait toujours moyen à ce qu'il ne remette pas de pièce d'origine et laisse le cubain traffiquer la caisse selon son inspiration. Ca reviendrais moins cher en pièces, mais plus cher en main-d'oeuvre. Tirmee lui précisa quand même au cas ou l'homme n'ai pas la somme sur lui.

- Bon maintenant vous avez aussi le choix que je vais vous donner. je vous vire le V8 et vous pose toute la gamme en dessous, vous perdez en puissance mais elle sera completement maquillée. Et ca vous coutera beaucoup moins, dans les 7 avec la main d'oeuvre. A vous de voir.

Invité

Une fois devant la voiture, une grimace apparue sur le visage du latino et il commençat à sortir toute sa conaissance sur les Montréal :

" Whaou, c'est bien ce que je craignais. Elle est d'origine. Ce qui veut dire que va ya voir du travail à faire dessus. Peut-être même plus que prévu.

Je vous fais le topo en rapide, d'après ce que je vois. Y'a une SPICA là dessous. Et cette merde est le pire type d'injection mécanique qu'Alfa ai crée. Un vrai bouse coté préparation. Je vais pouvoir vous la virer pour vous mettre un carbu à la place. Mais ca va taxer méchament pour vous.

Ensuite vient le souci du Refroidissement. Sois je vous monte un nouveau système et là vous exploser les scores de facture, sois je rénove le système actuelle mais ca va etre pire qu'un diesel au niveau des temps de chauffe. Une vrai plaie ce V8.

Viens enfin pour cloturer le tout un gros souci de portes fusibles. A changer quasiment obliagatoirement sur toutes les voitures des années 70. Et bien sur les joints de culasses, pot d'échappement et Joint de réservoir et tout ce qui à pris un coup de vieux.

Disons pour faire plus simple ca va vous coutez dans les 2 pour le SPICA, dans les 2,5 pour le circuit de refroidissment, et dans les 1000 pour tout ce qui est de l'électricité. Vous rajoutez dans les 2 pour la peinture et idem pour les plaques.

Ajouter à ça la main-d'oeuvre et ca vous fait dans les 11. Si vous avez autant à investir, un conseil, changer de caisse."

Il lui proposat aussi de diminuer le prix en échange d'une perte de puissance mais, une nouvelle idée qu' ils les feraient conaitre tout les deux venait de germer dans la tête de Leon. Une de ces nouvelles conaissance skinhead lui avait parlé d' un européen revendeur d' automobile qui venait souvent à Karandras ces temps-ci. Il importait de belles bagnoles d'Allemagne et de France et, il n'avait pas encore trouvé d' acheteur de masse dans cette Etat. Une occasion en or à ne pas manquer pour faire fortune. Il proposat donc une autre offre au Cubain :

"A ce qu' on ma dit, vous etes plutôt du genre à vouloir gérer qu' à effectuer toute votre vie un travail de main d' oeuvre. Si on vous en donnerez l'occasion, cela vous intéresserez t' il d' ouvrir un garage ? Parceque, à l'aide de certainnes conaissances, je peu vous obtenir un fournissement quotidien en véhicule européen. Rare sont les garagistes de ces modèles de l'autre continent et, alors que d'autres seront entrain de ce batre pour trouver un clien pour leur asiatique ou américaine, vous aurez la première place en matière d' européenne. Pour en venir au fait, je vous vend à bas prix un modèle rare à Karandras en échange du petit service sur ma Montréal. Quand dites vous ?"

Le néo-nazi attendit la réponse du latino tout en réfléchissant au fait que ci il ce lançait dans ce domaine, roulait en voiture de collection montrerait un professionalisme et une certaine classe importante dans ce domaine. La balle était maintenant dans le camp de Roldan qui lui aussi avait tout à gagner dans cette affaire.

*** Wahou, ou il va là le Gringo? ***

Tirmee n'aimait pas le ton qu'avait pris le blanc pour lui parler. Pour qui il se prennait pour venir lui proposer un job aussi risqué. Et qui plus est avec des blancs et des voitures européennes. Bien loin de ce que voulait Tirmee. La mécanique était une passion, un petit gagne-pain, mais surement pas son plan de carrière. Il mit alors rapidement un frein aux ardeurs de Leon en lui faisant bien comprendre qu'ils parlaient de la Montréal et seulement de la Montréal.

- Hooo Gringo, t'es qui pour me parler comme ça et pour avoir fait des recherches sur moi?

Se calmer, Tirmee devait se calmer et ce le plus vite possible. Sinon il allait sortir son feu et allumer le Blanc en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. Au milieu des latinos, il faisait vraiment tâche et personne n'en voudrait à Tirmee de saloper le sol avec la cervelle de ce type. Et ca lui ferait gagner une Montréal. Bref, c'était une solution à envisager. Mais il préféra temporiser encore un peu. Peut-être que le coup de la Montréal n'était pas tout à fait perdu.

- T'es venu içi pour un Buiz précis. Il est même pas fini que tu essayes déja de me la mettre. C'est quoi votre souci à vous les blancs? Vous avez des vers ou quoi? Je t'ai dit mes prix. Tu trouveras rien de plus bas, et rien de plus réglo. Regardes autour de toi et réveilles-toi.

Içi t'es dans le royaume de l'américaine et toi tu viens me proposer de faire dans l'Européene? Et pourquoi pas dans l'Africaine pendant que tu y es? Soit on finit ce buisness et t'as une caisse neuve, soit on s'embrouille et tu finis dans une benne à 200 mêtres avec plus de plombs dans le corps que si tu sortais d'une centrale nucléaire.

Leon était au beau milieu d'un rassemblement de Latino, tous défoncé ou blindé comme des sacs. Il ne devait sa survie qu'a sa discution avec El niño, Tirmee en l'occurence. Mais il ne fallait pas qu'il fasse un faux pas ou tout ces latinos surexités lui feraient la peau plus vite qu'il ne fallait pour le dire. Bref, Léon n'avait pas bien le choix. Il fallait qu'il se dépèche de finir cette affaire et se tailler de là s'il voulait revoir son appartement une fois encore.

Invité

A la proposition de Leon, le cubain s' énervat et parlat d' un ton colérique :

"Hooo Gringo, t'es qui pour me parler comme ça et pour avoir fait des recherches sur moi?
T'es venu içi pour un Buiz précis. Il est même pas fini que tu essayes déja de me la mettre. C'est quoi votre souci à vous les blancs? Vous avez des vers ou quoi? Je t'ai dit mes prix. Tu trouveras rien de plus bas, et rien de plus réglo. Regardes autour de toi et réveilles-toi.

Içi t'es dans le royaume de l'américaine et toi tu viens me proposer de faire dans l'Européene? Et pourquoi pas dans l'Africaine pendant que tu y es? Soit on finit ce buisness et t'as une caisse neuve, soit on s'embrouille et tu finis dans une benne à 200 mêtres avec plus de plombs dans le corps que si tu sortais d'une centrale nucléaire."

"Pas la peine de vous énervez, j' ai deja quelques acheteurs potentiels, je n' ai fais cette proposition que pour essayer de faire d' une pière deux coups. On laisse tomber cette idée et on termine ce deal si vous préfèrez cela.

Et pour les infos vous concernant, sachez qu' un bouré parle beaucoup plus qu' on ne lui demande, je n'ai cherché que le nom d' un bon garagiste. Mais ne vous inquiètez pas, rien de précis n' a était dévoilé sur vos affaires.

Pour en finir avec notre marché, je dépose ma voiture au garage que vous mindiquerez et quand je repasserai la prendre, vous aurez votre argent. C'est d' accord ?"

L' histoire des acheteurs n'était pas vrai, Leon n' avait encore aucune idée de qui serait intéressait mais, il n' avait pas posé tous ces espoir sur le latino et il trouverait surement rapidement quelques intéressés. Il ne restait pu qu' à attendre la réponse du mécanicien tout en surveillant un peu plus ces gestes en cas de soudaine violence. Au pire, il avait toujours son arme sur lui mais, si il faisait feu maintenant dans le barios, il était sur et certain de mourir à l' instant même. Il falait maintenant juste prier pour que Roldan ce ressaisice et accepte la proposition en ne cherchant aucune embrouille, ce qui serait surement le meilleur choix pour les deux camps.

[HRP]Désolé mais j' avais pu trop d' inspiration pour cette réponse.[HRP/]

Le blanc avait retrouvé son esprit et compris qu'il ne devait plus s'aventurer à se renseigner sur le "mécano". Il avait soit une énorme paire de couilles, soit il avait perdu la moitié de son cerveau lors de cette soirée pour oser provoquer un Cubain sur son territoire.

A moins que ce soit un de ces accros à l'Adrénaline qui cherchait des situations extrèmes à chaque fois qu'une d'entre elles se présentait. Tirmee ne savait vraiment plus à quoi s'attendre avec le blanc-bec. Et il préféra être prudent quand à ce qu'il pourrait bien faire en venant au Garage. Il devait s'assurer de ne pas se faire plomber par le Gringo une fois seul chez Diego. Il prendrait alors ces une décision. Il lui fila l'adresse mais il mit plusieurs conditions.

- Je prends la commande. Mais croyez pas que je vais avancer les pièces pour vous. Venez au Garage quand vous aurez les 11 000 $. Je prendrais le tout et vous resterez pendant que je la travaillerai, histoire que personne entube personne. C'est clair?

L'argent puis la commande. Ensuite je vous la répare et vous payez la main-d'oeuvre.

Il tendit la main à Léon pour sceller cet accord et attendit la réponse. Mais quel qu'elle soit, il se retournerait et repartirait finir la fête. La seule et unique différence serait qu'avant, il donnerai ou non l'adresse à Léon, selon s'il disait oui ou non. Plus de négociations, Tirmee avait déja loupé deux tours de Rodéo et ne voulait pas avoir payé pour que dalle.

Invité

Tirmee ce calmat et acceptat de donner l' adresse du garage à certaines conditions. Dans ce deal, la plupart des décisions avait était prise par le latino et, même si cela dérangeais un peu Leon, il trouvait sa normal. Effectivement, il n' était pas sur son terrain et était encore un inconnu dans ce monde alors il était logique qu' il n' ait pas son mot à dire dans l' histoire. Mais il ce promit de changer cela une fois qu' il aurait assez de reconaissance auprés d' un ou plusieurs gros poissons. Mais pour en revenir à nos moutons, le cubain avait imposé ce choix la :

"Je prends la commande. Mais croyez pas que je vais avancer les pièces pour vous. Venez au Garage quand vous aurez les 11 000 $. Je prendrais le tout et vous resterez pendant que je la travaillerai, histoire que personne entube personne. C'est clair?

L'argent puis la commande. Ensuite je vous la répare et vous payez la main-d'oeuvre."

Ce choix avait l' air réglo pour le néo-nazi alors, il acceptat sans faire d' histoire. Aprés avoir sérée la main à son interlocuteur, il reçut de celui-ci l' adresse du fameux garage et la garda précieusement en mémoire. Tirmee étant rapidement partit aprés cette accord, Léon rentrat dans sa voiture et partit du Cuba Favellas en trombe. Effectivement, la petite monté de colère du latino avait attiré sur lui le regard de plusieurs gansters portoricains et, une fusillade en ce lieu aurait était trés mauvais pour lui. Pour rentrer, le skinhead reprit les même petites allées discrète et, une fois devant son appart, il rangeat sa Montréal pour un bon bout de temps. Il ne lui restait pu qu' à rassemblais onze milles dollars et il aurait enfin une voiture sure. Mais pour le moment, il était l' heure d' aller ce reposer pour affronter toutes les surprises que demain lui réservait.

» Rendez vous
» Rendez-vous [PV Davis]
» Rendez-vous étrange (pv: P.K)
» Drôle de rendez vous (suite "quand on cherche les ennui
» Messe pour le Business... [PV: Tirmee]